samedi 19 avril 2025

Sortie ou randonnée au Sappey en Chartreuse ce 19 avril 2025 ?


Dans la nuit entre mercredi et jeudi, la limite pluie-neige s'est abaissée, selon les massifs pouvant être à une altitude de 850 mètres. Jeudi, il n'y avait pas de neige au Sappey en Chartreuse, d'où l'idée de tenter de trouver des hygrophores de mars.

Ce 19 avril, sur le parking du village, nous étions 15 pour tenter cette aventure.

En cheminant sur le GR9, Chamechaude, le plus haut sommet de Chartreuse avec ses 2082 mètres s'était presque totalement débarrassé de sa cape neigeuse, après l'ensoleillement de la veille. Philippe et Joëlle étaient aux anges, Chamechaude, ça leur parle beaucoup.

Si l'an dernier, quelques morilles avaient été cueillies, ce jour pas la moindre morchella en vue, les seuls champignons découverts seront 1 plutée couleur de cerf (Pluteus cervinus), quelques pézizes brillantes (Caloscypha fulgens).  

Martine, trouvera un fragment d'hygrophore de mars qui sera laissé pour un écureuil.

Alors que le sentier pour se diriger vers la cabane de Velouse remontait par la gauche, sous les conseils de Jean-Marc, une partie d'entre nous empruntera une trace de piste de raquette sur la droite et nous voila plongés sur cette sente boueuse et très glissante, avec l'objectif d'une éventuelle découverte mycologique au fond de la Combe.

Très vite, c'est la désobéissance d'une partie du groupe qui s'imposera, en raison du danger. Geneviève, après une petite chute, sans gravité, s'est retrouvée tétanisée, l'aide de Philippe et Patrick lui a permis de sortir de ce mauvais pas. Sur le flanc du coteau abrupte, avec une pente avoisinant les 60°, Michel et Jean-Luc ont dû redoubler d'efforts pour éviter la glissade et l'accident.

L'attente pour retrouver la quasi totalité de 13 des 15 mycologues durera une heure. Manon et Joël parviendront les premiers, au point de rendez-vous.

De cette situation, il importe de tirer toutes les leçons : bannir l'aventure après une succession de jours de pluie et obtenir une solidarité totale du groupe.

Martine qui avait pris le bon chemin, se refusait à faire des parties de montées-descentes inutiles. 

Si la ligne droite permet d'aller au plus court, le secteur des Hallières était totalement à l'Est et le refuge à l'Ouest. Dans ce secteur, les populages des marais (caltha pelustrie) formaient un beau tapis, l'eau qui s'écoulait fera bien son effet de nettoyage des chaussures.

Que la pente fut raide pour parvenir à Velouse. 

350 mètres de dénivelé étaient annoncés pour cette sortie au pays des sappeyards ! En fait, il s'agissait des écarts de hauteurs du point le plus bas, au plus haut. Selon le tracé emprunté, le dénivelé cumulé avoisinera les 500 mètres. Ici ou là, des massages seront peut-être nécessaires pour bien dormir.

Le pique-nique au soleil a été des plus exquis, des sociétaires faisant gouter leurs spécialités ou bien les biscuits, chocolats, etc...

Une voix dira : " aujourd'hui, nous aurions mieux fait d'organiser un concours de recherches d’œufs de pâques ".

En redescendant vers les voitures, chacune et chacun devaient aller à leurs rythmes. Un couple fera le choix de tenter de trouver des hygrophores de mars. Le premier spécimen sera trouvé par Michel, une minute plus tard, ce sera au tour de Martine, 8 exemplaires de ce côté-ci auquel un 9ème se rattachera un peu plus bas.

269 grammes, cela représente une belle omelette.

A votre santé et joyeuses Pâques à nos lectrices et lecteurs. Les photos de cette sortie du 19 avril 2025, sont placées dans l'album: DEBUT2025


lundi 14 avril 2025

Sortie du 12 avril 2025 des Narces au Trou qui Souffle


Après cette succession de belles journées ensoleillées, qu'allions-nous découvrir ?

Parvenus au parking du Crêt aux Narces de Méaudre, nous avons été accueillis par une bonne averse qui fort heureusement aura été de courte durée.

Nous voici partis pour accomplir un périple de 200 mètres de dénivelé !

Par endroits, il restait quelques plaques de neige, Walter et Svitlana ont façonné des boules. Cette neige n'a pas humidifié le terrain resté plutôt sec. Les campagnols ont laissé leurs empreintes au travers des trous de leurs galeries.

Les onze présent·e·s se sont rendus jusqu'à la bergerie Roger Gervasoni. Les seuls champignons découverts, semblaient être des lactaires non comestibles. Sur proposition de Jean-Marc, la décision collective a été prise de ne pas poursuivre l'ascension vers Gros Martel à 1556 mètres d’altitude et de retourner aux véhicules. 

Seconde étape improvisée, le Trou qui souffle, qui tient son nom d'un violent courant d'air soufflant au sortir de terre et que nous avons pu ressentir.

A Davières, l'altitude est de 1085 mètres, c'est sur cette partie que la chance sourira à Svitlana avec 3 petits hygrophores de mars et à Olivier avec son seul spécimen.

Ce fût la seule cueillette de la journée ! 

Comme me le dira Jean-Luc: "bredouilles mais pleinement satisfaits de cette super balade qui s'est terminée après le pique-nique. Les spéléologues s'équipaient pour une descente dans ce réseau urgonien qui compte 50 km de galeries."

Les photos de cette sortie du 12 avril 2025, sont placées dans l'album: DEBUT2025   

 

samedi 5 avril 2025

Sortie gourmande du 5 avril 2025 à Tain l'Hermitage


Pas de sortie mycologie ce 5 avril, mais régal des papilles à la Cité du chocolat de Valrhona, avec les 11 sociétaires présent·e·s.

Le départ avait été avancé à 7H30 et il aura bien fallu 2 heures en co-voiturage pour parvenir à destination.

Un peu d'histoire sur ces cabosses et le chocolat

Depuis la découverte en 2003, sur le site archéologique Santa Ana La Florida près de Palanda au sud de l'Équateur, d'une céramique cérémonielle, cela a bousculé l’idée selon laquelle les premiers consommateurs de cacao seraient les Mayas et les Aztèques du Mexique. L’archéologue Francisco Valdez et son équipe franco-équatorienne ont mis au jour des résidus d'amidon de cacao à l'intérieur de l'artefact indiquant la présence d'une boisson à base de fèves. 

La datation carbone révèle que ces résidus appartiennent à une période située entre 3500 av. J.-C. et 3200 av. J.-C. La culture Mayo Chinchipe-Marañon ont ainsi domestiqué le cacao environ 2 000 ans avant les cultures précolombiennes en Mésoamérique !

La découverte du vase à double effigie ouvre une nouvelle compréhension de l'histoire du cacao. La Haute Amazonie équatorienne est désormais le premier centre de culture du cacao identifié à ce jour, et non plus l'Amérique centrale. Il semble que le cacao amazonien ait été introduit sur la côte équatorienne et finalement transporté au Mexique et en Mésoamérique. 

La culture Mayo Chinchipe-Marañon a joué un rôle important dans la domestication et la diffusion du cacao. Elle marque les débuts de la consommation du cacao dans le monde entier. 

En France, nous aurions pu en manger en 1502 avec Christophe Collomb. Le goût avec cette saveur amère et épicée, ne lui plaisait pas et il décida de jeter à la mer ces fèves de cacaoyer qui lui avaient été offertes. C'est finalement Hernàn Cortès qui ramena le cacao en Espagne en 1519. 

De fil en aiguille, en France, il faudra attendre 1615, au mariage d'Anne d'Autriche, fille du roi d'Espagne, avec Louis XIII pour que le chocolat arrive enfin.

Lors de la visite de la cité du chocolat Valrhona, vous pouvez vous documenter, mais aussi voir les différentes utilisations, et les moments préférés des visiteurs. Gouter aux subtilités des différentes compositions : pâte de cacao 100%, Oriado, Caraïbe, Ivoire, Bahibé, Guanaje, Tulakalum, Manjari, etc...

Il faut bien compter deux bonnes heures, sans pour autant tout découvrir, avant de passer à la boutique pour de nouvelles compositions qui si vous êtes gourmand, représenteront une dépense conséquente.

Histoire de se dégourdir les jambes, une petite ballade sur la voie piétonne et cyclable, le long du fleuve Rhône s'imposait. Pour planter le décor, les péniches à quai ou celle circulant, les décors de vigne, de falaises se reflétant sur l'eau, donnaient une atmosphère particulière, le détail allant jusqu'à une sculpture de baleine bleue objet de récupération des bouteilles en plastique.

Pour le pique-nique du midi, nous avons choisi de nous rendre à la Tour de Mercurol. Depuis le village, il faudra gravir une série de marches avant d'y parvenir. Mais de la-haut, un panorama sur 360° de toute beauté, avec des parterres de fleurs jaunes. Si comme nous, vous avez la chance d'un temps ensoleillé, n'hésitez pas à faire un détour pour contempler ces ruines.

La Tour de Mercurol, aujourd'hui visible de loin, aurait pu tomber dans l'oubli. Signalée dans un inventaire de la « Baronnie de Clérieu » en 1064, elle a donc plus de mille ans en ce début de 21ème siècle.
Mais cette tour emblématique et le site sur lequel elle est construite sont porteurs d'une bien plus longue histoire. Plusieurs historiens affirment qu’elle est sur l’emplacement d’un temple dédié à Mercure bâti selon le rite romain sur un oppidum (site élevé).
Ce temple qui serait à l’origine du nom de Mercurol, a probablement été élevé à la suite de la victoire sur les Gaulois en –121 avant JC. 

120 000 Gaulois perdirent la vie dans la plaine dominée par notre Tour ; leurs cadavres furent pendus et brûlés aux pieds du coteau, parallèle à la route 532 entre Mercurol et Chanos, expliquant semble-t-il son nom séculaire de «Coteau des Pends».

A 14 heures, nous avions prévu de visiter la Cave du Domaine de Remizières, finalement nous opterons pour la dégustation et l'achat, en particulier de Crozes-Hermitage.

Sur la route du retour, une dernière envie de fraises à occasionné une nouvelle halte. 

Samedi 12 avril, les sorties mycologiques reprendront, après cette parenthèse gourmande. Un deuil touchant le webmaster, l'article ne sera publié qu'ultérieurement.

Les nombreuse photos de cette sortie du 5 avril2025, sont placées dans l'album: DEBUT2025  



samedi 29 mars 2025

Sortie du 29 mars 2025 au Peuil de Claix


Malgré le temps, nous étions douze pour cette sortie ! A notre arrivée, du grésil se mêlait aux gouttes de pluie.

Un des courageux lecteurs de notre blog est arrivé dans la foulée, disant : "vous êtes la mycologie de Sassenage !". Affirmatif, lui aussi venait à la cueillette des hygrophorus marzuoluzs.

Compte tenu du nombre, Jean-Marc choisit la constitution d'un unique groupe: douze pour se rendre à la clairière des douze apôtres. Cela n'a aucune connotation religieuse, et lorsque l'on parle de douze apôtres, personne ne voudrait endosser le nom du traître

Pourquoi cette clairière porte-t-elle ce nom ?

Cette dénomination a pour origine le fait que 12 très gros fayards étaient plantés à cet endroit. Cet endroit est particulièrement très venté et nous en avons fait l'expérience aujourd'hui. L'une des tempêtes les a décimés, il ne reste plus aucune trace de ces 12 hêtres. 

La clairière, faute d'être entretenue, s'estompe au profit des ronces, la nature reprenant ses droits. De gros blocs de pierre jouxtent des arbres déracinés, avec y compris un tronc coupé se retrouvant en équilibre au-dessus des arbres. Il vaudra mieux ne pas être dessous lorsqu'il dégringolera !

Après cette parenthèse, c'est Alessandro qui a dégoté le premier hygrophore, rapidement suivi par Denise.

Il semblerait que toutes et tous les participants aient trouvé au moins 1 exemplaire. Au menu, pour conserver le goût sublime de ce champignon, dans les différentes chaumières, ce sera plus le soufflé à l'hygrophore de Mars que la cuisson nature qui prédominera !

La matinée, après la première alerte d'une pluie de courte durée aura été plutôt venteuse et frisquette, à tel point qu'à 11H50, à l'abri de la ferme, nous pique-niquions.

Pour agrémenter les connaissances individuelles, Olivier nous proposa un quizz.

Que signifie le terme cespiteux ? 

Et voila moult propositions, en lien avec la terminaison de ce mot. Natacha donna une réponse se rapprochant de la solution, dès lors Michel qui avait retenu la réponse apportée l'an dernier, dit : "ce sont les champignons en touffe serrée, comme par exemple l’Hypholome en touffe"

A quoi correspondant hygrophane ?

"Un champignon est dit hygrophane lorsque, selon l'état hygrométrique de l'air, le carpophore change de couleur en séchant, soit par zones concentriques, soit par bandes radiales, comme chez le laccaire améthyste, Laccaria amethystina" 

Finalement, la cueillette la plus conséquente et rapide a été celle de pissenlits. Selon plusieurs chercheurs, les composés actifs du pissenlit favorisent l'élimination des déchets et des toxines présents dans l'organisme. Action drainante : Une cure en pissenlit semble également favoriser le drainage de l'organisme, et ainsi lutter contre la rétention d'eau.

Sortie du Samedi 5 Avril 2025 : les 12 inscrits partiront du parking de l'école Vercors à 7H30 pour se rendre  à la cité du chocolat Valrhona à Tain l'Hermitage, plus cave vinicole. Il n'y aura pas de sortie champignons ce jour-là.

Les photos de la sortie de ce 29 mars 2025, sont placées dans l'album: DEBUT2025 

samedi 22 mars 2025

Sous le soleil, la sortie hygrophores de ce 22 mars 2025


Cette semaine, nous étions 20 au rendez-vous de Sassenage pour recommencer la précédente sortie annulée.

Le co-voiturage a pour destination le Balcon de Miribel les Échelles, deux groupes se formeront.

Michel B. accompagné de 8 volontaires optera pour se diriger vers la Croix de Tempétaz et le Dolmen de l'Antillière.

Jean-Marc, avec presque la totalité du reste du groupe prendra la destination de la forêt de Miribel.

L'horaire pour se retrouver aux voitures a été fixé à 13 heures.

Avant d'aborder nos cueillettes d'hygrophores de mars, ce qui décrit le mieux le printemps, ce sont les floraisons: primevères, jonquilles, pervenches, etc..

Si le temps doux arrive tôt, il est possible d’apercevoir  la tussilage pas d'âne à travers la neige dès le mois de mars. Pour cette raison, elle est considérée comme la fleur qui annonce l’arrivée du printemps. On retrouve cette fleur pionnière sur les berges érodées des ruisseaux ainsi qu’en bordure des chemins.

Fait intéressant Cette fleur aurait des propriétés médicinales qui calment la toux, les maux de gorge et autres symptômes du rhume.

Dans son groupe, Michel B. aura pour mission de faire découvrir l'hygrophorus marzuolus à 3 nouvelles personnes et la chance aura été rapidement au rendez-vous pour les premiers spécimens. Nous voilà à tâter la mousse dans l'espoir de découvrir ce champignon qui aime tant se planquer.

Lonny, malgré son jeune âge est déjà un féru de mycologie et dans ce secteur généralement abondant, il exprimera la fierté de son premier champignon de l'année 2025.

Les croix sont nombreuses à Miribel. Leur nombre est l'objet de vives discussions. Il varie entre 29 et 34 en fonction de celles qui sont comptabilisées ou non car trop petites, non achevées... Le premier groupe est parvenu à la croix de Tempétaz, l'occasion d'immortaliser cet instant.

Après la Croix, vers le Dolmen, les champignons sont plus gros, comme le montre l'image de Une de cet article.

Dans l'autre groupe, le plus chanceux sera Robert B. Au final, quasiment toutes et tous pourront prétendre savourer des hygrophores, c'était le but recherché et il est atteint !

Dans 120 ans, nous reviendrons !

Après des coupes sévères d'épicéas ravagés par les scolytes, l'ONF effectue de nouvelles plantations, avec ce message : "120 ans et plus. Les jeunes arbres plus anciens vont grandir. Rapidement un nouveau cycle de la forêt commence"

Hier, nos grand-parents étaient des cueilleurs, demain encore d'autres poursuivront les sorties mycologiques.

 Le rendez-vous pour le pique-nique sera avancé d'une demi-heure et comme prévu, nous nous rendrons vers la Chapelle de Saint Roch.

Les habitants de Miribel avaient fait le vœu de construire cette chapelle si la prière faite pour épargner le village de la peste était exhaussée.  Il en fut ainsi. Dans les années 1628 à 1630, la peste a décimé la région. De nombreuses villes ont enduré cette épidémie qui ne s’est jamais propagée jusqu’à Miribel. 

A Miribel, une autre croix légèrement postérieure est dédiée à Saint Roch sur le chemin menant à la Pierre à Mata. 

Après le pique-nique, la majorité des groupes sont repartis aux cueillettes. Images de fleurs, d'hygrophores, sont placées dans l'album photo : DEBUT2025

samedi 15 mars 2025

Sortie du 15 mars 2025 à Miribel les Echelles, annulée


Il est vrai que le 15 mars, nous sommes officiellement encore en hiver. 

Lorsque le thermomètre s'est enflammé en dépassant les 20° centigrade (voire plus) en début de  ce mois, une neige tardive et aussi abondante pour la première fois à basse altitude, a de quoi surprendre !

6 valeureuses et courageux étaient au rendez-vous du parking de l'école Vercors et elles et ils n'ont pas osé tenter l'aventure, même pour faire un bonhomme de neige !

Les hygrophores de mars (hygrophorus marzuolus) sont difficiles à dénicher, ils ont tendance à se planquer sous la mousse ou les feuilles, si en plus la neige s'en mêle, autant abandonner. Chacune, chacun sont retournés au chaud, en rêvant à la semaine prochaine puisque la chaleur sera de nouveau au rendez-vous.

dimanche 9 février 2025

Sortie raquettes sur Méaudre ce 8 février 2025


Après un peu plus de 3 mois, sans sortie, se retrouver dans les bois permet de savourer cet atmosphère que nous apprécions tant au sein de la Société mycologique de Sassenage.

Nous avons été gâtés par ce temps hivernal, avec quelques rayons de soleil caressant nos joues bien fraiches !

Treize sociétaires ont répondu présents pour cette première sortie de 2025.

Partis du parking du Brochet pour une petite balade facile au travers des gorges du Méaudret, direction la montée face Nord de la forêt de Chabaud, nous avons bifurqué par le chemin du Coin puis le chemin de Travers, afin de rejoindre la Combe de la Clochette.

Par endroits, pour affronter la neige glacée, certains ont substitué les raquettes par les crampons, sur les parties glacées et glissantes.

Dans cette clairière, nous avons découvert une belle cabane.

Après l'effort, au delà des pas effectués, chaque participant·e a transporté du bois, voici le réconfort !

Après avoir allumé le feu dans le poêle, nous ne pouvions qu'être émerveillés par le crépitement des flammes. Joëlle avait confectionné une bonne quiche que nous avons savouré, ensemble.

Démarrer avec la convivialité, c'est la pratique courante de nos balades !

L'heure du retour a sonné et nous sommes redescendus par la route de Villard de Lans.

La saison mycologique démarrera le samedi 15 mars et nous irons à la recherche des hygrophores de mars, à bientôt dans nos aventures. 

Avec cette première sortie, nous avons créé un nouvel album photo : DEBUT2025