Pour cette avant dernière sortie de la société mycologique de Sassenage, nous avons eu droit à un temps magnifique, avec des températures autour des 20° centigrade.
Au total, nous étions 29 adultes plus le petit Alban, sans oublier notre mascotte "Ambre".
Départ à 8H30 de Carrefour Market jusqu'au parking du Col du Fau, pour un rassemblement des 8 voitures de sortie et puis une halte à la Commanderie pour boire un café avec pain au chocolat, acheter son pain et puis direction le bois du Bauchet où nous sommes arrivés à 10H30.
En pénétrant dans le bois, nous avons croisé de sympathiques chasseurs qui auront fait remarquer à juste titre, à quelques membres du groupe qu'ils ne portaient pas de tenue règlementaire, c'est à dire de gilet fluorescent.
En terme champignons, il y avait bien quelques nonettes voilées (Suillus luteus), quelques petits gris (tricholoma myomyces), quelques sanguins (Lactarius sanguifluus), mais pour cette sortie dans le Trièves, le champignon que nous recherchions était la trompette chanterelle (cantharellus lutescens) qui pousse dans les coins très humides, les hautes herbes, et la chance sera finalement de la partie.
Il y a eu quelques cueillettes potables avant le pique-nique. Le moment du repas nous a permis de déguster les gâteaux confectionnés par l'épouse de Louis à l'occasion de son
anniversaire dans la semaine écoulée. Félicitations à la maitresse de maison !
Pour compléter les cueillettes, l'ensemble des deux groupes sont allés sur un secteur découvert, avant le repas par Robert et José, une bonne idée !
A 15H30, nous avons repris le chemin pour retourner aux voitures, quelques uns d'entre nous feront une halte à Mens pour déguster les bouffettes et se désaltérer avant le retour sur Sassenage.
La semaine prochaine sera la dernière sortie de l'année 2013, l'occasion également de souhaiter un bon anniversaire à Jean Marc et peut-être à Bernard: pour les casse-croûtes favorisez les salés et les boissons, le dessert sera offert par le ou les récipiendaires.
samedi 19 octobre 2013
jeudi 17 octobre 2013
Journée jeux à Freydières le 12 octobre 2013
Qui aurait imaginé l'arrivée d'une neige précoce à ce point !
La fraîcheur de cette journée a quelque peu modifié notre organisation, mais tous les inscrits à notre concours de pétanque et au repas prévu au restaurant de montagne "Le Gélinotte", étaient bien là.
Heureusement le soleil nous a accueillis, illuminant cette magnifique montagne enneigée La PRA surplombant le bois de Freydières : une vraie carte postale, une invitation à bouger.
Ainsi, les pétanqueurs, les mains gelées ont tenu à débuter le concours. Seuls Cathy et Georges les 2 premiers arrivés sur les lieux ont arpenté les bois et déniché plusieurs espèces de champignons pour l'exposition du dimanche à Gières.
Après le repas : cuisses de canard à la polenta - la pluie est venue contrarier les joueurs de boules. Le préau a donc servi pour les plus résistants à l'eau froide. Les plus frileux ont préféré rester au chaud pour des parties de belote
.
Merci à Mathilde et Bertrand pour votre accueil, cette journée a été formidable. La petite Lison a contribué grandement à ce petit bonheur d'être ensemble.
(merci à Robert le chasseur qui nous a permis d'avoir quelques photos)
mardi 15 octobre 2013
Champignons : une centaine d’intoxications depuis le mois de juillet
Nous reproduisons un article paru dans le Dauphiné Libéré qui appelle à la vigilance les cueilleurs de champignons;
Une fricassée de cèpes, une poêlée de lactaires. Avec l’arrivée des premiers imas automnaux vient l’envie de champignons. Un plaisir des papilles qui peut pourtant tourner au cauchemar, tant sous les frondaisons se cachent parfois de véritables poisons. Ainsi, selon le centre antipoison de Lyon, depuis le mois de juillet, en Isère 22 intoxications provoquées par l’ingestion de champignons ont été rapportées. Dans le Rhône, 76 cas ont été signalés.
De nombreuses espèces de champignons sont donc sur le banc des accusés, mais la plus célèbre coupable des intoxications reste l’amanite phalloïde. Et si les ramasseurs ne se montrent pas plus vigilants, l’hécatombe pourrait continuer. « Cette année, il y a de grosses poussées d’amanites phalloïdes », confirme Espérance Bidaud, la présidente de la Fédération mycologique et botanique Dauphiné Savoie. Elle-même en a trouvé à Moras (ainsi que des entolomes livides toxiques) il y a dix jours. « J’ai croisé des promeneurs ce week-end qui en ont également vu dans d’autres secteurs », insiste-t-elle. C’est d’ailleurs là que réside toute la difficulté : rien ne permet de dire où et quand les amanites vont sortir. Il est donc plus que jamais conseillé de regarder plutôt deux fois qu’une un champignon avant de le cueillir.
Une fricassée de cèpes, une poêlée de lactaires. Avec l’arrivée des premiers imas automnaux vient l’envie de champignons. Un plaisir des papilles qui peut pourtant tourner au cauchemar, tant sous les frondaisons se cachent parfois de véritables poisons. Ainsi, selon le centre antipoison de Lyon, depuis le mois de juillet, en Isère 22 intoxications provoquées par l’ingestion de champignons ont été rapportées. Dans le Rhône, 76 cas ont été signalés.
Depuis début octobre, déjà 32 appels pour l’Isère et le Rhône au centre antipoison
« Et nous sommes dans une phase ascendante », prévient Jean-Marc Sapori, médecin à l’unité d’urgences sanitaires du centre antipoison et de toxicovigilance de Lyon. Ainsi, durant les deux seules premières semaines d’octobre, ce sont six cas dans l’Isère et 26 dans le Rhône qui ont été signalés. Par chance, aucun décès n’est à déplorer pour le moment. Mais la vigilance doit être de mise : l’année dernière, en Rhône-Alpes, deux personnes sont mortes après avoir ingéré des champignons toxiques ; en Bourgogne, récemment, un enfant de 18 mois a dû subir une greffe du foie après avoir mangé des champignons vénéneux. « Le nombre d’appels reçus au centre antipoison ne permet pas de préjuger de ce qui va se passer, mais on peut tout de même dire que cette année, les intoxications surviennent plus précocement – deux semaines plus tôt – que l’année dernière », assure Jean-Marc Sapori.Des amanites phalloïdes repérées en Isle Crémieu
« Nous avons eu des appels de personnes malades alors qu’elles pensaient avoir ramassé des trompettes de la mort, des mousserons ou des cèpes ; un grand-père qui avait cueilli des champignons vénéneux et qui s ‘inquiétait parce que son petit-fils les avait touchés », détaille encore le praticien hospitalier.De nombreuses espèces de champignons sont donc sur le banc des accusés, mais la plus célèbre coupable des intoxications reste l’amanite phalloïde. Et si les ramasseurs ne se montrent pas plus vigilants, l’hécatombe pourrait continuer. « Cette année, il y a de grosses poussées d’amanites phalloïdes », confirme Espérance Bidaud, la présidente de la Fédération mycologique et botanique Dauphiné Savoie. Elle-même en a trouvé à Moras (ainsi que des entolomes livides toxiques) il y a dix jours. « J’ai croisé des promeneurs ce week-end qui en ont également vu dans d’autres secteurs », insiste-t-elle. C’est d’ailleurs là que réside toute la difficulté : rien ne permet de dire où et quand les amanites vont sortir. Il est donc plus que jamais conseillé de regarder plutôt deux fois qu’une un champignon avant de le cueillir.
samedi 5 octobre 2013
Sortie du 5 octobre 2013 bois communal de Chatenay
Après une nuit très pluvieuse, tonnerre incessant, éclairs, la
seule question qui vint à l'esprit le matin fut : est-ce que la sortie sera
maintenue ? Hors du lit, la première des choses a été de scruter le ciel, la
pluie avait bel et bien cessé.
Destination prévue : bois communal de Chatenay pour une
cueillette de chanterelles et pieds de mouton.
Après une heure de marche dans les bois par un temps vraiment
chaud, de grand soleil, la cueillette était décevante. Tout le monde reprit la voiture
- destination le lac des Essarts où la ballade ne fut pas plus concluante, la
cueillette était toujours aussi maigre. Nous déjeunions à l'abri sous une
arche en bois car la pluie venait de faire son apparition. Nous avons rencontré nos amis de la société mycologique de Seyssinet.
arche en bois car la pluie venait de faire son apparition. Nous avons rencontré nos amis de la société mycologique de Seyssinet.
Encore une autre destination a été décidée pour l'après-midi
- direction St Siméon de Bressieux, lac de Digonne, combe de Pomera, où là, le moral était un peu plus soutenu,
avec quelques bolets, des chanterelles et des pieds de mouton, en petites
quantités dans les paniers.
À 15H30 Georges proposa de faire une 4ème halte sur
la route du retour, pour ramasser des trompettes de mort : Et hop tous en
voiture de nouveau, à Sillans Combe de Rivoires et étangs de l'Adrets !
Une heure de temps devrait suffire pour cet ultime arrêt
avant le retour sur Grenoble.
Mais voilà, après le temps imparti comme on dit, il manquait
Jean-Marc, Babeth, Georges, Cathy et Josette, au rendez-vous de cette fin de
journée. Le temps passait, et la patience des adhérents qui attendaient
commençait à avoir des failles.
Robert fut le 1er à avoir des doutes. Très
sérieusement il avança que le Président, l'accompagnateur et les 3 autres
adhérents étaient perdus. Impensable pour nous tous ! mais au bout d'un moment
il fallu se rendre à l'évidence de cette mésaventure, qui commença à nous
inquiéter fortement. Les téléphones portables manquaient de réseau, les
sifflets n'atteignaient pas les oreilles lointaines de nos égarés. Que faire ?
Fallait-il avertir la gendarmerie avant que la nuit tombe ?
Mais tout de même, le président et l'accompagnateur de la
société mycologique n'étaient pas des novices, le soleil aidant, ils finirent par
s'orienter, nos cris et le sifflet strident de José les guidèrent vers les
voitures. Ouf !
Les paniers remplis de trompettes de mort, ils revinrent trempés, une averse s'était à nouveau produite
vers 16H30.
Merci soleil pour cette belle journée et ce bon repère qui a fait réapparaître nos compères !
N'oublier pas que samedi prochain la société mycologique
organise un concours de pétanque. Le rendez-vous est fixé à 10H00 sur place
pour finaliser les inscriptions. Les adhérents qui le souhaitent peuvent arriver
plus tôt pour ramasser diverses espèces de champignons, pour eux bien
évidemment mais également pour l'exposition qui aura lieu à Gières le dimanche
13 octobre.
samedi 28 septembre 2013
Sortie du 28 septembre 2013 à la Croisée des Plâtres
Au départ, il y avait comme une petite note de scepticisme, durant la semaine, pas une goutte de pluie, qu'allions nous trouver ?
Ainsi les 27 participant-e-s de cette sortie se sont rendus à nouveau dans les Chambarans, au lieu-dit "la Croisée des Plâtres" et là, deux surprises nous attendaient, sur un pré des lépiotes élevées (macrolepiota procera) et sur place, une cabane en bois "Les relais Cyné" construite pour permettre aux chasseurs, cueilleurs de champignons, randonneurs de disposer éventuellement d'un abri. Nous n'avons pas eu à utiliser cet espace, mais nous disons un grand merci aux constructeurs.
Le temps était plutôt couvert, sauf au moment du repas où un rayon de soleil généreux est venu accompagner notre sortie.
Répartis en 2 groupes, nos mycologues avaient pour consigne de cueillir toutes les différentes variétés de champignons pour compléter l'exposition mycologique de la société du Dauphiné qui expose aujourd’hui et demain à l'ancien Musée de peinture, Place de Verdun à Grenoble.
Bien évidemment, nos sociétaires désiraient aussi pouvoir faire des cueillettes pour leurs besoins personnels. Les bois étaient relativement secs, mais c'était sans compter sur la rosée matinale qui peut accomplir des miracles.
Dans le groupe de Jean-Marc, c'est Mamou qui la première dénichera 2 cèpes, et puis dans un croisement, nous avons rencontré Michel C. qui avait déjà son panier plein, alors l'ardeur est revenue et notre amie Marie Thérèse découvrira en bordure de chemin 6 bolets en rang, pour elle c'était une première, au point que son regard s'est humidifié.
Au moment du repas, des instants d'émotions pour fêter l'anniversaire de Michel B. (la petite vidéo ci-dessous montre cette chaleur que les adhérents se témoignent entre eux.
Parmi les autres champignons cueillis nous noterons un sparassis crêpu, la morille des pins trouvé par Marcel, les beaux pieds de moutons de Joël.
Après le repas, nous avons fait une seconde excursion près du col de Toutes Aures, pour compléter nos cueillettes.
Tous les sociétaires présents sont repartis ravis de ces belles récoltes notamment de cèpes et ont constaté qu'enfin les poussées étaient au rendez-vous.
Pieds de moutons à la Gersoise
Une recette améliorée par Joël:
Ingrédients:
Tout d'abord, éplucher vos champignons en débarrassant leur pied de la terre et leur chapeau des petites épines mousseuses. Puis, il faut les laver et ensuite les découper en fines lamelles.
Faites revenir vos champignons dans un peu d'huile, les cuire 15 mn à feu moyen, ils ne doivent pas roussir. Au bout de ce temps, ajouter le persil haché, le paprika, saler, poivrer et ajouter l'ail haché en fin de cuisson. L'ail ne doit pas griller.
Retirer du feu vos champignons. Dans une casserole, faire chauffer l'Armagnac, le flamber et le verser sur vos champignons. Ajouter alors la crème fraiche. Remettre votre poêle sur le feu et amener le tout à ébullition. Laisser cuire une minutes, le temps que la crème fraiche fonde et s'incorpore à votre préparation.
Ce plat s'harmonise parfaitement avec du riz et de la viande de veau tendre revenu quelques instants à la poêle. Personnellement, j'ai utilisé de la noix et je n'ai pas regretté mon choix.
Ingrédients:
- 500 gr de pieds de mouton,
- 3 cuillères à soupe d'huile,
- 1 verre de vin blanc sec
- 4 cuillères à soupe de crème fraiche,
- 3 gousses moyennes d'ail,
- 2 à 3 branches de persil,
- 1 pincée de paprika,
- 5 cl d'Armagnac,
- Sel, poivre
Tout d'abord, éplucher vos champignons en débarrassant leur pied de la terre et leur chapeau des petites épines mousseuses. Puis, il faut les laver et ensuite les découper en fines lamelles.
Faites revenir vos champignons dans un peu d'huile, les cuire 15 mn à feu moyen, ils ne doivent pas roussir. Au bout de ce temps, ajouter le persil haché, le paprika, saler, poivrer et ajouter l'ail haché en fin de cuisson. L'ail ne doit pas griller.
Retirer du feu vos champignons. Dans une casserole, faire chauffer l'Armagnac, le flamber et le verser sur vos champignons. Ajouter alors la crème fraiche. Remettre votre poêle sur le feu et amener le tout à ébullition. Laisser cuire une minutes, le temps que la crème fraiche fonde et s'incorpore à votre préparation.
Ce plat s'harmonise parfaitement avec du riz et de la viande de veau tendre revenu quelques instants à la poêle. Personnellement, j'ai utilisé de la noix et je n'ai pas regretté mon choix.
samedi 21 septembre 2013
Sortie du 21 septembre 2013 à la forêt de Varacieux
Au lendemain de notre assemblée générale, nous nous sommes retrouvés pas moins de 28 pour cette sortie dans les Chambarans.
Le soleil était de la partie, mais les bonnes cueillettes étaient absentes. Pourtant, dans les jours précédents, il aura plu et la pleine lune était le jeudi, cette conjonction d’éléments n'aura pas été suffisante pour permettre des poussées.
Beaucoup de meuniers (Clitopilus prunulus) qui en principe sont précurseurs avec les amanites tue-mouches (Amanita muscaria) de la pousse de bolets, à peine un peu plus d'une dizaine auront été trouvés, des pieds de moutons, des chanterelles et quelques rares trompettes chanterelles.
Et puis, première grosse surprise pour Elisa, un caillou s'est planté dans son pneu arrière gauche, heureusement Marie Hélène s'est portée volontaire pour changer la roue. Seconde surprise, toutes les précédentes photos de champignons prises par Jean-Marc ne se sont pas enregistrées, la carte mémoire n'était plus connectée.
Après notre pique-nique, Jean-Marc a mis à l'épreuve sur la base d'une petite
exposition, Alessandro et Georges pour déterminer les différentes variétés: cèpe de Bordeaux (Boletus edulis), cortinaires (une vaste famille de plus de 400 espèces qui ne contient malheureusement aucun champignon digne d’intérêt du point de vue culinaire, si ce n’est le Cortinaire remarquable, comestible moyen mais intéressant par ses dimensions.), chanterelle à l'odeur d'abricot, cèpe orangé (Leccinum aurantiacum), russules (vaste groupe d’environ 350 espèces dont le chapeau est
généralement vivement coloré, il partage avec les Lactaires le fait d’avoir une chair granuleuse qui casse comme un bâtonnet de craie ou un morceau de sucre, mais ne laisse pas écouler de lait, 3 variétés méritent d'être cueillies la verdoyante, la charbonnière et la belette). Merci à Christine qui nous a envoyé quelques photos.
Après cette détermination, 21 d'entre nous ont essayé de faire une seconde escale à la Croix de Toutes Aures, mais en dehors d’Éliane qui aura flairé 2 beaux cèpes de Bordeaux, le reste des participants auront promené leurs paniers.
Soyons optimistes, la semaine prochaine, les cueillettes seront plus prolifiques, après tout, on a le droit de rêver !
Le soleil était de la partie, mais les bonnes cueillettes étaient absentes. Pourtant, dans les jours précédents, il aura plu et la pleine lune était le jeudi, cette conjonction d’éléments n'aura pas été suffisante pour permettre des poussées.
Beaucoup de meuniers (Clitopilus prunulus) qui en principe sont précurseurs avec les amanites tue-mouches (Amanita muscaria) de la pousse de bolets, à peine un peu plus d'une dizaine auront été trouvés, des pieds de moutons, des chanterelles et quelques rares trompettes chanterelles.
Et puis, première grosse surprise pour Elisa, un caillou s'est planté dans son pneu arrière gauche, heureusement Marie Hélène s'est portée volontaire pour changer la roue. Seconde surprise, toutes les précédentes photos de champignons prises par Jean-Marc ne se sont pas enregistrées, la carte mémoire n'était plus connectée.
Après notre pique-nique, Jean-Marc a mis à l'épreuve sur la base d'une petite
exposition, Alessandro et Georges pour déterminer les différentes variétés: cèpe de Bordeaux (Boletus edulis), cortinaires (une vaste famille de plus de 400 espèces qui ne contient malheureusement aucun champignon digne d’intérêt du point de vue culinaire, si ce n’est le Cortinaire remarquable, comestible moyen mais intéressant par ses dimensions.), chanterelle à l'odeur d'abricot, cèpe orangé (Leccinum aurantiacum), russules (vaste groupe d’environ 350 espèces dont le chapeau est
généralement vivement coloré, il partage avec les Lactaires le fait d’avoir une chair granuleuse qui casse comme un bâtonnet de craie ou un morceau de sucre, mais ne laisse pas écouler de lait, 3 variétés méritent d'être cueillies la verdoyante, la charbonnière et la belette). Merci à Christine qui nous a envoyé quelques photos.
Après cette détermination, 21 d'entre nous ont essayé de faire une seconde escale à la Croix de Toutes Aures, mais en dehors d’Éliane qui aura flairé 2 beaux cèpes de Bordeaux, le reste des participants auront promené leurs paniers.
Soyons optimistes, la semaine prochaine, les cueillettes seront plus prolifiques, après tout, on a le droit de rêver !
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