Pour cette première sortie du mois de juillet (
nous ouvrons un nouveau diaporama été 2012), nous avions décidé en assemblée générale qu'elle serait la "ballade montagne annuelle", avec départ à 6H30 du matin.
Cette semaine a été féconde puisque nous avons accueilli Giulia, la fille d’Elisa et Marco qui est née le 5 juillet, toutes nos félicitations aux heureux parents et bienvenue à ce nouveau bébé.
L'heure matinale de ce samedi, a sans doute dissuadé quelques adhérents, mais pour celles et ceux qui ont participé, quelle journée !
Au total, nous étions 16 présents pour cette ballade en deux temps avec 608 mètres de dénivelé entre le Plan de la Vache et le Lac Léat, avec une halte au Chalet du Bout.
Entre le Chalet du Bout et le Lac Léat, il restait 2,1Km à parcourir avec un dénivelé de 327 mètres, soit 1H environ.
Parvenus au Plan de la Vache à 7H45, nous sommes arrivés au Chalet du Bout à 10H15, le choix était permis: soit rester sur place pour la cueillette de girolles, soit franchir la seconde étape avec pour seul objectif, la ballade au lac. Finalement les 9 plus téméraires d'entre nous décideront de prolonger le circuit pour ce tête à tête si particulier entre la nature en pleine explosion, avec les rhododendrons en fleurs, le Lac et le Refuge Hyppolite Chassande Baroz à 1 725mètres.
Sassenage en déplacement dans cette partie de Belledonne a donné des vases communicants: de l'antre des Cuves, le Lac Léat a vu surgir la fée Mélusine, malgré l'eau à 10°, plus fraiche que celle qui d'ordinaire lui sert de repaire dans les gorges du Furon.
Nous n'avons aperçu que la partie haute de son corps à la recherche de son Raimondin, à défaut d'un grand panier de girolles.
A 12H30, nous nous sommes tous retrouvés au Chalet du Bout pour fêter l'anniversaire de Robin, pas celui des bois, même si nous étions à quelques mètres des sapins d'Henri IV, mais du jeune Robin qui aime les bois pour ses champignons. Il n'est pas donné à grand monde de franchir sa quinzième année au milieu de cueilleurs de champignons, quel souvenir fantastique pour Robin qui a soufflé ses bougies dans un chalet de montagne.
Quand aux champignons, Jean-Jacques aura été le seul à trouver un cèpe des pins (Boletus pinophilus) d'environ 800 grammes, pour les autres ce sera des girolles, environ 300 G pour les plus chanceux.
La semaine prochaine, le samedi est un jour férié, c'est le 14 juillet, il n'y aura donc pas de sortie mycologique, nous nous retrouverons le 21 juillet, avec sans doute d'autres histoires à graver dans cette aventure amicale.
Naissance dans un couple de sociétaires : Le 5 juillet, Elisa a donné naissance à Giula, 2,8 kg pour 47 cm, la société mycologique de Sassenage adresse ses félicitations aux heureux parents et souhaite bonne chance à Giula !
C'est la première fois que la société mycologique de Sassenage testait cet itinéraire partant de Pipay jusqu'au Plan du Trou, au total, nous avons parcouru 13,6Km sur un dénivelé de 298 mètres, il était donc préférable de rester groupés même lorsqu'un plus chanceux, ou chanceuse découvrait un plaque de chanterelles et qu'il fallait répondre à l'invitation à se regrouper.
Et on monte, et on redescend et rebelote; dans la forêt de Pipay, nous avons été surpris de la multitude de rozites capératas, alors que le bois était très sec, les premières chanterelles seront trouvées au bois du Brûla, un peu plus humide, puis ensuite lors de la descente vers le Plan du Trou.
Météo mitigée, du côté de Pinsot, pluie annoncée, du côté de Saint Pierre d'Allevard, soleil voilé et éclaircies dans l'après-midi, le choix que nous avions fait de nous rendre à l'ancienne Cité minière de Vaugraine était le bon !
Au droit des voitures, Louis fut le premier à trouver deux ronds de girolles, puis rien pour la plupart, jusqu'au moment où à quelques enjambées de l'ancien bâtiment des mineurs, Laurence découvre un cercle bien fourni de ces champignons, Catherine solidaire, viendra aider notre sociétaire à terminer cette première cueillette.
Sassenage en déplacement dans cette partie de Belledonne a donné des vases communicants: de l'antre des Cuves, le Lac Léat a vu surgir la fée Mélusine, malgré l'eau à 10°, plus fraiche que celle qui d'ordinaire lui sert de repaire dans les gorges du Furon.
