Les semaines se suivent et ne se ressemblent pas ! Le terrain plat est venu supplanter les dénivelés de la montagne et les cueillettes espérées, après la nouvelle lune n'étaient pas à notre rendez-vous. Pourtant ici ou là, nous avions entendu parler de poussées de cèpes, mais dans les bois des Chambaran, la terre et les sous-bois sont restés assoiffés de pluie.
Pour accueillir les 13 participant-e-s de cette sortie, sur un circuit long de 10 kilomètres: le blog saturé, s'ouvre sur une nouvelle série de diaporama dénommé fin d'été.
Gisèle qui venait pour le première fois, trouva le premier cèpe; Georges et Gilbert les premiers pieds de moutons, mais pas de quoi rassasier nos mycologues.
A défaut de champignons, nous avons ramassé des mûres, le long du mur de la Trappe conduisant à l'abbaye de Chambaran.
Mêmes les religieuses cisterciennes semblaient en panne de production de leur fromage et vendaient celui d'une autre abbaye trappiste.
Pour accueillir notre petite troupe, des tables et bancs propices au pique-nique de luxe. Un peu déçu, le groupe décida de s'enfoncer à nouveau dans les bois par d'autres chemins non prévus dans notre itinéraire, et là surprise, Laurence découvre 3 beaux bolets orangés, et sur l'axe nous menant aux voitures, Babette découvre des pieds de moutons. Le pied de mouton aura été le champignon de la sortie.
Les prochaines sorties du 21 et du 28 août, ne seront pas commentées le soir même, mais au retour des vacances du web-master, alors je vous dis bonnes cueillettes et rendez-vous sur le blog le 30 août pour lire les exploits de nos mycologues.
samedi 14 août 2010
dimanche 8 août 2010
7 août 2010, sortie à l'Aup Bernard
Pas le moindre nuage dans le ciel ! Deux points de rendez-vous pour cette sortie sportive: à Sassenage et à Champ-Près-Froges. Au total 15 participant-e-s (deux-tiers de femmes et un tiers d'hommes)
Sortie sportive à la hauteur des 500 mètres de dénivelé à accomplir; comme le dira un sociétaire "Jean-Marc nous a gâté".
Au départ du Gleysin à 1 200 mètres, avec 7°centigrade, fallait se réchauffer et rien de tel que la marche pour y parvenir. Nous avions fait à peine une cinquantaine de mètres de dénivelé, qu'un mot magique "des girolles" allait nous conduire dans les bois. Eliane, pour sa première sortie avec la société venait rejoindre quelques minutes plus tard, le sentier avec un panier tapis de belles chanterelles; Georgette, Camille, Claudette, Martine, etc... savaient qu'elles ne reviendraient pas bredouilles de cette sortie. Joël, pour qui le rythme du dosage d'efforts est trop "pépère" arpentait à travers la forêt du pays d'Allevard, une trajectoire plus directe vers le chalet de l'Aup Bernard.
Entre cette première halte et l'arrivée vers le totem de l'Aup Bernard, près de deux heures de grimpette, sans trop s'aventurer sur les bas côtés du sentier, si ce n'est pour cueillir quelques boutons de guêtres.
Le chalet de l'Aup Bernard étant fortement convoité par une amicale de Pinsot, nous pensions rejoindre un autre champ, champ introuvable sur le coteau nord-est; décision rapide de redescendre pour pique-niquer, avec toujours le côté partage qui caractérise nos adhérents.
L'après-midi durant 2 heures, cueillette de girolles où les boutons de guêtres étaient les plus nombreux. Ici ou là, se marmonnait "ah, si elles étaient plus grosses, il y a longtemps que notre panier serait plein". Pour aider à remplir le panier, il y avait les pholiotes ridées. Au retour vers les voitures, Joël, avec sa stratégie du chamois aura était notre champion de la cueillette de girolles !
Les photos ne figurant pas dans ce billet ont été rajoutés au diaporama "Plein été 2010".
Sortie sportive à la hauteur des 500 mètres de dénivelé à accomplir; comme le dira un sociétaire "Jean-Marc nous a gâté".
Au départ du Gleysin à 1 200 mètres, avec 7°centigrade, fallait se réchauffer et rien de tel que la marche pour y parvenir. Nous avions fait à peine une cinquantaine de mètres de dénivelé, qu'un mot magique "des girolles" allait nous conduire dans les bois. Eliane, pour sa première sortie avec la société venait rejoindre quelques minutes plus tard, le sentier avec un panier tapis de belles chanterelles; Georgette, Camille, Claudette, Martine, etc... savaient qu'elles ne reviendraient pas bredouilles de cette sortie. Joël, pour qui le rythme du dosage d'efforts est trop "pépère" arpentait à travers la forêt du pays d'Allevard, une trajectoire plus directe vers le chalet de l'Aup Bernard.
Entre cette première halte et l'arrivée vers le totem de l'Aup Bernard, près de deux heures de grimpette, sans trop s'aventurer sur les bas côtés du sentier, si ce n'est pour cueillir quelques boutons de guêtres.
Le chalet de l'Aup Bernard étant fortement convoité par une amicale de Pinsot, nous pensions rejoindre un autre champ, champ introuvable sur le coteau nord-est; décision rapide de redescendre pour pique-niquer, avec toujours le côté partage qui caractérise nos adhérents.
L'après-midi durant 2 heures, cueillette de girolles où les boutons de guêtres étaient les plus nombreux. Ici ou là, se marmonnait "ah, si elles étaient plus grosses, il y a longtemps que notre panier serait plein". Pour aider à remplir le panier, il y avait les pholiotes ridées. Au retour vers les voitures, Joël, avec sa stratégie du chamois aura était notre champion de la cueillette de girolles !
Les photos ne figurant pas dans ce billet ont été rajoutés au diaporama "Plein été 2010".
samedi 31 juillet 2010
Sortie du 31 juillet 2010 à "Le Bachal" vers Val Pelouse
Un circuit jamais exploré, dans le but de tester le nouveau GPS de randonnée de notre association, ne pouvait être sans surprise !
Les girolles se trouvant dans une altitude entre 1500 et 1700 mètres, les dix sociétaires de l'association présents à ce rendez-vous, pouvaient être optimistes.
A peine entrés dans les bois de la grande montagne d'Arvillard, Cathy fut la première à trouver des chanterelles sur tout le reste du circuit du versant nord-ouest, avec quelques russules charbonnières.
Pour certains,quelques angoisses suscitées par le fort dénivelé de 227 mètres sur une distance de 650 mètres, lors du passage entre le chalet du zéro et la remontée vers Val Pelouse. Finalement en suivant notre sentier, nous nous sommes trouvés face à un cul-de-sac, privé de cet exercice physique bénéfique pour nos mollets.
Donc retour sur nos pas, à la recherche du chalet de la Grande Montagne; là aussi, impossibilité de franchir le marais précédent ce chalet.
Il faudra sûrement un bon apprentissage du guidage par GPS. Sur les coteaux Est, Martine a cueilli des cèpes orangés, de ci de là quelques girolles, mais pas de quoi satisfaire l'appétit d'un oiseau.
Heureusement, les myrtilles s'offraient à nous, il y aura des tartes au menu des adhérents de la société mycologique. Et le millepertuis en fleur permettra dans 45 jours la réalisation d'une liqueur.
L'actualité de la semaine était peut être prémonitoire, le champignon roi de la sortie a été les rozites caperates ou pholiote ridée, champignon dont on dit qu'il est fort prisé des gitans, d'où son surnom de champignons des tziganes.
Mardi prochain, en même temps que le dernier croissant de lune, la météo annonce de la pluie, gageons que la prochaine sortie du 7 août satisfera les cueilleurs. Après tout, l'espoir est permis !
Les girolles se trouvant dans une altitude entre 1500 et 1700 mètres, les dix sociétaires de l'association présents à ce rendez-vous, pouvaient être optimistes.
A peine entrés dans les bois de la grande montagne d'Arvillard, Cathy fut la première à trouver des chanterelles sur tout le reste du circuit du versant nord-ouest, avec quelques russules charbonnières.
Pour certains,quelques angoisses suscitées par le fort dénivelé de 227 mètres sur une distance de 650 mètres, lors du passage entre le chalet du zéro et la remontée vers Val Pelouse. Finalement en suivant notre sentier, nous nous sommes trouvés face à un cul-de-sac, privé de cet exercice physique bénéfique pour nos mollets.
Donc retour sur nos pas, à la recherche du chalet de la Grande Montagne; là aussi, impossibilité de franchir le marais précédent ce chalet.
Il faudra sûrement un bon apprentissage du guidage par GPS. Sur les coteaux Est, Martine a cueilli des cèpes orangés, de ci de là quelques girolles, mais pas de quoi satisfaire l'appétit d'un oiseau.
Heureusement, les myrtilles s'offraient à nous, il y aura des tartes au menu des adhérents de la société mycologique. Et le millepertuis en fleur permettra dans 45 jours la réalisation d'une liqueur.
L'actualité de la semaine était peut être prémonitoire, le champignon roi de la sortie a été les rozites caperates ou pholiote ridée, champignon dont on dit qu'il est fort prisé des gitans, d'où son surnom de champignons des tziganes.
Mardi prochain, en même temps que le dernier croissant de lune, la météo annonce de la pluie, gageons que la prochaine sortie du 7 août satisfera les cueilleurs. Après tout, l'espoir est permis !
samedi 24 juillet 2010
Sortie du 24 juillet 2010, dans les labyrinthes des forêts du Vercors
Nous étions confiants, la pluie, comme prévue a été au rendez-vous du jeudi précédent. Nous voila partis du côté de Saint Martin en Vercors, pour arpenter les forêts "les Ayards" et "les Palas", en quête de girolles.
Au départ de Sassenage, nous étions dix. A peine les véhicules étaient-ils garés, les premières girolles ont été cueillies, en somme, un bon présage !
Mais au pied de la première ascension, Odette victime d'une douleur au genou a été contrainte à l'abandon de la ballade. Pendant de longs moments, les seuls champignons présents étaient de vieux bolets noircis par l'usure du temps, ou bien des paxilles à pieds noirs (Tapinella atrotomentosa), pas de quoi faire saliver les neufs sociétaires de la mycologie.
Enfin des girolles de couleur orangée camouflées sous des tapis de feuilles, les sourires pouvaient réapparaitre !
Il y a 15 jours dans cette forêt, Michel et Martine s'étaient perdus. Nous avions donc la consigne de rester groupés. C'est groupés que nous nous sommes égarés et retrouvés sur une petite route goudronnée du côté du hameau de "Le Viouzou"; dès que ce fut possible, nous sommes rentrés dans des bois ou le buis dominait et après un long détour, nous sommes parvenus à une prairie à côté des maisons de "Le Viouzou", où nous avons décidé de pique niquer.
Retrouver son chemin dans ce labyrinthe forestier, lorsque le soleil se cache derrière les nuages, n'est pas aisé; mais ces parties de va et vient nous auront permis de découvrir des coins où les girolles s'étaient données rendez-vous.
Après 6 bonnes heures de marche, chacune et chacun disposaient de 300 à 400 grammes de champignons (girolles, russules charbonnières, polypore des brebis). Bon appétit !
Au départ de Sassenage, nous étions dix. A peine les véhicules étaient-ils garés, les premières girolles ont été cueillies, en somme, un bon présage !
Mais au pied de la première ascension, Odette victime d'une douleur au genou a été contrainte à l'abandon de la ballade. Pendant de longs moments, les seuls champignons présents étaient de vieux bolets noircis par l'usure du temps, ou bien des paxilles à pieds noirs (Tapinella atrotomentosa), pas de quoi faire saliver les neufs sociétaires de la mycologie.
Enfin des girolles de couleur orangée camouflées sous des tapis de feuilles, les sourires pouvaient réapparaitre !
Il y a 15 jours dans cette forêt, Michel et Martine s'étaient perdus. Nous avions donc la consigne de rester groupés. C'est groupés que nous nous sommes égarés et retrouvés sur une petite route goudronnée du côté du hameau de "Le Viouzou"; dès que ce fut possible, nous sommes rentrés dans des bois ou le buis dominait et après un long détour, nous sommes parvenus à une prairie à côté des maisons de "Le Viouzou", où nous avons décidé de pique niquer.
Retrouver son chemin dans ce labyrinthe forestier, lorsque le soleil se cache derrière les nuages, n'est pas aisé; mais ces parties de va et vient nous auront permis de découvrir des coins où les girolles s'étaient données rendez-vous.
Après 6 bonnes heures de marche, chacune et chacun disposaient de 300 à 400 grammes de champignons (girolles, russules charbonnières, polypore des brebis). Bon appétit !
lundi 19 juillet 2010
Sortie du 17 juillet 2010, forêt du Grand Joly à St Agnès
Cette semaine, nous étions à nouveau 13 participants à arpenter le massif de Belledonne. Après un arrêt au Habert du Grand Joly ce fût pour plusieurs adhérents, les exclamations:" Jean-Marc, j'ai trouvé des cèpes" !
Effectivement, il y a eu de très belles poussées de cèpes, mais pas des bons. Déception pour cette cueillette de bolets amers (tylopilus fellus).
Le temps sec, n'a pas permis d'entrevoir une poussée de girolles. On dit que l'espoir fait vivre, aussi nous espérons que les séquences pluviales prévues par météo France pour ce mercredi 21 ou jeudi 22 juillet seront avérées, ce qui augurera d'une sortie plus sympathique pour la semaine prochaine.
Nous avons fait notre pause repas à la grange de la Tillasse.
Belle balade, l'honneur de cette sortie a été sauvé par Joël, avec 4 cèpes d'été, par Jean-Marie et Georges qui ont réuni une dizaine de girolles séchées.
Retour sympa avec l'accueil d'un pot offert au chalet d'Odette à Saint Jean-le Vieux.
Jean-Marc avait oublié son appareil photo et Michel n'était pas de la sortie, les photos prises par Joël éclairent ce billet !
samedi 10 juillet 2010
Sortie du 10 juillet 2010 sur les Ayards et les Malichères
Pas la moindre goutte d'eau durant cette 27ème semaine de l'année. Le plan canicule déclenché sur le Rhône, alors que dans l'Isère le thermomètre était à la limite de la fièvre. Dans ces conditions de sécheresse, allions-nous trouver des champignons ?
Et bien oui, peu de girolles mais beaucoup de cèpes d'été (boletus aestivalis) ou bolet réticulé, quelques polypores des brebis (Albatrellus ovinus), des russules notamment la charbonnière (russula cyanoxantha) et d'autres que nous avons simplement photographiés pour le diaporama "plein été 2010" comme la russula aquosa !
Cette grande cueillette était-elle due, au fait que notre sortie réunissait treize sociétaires ?
Pourtant à table, la superstition dit que ce chiffre porte malheur, peut-être n'est-ce pas tout à fait inexact.
Au moment de se rassembler pour le pique-nique, Michel et Martine invités à rejoindre le groupe, se sont trompés de crête, il est vrai que dans cette forêt "les Ayards", les vallons ne manquent pas. Il aura fallu toute la clairvoyance de Jean-Marc, pour mettre notre couple sur la bonne voie. Une heure plus tard, tout le groupe s'est retrouvé autour des voitures pour apprécier les boissons fraîches et se préparer à se restaurer. Pas le temps de s'asseoir qu'un cèpe, puis deux, puis quatre se sont invités à nos regards.
La tendance générale a donc été de faire vite pour manger et à nouveau se précipiter dans les bois, cette fois, en face sur la forêt "les Malichères".
La cueillette de l'après midi a permis de compléter les paniers, dans le même temps, nous avons pu admirer des orchidées comme la céphalanthère (Cephalanthera damasonium), l'orchis pyramidale (Anacamptis pyramidalis), etc... Images qui viennent compléter notre diaporama. Note finale de cette journée fructueuse et à rebondissements, fêter l'anniversaire de Sylvie "happy birthday to you"
Et bien oui, peu de girolles mais beaucoup de cèpes d'été (boletus aestivalis) ou bolet réticulé, quelques polypores des brebis (Albatrellus ovinus), des russules notamment la charbonnière (russula cyanoxantha) et d'autres que nous avons simplement photographiés pour le diaporama "plein été 2010" comme la russula aquosa !
Cette grande cueillette était-elle due, au fait que notre sortie réunissait treize sociétaires ?
Pourtant à table, la superstition dit que ce chiffre porte malheur, peut-être n'est-ce pas tout à fait inexact.
Au moment de se rassembler pour le pique-nique, Michel et Martine invités à rejoindre le groupe, se sont trompés de crête, il est vrai que dans cette forêt "les Ayards", les vallons ne manquent pas. Il aura fallu toute la clairvoyance de Jean-Marc, pour mettre notre couple sur la bonne voie. Une heure plus tard, tout le groupe s'est retrouvé autour des voitures pour apprécier les boissons fraîches et se préparer à se restaurer. Pas le temps de s'asseoir qu'un cèpe, puis deux, puis quatre se sont invités à nos regards.
La tendance générale a donc été de faire vite pour manger et à nouveau se précipiter dans les bois, cette fois, en face sur la forêt "les Malichères".
La cueillette de l'après midi a permis de compléter les paniers, dans le même temps, nous avons pu admirer des orchidées comme la céphalanthère (Cephalanthera damasonium), l'orchis pyramidale (Anacamptis pyramidalis), etc... Images qui viennent compléter notre diaporama. Note finale de cette journée fructueuse et à rebondissements, fêter l'anniversaire de Sylvie "happy birthday to you"
samedi 3 juillet 2010
3 juillet 2010 du Habert des Sabottes à le Grand Chavon
Quelle journée ! Face à la canicule grenobloise et à son pic de pollution, il importait de rechercher la fraicheur de nos montagnes.
Au départ de Sassenage, nous étions 10 pour effectuer une ballade dans la forêt de Saint Mury Monteymond et nous rendre au Habert des Sabottes à 1811 mètres, soit un dénivelé de 326 mètres. Sur le parcours du chemin caillouteux nous permettant d'atteindre le parking, Georges fit faire une première halte aux véhicules, pour nous permettre de cueillir les premières girolles de la journée; la route très humide était un signe propice pour la cueillette.
Apparemment les conditions atmosphériques ne sont pas les seuls paramètres d'une bonne cueillette. Après 1H30 de marche, sans le moindre champignon en vue, nous avons atteint ce refuge dit "Habert des Sabottes", merveilleuse petite bâtisse aménagée mise à la disposition des randonneurs.
Pour trouver des champignons nous étions à une altitude trop élevée, il ne restait plus qu'à amorcer la descente.
Au cours du pique-nique, Odette qui n'avait pas pris le même point de rendez-vous final, nous aura rejoint, non sans avoir cueilli quelques cèpes et girolles à 1358 mètres d'altitude.
Nous décidâmes de rejoindre l'autre versant en nous rendant au Col des Mouilles "le Grand Chavon", le premier champignon rencontré en abondance, accompagné d'une ribambelle de moustiques, a été la pholiote ridée qui constitue un excellent comestible elle rappelle étrangement le goût des cuisses de grenouilles, puis ce fût les girolles ou chanterelles.
Découverte de bolets à pied rouge (boletus erythropus) le nec des mycologues, très souvent rejeté à cause de son bleuissement intense, le bolet des pins (pinicola), le bolet à beau pied (calopus), de saveur amère ce champignons se classe dans les non-comestibles.
De nombreuses amanites, mais nous les oublierons ! Retrouvez les différentes photos dans le nouveau diaporama "Plein_été_2010"
Au départ de Sassenage, nous étions 10 pour effectuer une ballade dans la forêt de Saint Mury Monteymond et nous rendre au Habert des Sabottes à 1811 mètres, soit un dénivelé de 326 mètres. Sur le parcours du chemin caillouteux nous permettant d'atteindre le parking, Georges fit faire une première halte aux véhicules, pour nous permettre de cueillir les premières girolles de la journée; la route très humide était un signe propice pour la cueillette.
Apparemment les conditions atmosphériques ne sont pas les seuls paramètres d'une bonne cueillette. Après 1H30 de marche, sans le moindre champignon en vue, nous avons atteint ce refuge dit "Habert des Sabottes", merveilleuse petite bâtisse aménagée mise à la disposition des randonneurs.
Pour trouver des champignons nous étions à une altitude trop élevée, il ne restait plus qu'à amorcer la descente.
Au cours du pique-nique, Odette qui n'avait pas pris le même point de rendez-vous final, nous aura rejoint, non sans avoir cueilli quelques cèpes et girolles à 1358 mètres d'altitude.
Nous décidâmes de rejoindre l'autre versant en nous rendant au Col des Mouilles "le Grand Chavon", le premier champignon rencontré en abondance, accompagné d'une ribambelle de moustiques, a été la pholiote ridée qui constitue un excellent comestible elle rappelle étrangement le goût des cuisses de grenouilles, puis ce fût les girolles ou chanterelles.
Découverte de bolets à pied rouge (boletus erythropus) le nec des mycologues, très souvent rejeté à cause de son bleuissement intense, le bolet des pins (pinicola), le bolet à beau pied (calopus), de saveur amère ce champignons se classe dans les non-comestibles.
De nombreuses amanites, mais nous les oublierons ! Retrouvez les différentes photos dans le nouveau diaporama "Plein_été_2010"
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