samedi 30 août 2025

Sortie du 30 aout 2025 aux Seiglières

Malgré la pluie matinale qui a freiné quelques ardeurs, nous étions 19 à cette sortie sur le massif de Belledonne.

Jean-Marc avait concocté un grand tour passant par la table d'orientation, le Marais, la Cabane A.Bonnet et le chemin des Gardes, au total 11,5Km. Le peu de dénivelé annoncé s'est transformé sur le terrain en ascension de 118 étages, soit 354 mètres.

Dès le départ de ce circuit, les premiers champignons étaient des mycènes roses (Mycena rosea), toxiques.

A proximité de la table d'orientation, compte tenu de l’épaisseur du brouillard, nous nous sommes dirigés vers le Marais sur un sentier ardu qui nous a permis de gravir 98 mètres de dénivelé.

A cet endroit, des billes de bois tractées par des chevaux de traits, nous ont offert un joli spectacle. L'harmonie entre les avancées des animaux guidés par la voix du maitre, était impressionnante. 

Les 19, se sont répartis en différents points, ici ce fut plutôt russules charbonnières, ailleurs chanterelles en tubes, pas de grosses quantités, mais juste le plaisir de ne pas revenir bredouille !

Compte tenu de la longueur du circuit, des élans ont été réfrénés, alors qu'il restait des spécimens comestibles.

Sur le sentier, quelques girolles ont été trouvées dont celle en photo dénichée par Jacques qui l'a offerte à Michel, en lui disant: " avec 1 seul champignon, je vais faire quoi ? "

José se plait à parcourir les bois, à un moment il sera en bas et quelques minutes plus tard au-dessus de la troupe. Ces différents mouvement de va et vient lui ont porté chance puisqu'il a découvert un sparassis crépu, dit la morille d'automne (Sparassis crispa). Ce champignon à l'odeur de cannelle est un très bon comestible.

Ce champignon n'est pas facile à nettoyer, il faut le faire tremper dans de l’eau vinaigrée en le secouant un peu pour enlever le plus de cochonneries possibles. Ensuite déchirez le en morceaux que vous allez passer sous l’eau courante en les nettoyant avec un pinceau. Mettez les à égoutter au fur et à mesure. 

Le champignon doit être blanchi 5 mn à l’eau bouillante, ce qui a pour but non seulement d’éviter des erreurs de sous cuisson mais aussi de peaufiner le nettoyage. En effet, au bout de 5 mn débarrassez à l’aide d’un écumoire pour plonger les morceaux de champignons dans un saladier d’eau glacée. Vous allez alors voir remonter à la surface tout un tas d’impuretés que vous n’avez plus qu’à enlever avec une cuillère. Égouttez, séchez le champignon avec un essuie tout. J'ai trouvé cette recette de la cuisine de Nat, très sympathique, rendez-vous sur son site

Lorsque nous sommes arrivés à la baraque A.Bonnet, un groupe de jeunes étudiantes et étudiants lyonnais venait de faire cuire des pâtes, du coup, nous avons installé une table supplémentaire, sortie les bancs et une chaise, histoire d'échanger et de partager nos apports respectifs.

Après ce pique-nique, 7 personnes ont souhaité raccourcir ce long trajet en descendant directement aux voitures, les 12 autres sur un sentier étroit et souvent glissant dit du chemin des gardes ont pu voir au loin, la cascade de l'Oursière, tout en regardant continuellement leurs pieds pour éviter le faux-pas. 

Ce circuit complet est de 12,8km et il faut compter environ 5 heures pour faire cette boucle complète. Pour notre part, nous avons fait la partie entre la cabane et les Seiglières. De préférence, il faut éviter les lendemains pluvieux !

La semaine prochaine, la Société mycologique de Sassenage a fait le choix de poursuivre ses sorties plutôt que de participer au forum de la vie associative. 

Nous avons 17 personnes en liste d'attente. Les sociétaires actuels seront prioritaires pour la ré-adhésion qui s'ouvrira dans les jours à venir. 

Après la tenue de notre Assemblée générale du 19 septembre, en fonction des places vacantes, nous ouvrirons la possibilité de l'adhésion aux demandes en cours.

Les photos réalisées sur cette sortie, seront les dernières qui complèteront le dossier :  ÉTÉ 2025  

samedi 23 août 2025

Sortie de la mycologie Sassenage du 23 aout 2025 au Clos de Lans


Dans les prairies, les colchiques (Colchicum alpinum) étaient nombreux, est-ce le signe de la fin de l'été ?

Une chose en tout cas est certaine, avec la participation de 17 sociétaires imaginant entrevoir, après les quelques minis pluies des jours précédents, des parterres de champignons, aucune girolle, pas de cèpe et pas de lépiote en bordure de forêt.

Nous sommes partis du parking de La Conversaria à Villard de Lans en direction des prairies de Machiret.

Sur le chemin, nous avons croisé un beau spécimen d'escargot, signe de l'humidité ambiante, un peu plus loin, ce fut un serpent, plutôt signe de sécheresse.

La mousse dans les bois était belle, mais il a fallu gravir du dénivelé avant de découvrir les premiers champignons: 

  • russule émétique, chapeau rouge saumon (Russula emetica) qui malgré sa bonne odeur fruitée d'abricot est toxique
  • russule fétide, chapeau brun crème (Russula foetens) son odeur désagréable de corne brulée, n'incite pas à la consommation
  • coprin chevelu, un peu vieux (Coprinus comatus), c'est un bon comestible lorsqu'il est très jeune 
  • Vesse de loup (lycoperdon piriforme) bon comestible 
Au fil des sentiers, les fleurs de carlines et chardons laineux de montagne tentaient de rivaliser avec le faux safran


 

Du côté des fruits, nous avons trouvé : pommes sauvages, framboises, groseilles, noisettes.

Sur le Belvédère de Pierre Berchue, nous pouvions voir d'en-haut la commune de Villard de Lans et nous en avons profité pour réaliser la photo de groupe.

Nous voici partis vers la Fontaine de Font Froide, sur le chemin à 1440 mètres, les 2 rochers dressés de Pierre Brochia sont sur une partie plutôt plane et herbeuse et dans quelques instant, c'est la partie très caillouteuse qu'il faudra gravir !

En différents points, nous rencontrons des vaches et des veaux. 

Pour contraindre les jeunes à assurer leur subsistance, en cessant d'allaiter leur mère, des anneaux anti-tétée ont été placés sur leurs narines.

Sur les 130 mètres de dénivelé, par moments la difficulté vient de la terre ou des pierres mouillées.

Progressivement l'ascension nous mène vers la Fontaine de Font Froide. Plus haut, dans des temps très lointains sur le sentier qui mène au col de l’Arc se trouve un replat orienté au sud. Abrité du vent, il a été fréquenté par les hommes préhistoriques vers 10 000 ans av.J-C, alors que les glaciers disparaissaient.
Plus de 1000 objets en silex ont été découverts à la suite de travaux réalisés pour le captage de la fontaine toute proche C’est la présence de l’eau et du silex, ainsi que la bonne exposition du site qui ont attiré les chasseurs de la Préhistoire sur ce lieu.

Tout la haut se dresse la Cabane de Font Froide. L'abri rénové par le Parc Naturel Régional du Vercors, en lien avec la mairie de Lans en Vercors et Villard de Lans, dispose de deux pièces avec table et banc.

Le Conseil Municipal des Jeunes et les services techniques ont fortement contribué, avec l'ensemble des acteurs, à la réussite de ce projet de rénovation de l'abri de Font Froide à 1570 mètres. 
Le temps du casse-croute partagé se fera autour de cet abri. La fréquentation de ce chemin est très importante et durant notre périple, nous croiserons la route de plusieurs dizaines de personnes.
Une très belle balade ou un bolet orangé des chênes (Leccinum aurantiacum) a été trouvé par Johan.
Au total, notre circuit a été de 9,8 Km et nous avons cumulé 473 mètres de dénivelé.

Les photos réalisées par Bernadette, Manon et Michel ont été rajoutées dans le dossier :  ÉTÉ 2025  

 
 
 

dimanche 17 août 2025

Sortie Montagne du 16 aout 2025 au sommet du Grand Chat


Compte tenu d'un dénivelé d'au moins 500 mètres, par ces journées très chaudes, voire caniculaires, le rendez-vous au Parking de l'école Vercors à Sassenage était avancé pour un départ à 7 heures.

6 sociétaires étaient présents pour affronter cette fabuleuse journée. 

A 8H30, le groupe a pu s'élancer du parking de la Teppe Verte situé à 1518 mètres.

La montée s'est effectuée par le Col su Champet via la baraque de la Jasse. Le thermomètre affichait à peine 17° et il importait de réaliser plusieurs pauses.

Sous le Col du Champet, il y avait des champignons: des russules !

C'est au Col du Champet à 1722 mètres que la première difficulté est apparue: un passage raide mais sécurisé jusqu'aux Crêtes des Mollards.

A 1880 mètres, la seconde pause s'imposait pour admirer le panorama magnifique sur la Chartreuse et les Bauges, alors qu'au Nord, le Mont-Blanc s’offrait à la vue des participantes et participants. 

Arrivée à 10H45 au Sommet du Grand Chat à 1992 mètres, l'échange avec un groupe de jeunes qui lui effectuait la traversée de Belledonne, a été sympathique.

Pour se rendre au lac des Grenouilles, il fallait descendre par les Trois Mollards.

A midi et demi, le refuge de l'Arbérétan à 1750 mètres était en vue, ce sera la pause casse-croûte.

Pour l'après-midi, deux groupes se sont formés avec des objectifs de cueillettes différentes:

  • 1er groupe, les myrtilles
  • 2ème groupe, légèrement plus bas, les framboises.

Sous ce grand beau temps, la température était de 24° au refuge.

En descendant sur le chemin du retour, Jean-Marc a trouvé un jeune cèpe, il est vrai qu'à cet endroit les amanites tue-mouches étaient nombreuses.

A 17 H, le groupe était de retour sur Sassenage, là le thermomètre affichait 37°.

Les photos réalisées par Bernadette, Georgia, Jean-Marc, Joelle et Philippe ont été rajoutées dans le dossier :  ÉTÉ 2025  

samedi 9 août 2025

Sortie myrtilles du 9 aout 2025 à Val Pelouse


La saison des vacances a un impact sur la participation aux sorties. Nous étions 4 au rendez-vous du Parking de l'école Vercors à Sassenage et 2 sur celui de Le Champ-Près-Froges.

A défaut de champignon, nous avons choisi Val Pelouse pour la cueillette de myrtilles. Ce fruit a lui aussi souffert des conditions climatiques: nos récoltes potables, ont été bien moindres que celles d'autres années.

Nous sommes allés sur la partie Sud de cette ancienne station de Ski et il nous aura fallu 1 heure depuis le Parking de Val Pelouse, pour atteindre ce point.

Comme depuis le moyen-âge, génisses et veaux sont présents en été dans cet alpage. 

Les pentes sont raides et entre les myrtilliers, les rhododendrons et les airelles des marais, il y a parfois des crevasses d'une bonne vingtaine de centimètres et il arrive que ces dévers occasionnent des chutes qui vous font perdre votre récolte.

Dans l'un de ces trous, Michel B. s'est coincé le pied droit sur des racines de rhododendrons. En voulant se défaire de cette mauvaise posture, le lacet s'est défait et la chaussure est restée coincée. 

Il lui aura fallu beaucoup d'efforts pour remettre son pied dans la chaussure et pour rejoindre le groupe installé plus haut à l'ombre pour le pique-nique.

Les bienfaits de la myrtille sauvage : 

La myrtille contient de puissants antioxydants. Elle possède aussi des flavonoïdes, des tanins et des anthocyanes. Avec, entre autres, des vitamines A, B, C et E, elle aide à lutter contre le vieillissement cellulaire, du type varices, en favorisant la solidité des parois du système vasculaire. Elle est aussi réputée agir sur la vision en diminuant le risque de maladie liées à la vue, comme la DLMA. 

Notre champion pour cette sortie aura été Joël G.

Avec la succession de journées chaudes ou caniculaires, le champignon se retrouve déboussolé et de ce fait, place les mycologues dans l'incertitude de prévisions de poussées fongiques. 

L'Institut national de recherche pour l'agriculture, l'alimentation et l'environnement ( l'INRAE) nous apprend qu'un arbre peut interagir simultanément avec plusieurs centaines d’espèces de champignons symbiotiques, par exemple des bolets, des lactaires, des cortinaires ou des amanites. En forêt, toute perturbation environnementale a un impact néfaste sur cette diversité. 

Ces études démontrent que toutes perturbations, d’origine naturelle ou anthropique, retentissent sur les interactions symbiotiques en équilibre plus ou moins instables. Les connaissances actuelles sur les relations forêt-champignons montrent donc clairement que tout projet à long terme de gestion durable des ressources forestières doit se préoccuper de la stabilité des interactions complexes entre champignons et végétaux. Toute réduction de la biodiversité fongique d’un sol représente donc une menace réelle pour la stabilité et la durabilité d’un écosystème forestier.

À peine 5 % des cinq millions d’espèces fongiques de notre planète sont identifiés et répertoriés. Il est donc indispensable de multiplier les expéditions mycologiques dans les « points chauds de biodiversité » afin de parfaire notre connaissance de la stupéfiante diversité des champignons. Ainsi, nous pourrons les protéger et mieux comprendre leurs rôles biologiques et écologiques.

Dans quelques années, il sera vraisemblablement possible de semer ou de planter des arbres « fortifiés » par des champignons sélectionnés. Ces arbres, protégés par leurs alliés microbiens, seront plus aptes à résister aux conditions environnementales stressantes imposées par les dérèglements climatiques. 

Les images faites par Michel et Martine ont été rajoutées dans le dossier :  ÉTÉ 2025   

 

samedi 2 août 2025

Sortie mycologique du 2 aout 2025 au Poursollet


A 6H30, une belle averse a assombri le ciel de Sassenage jusqu'à le faire virer au gris foncé. Est-ce cet effet, ou bien un plus grand nombre de sociétaires en vacances qui se sont soldés par une faible participation d'adhérentes et adhérents, sept au total.

A 9H15, avec à peine 9°, les maisons sont chauffées, pour nous, il était préférable de ne pas trop trainer. 

L'équipe s'est élancée en direction du lac du Poursollet, après à peine 20 mètres de parcouru à l'orée du bois, Martine découvre les 3 premières girolles, un bon signe !  

Aujourd'hui, la couleur de cette étendue d'eau était comme l'atmosphère, plutôt grise, néanmoins, nous avons réalisé la photo de groupe à cet endroit-là.

A un habitant de l'un des chalets nous demandant si nous allions faire l'ascension du Taillefer, nous lui répondrons : "non, seulement le marais des Sagnes".

Sur un espace, Olivier trouvera sa première plaque de girolles; est-ce à partir de cette trouvaille qu'il décidera de questionner le groupe, plus tard 

Manon et Denise mettrons un peu plus de temps pour les découvertes, notamment de belles girolles, les plus petites demeuraient plus faciles. 

Les russules des épicéas ou Russula integra sont nombreuses, elles ont une saveur douce. Jean-Marc et Manon cuisineront les meilleurs spécimens cueillis. 

Nous avons croisé d'autres variétés de champignons : la très belle amanite vaginée ou fauve qui sert de Une à ce billet, jeunes polypores soufrés, vesses de loup perlées, pieds de moutons, bolet à beau pied clitocybe du bord des chemin; dans la famille des clavaires,  le ramaire de l'argent (Ramaria largentii), etc.. 

A 11H40, une petite averse de 23 minutes est venue perturber nos recherches. En partant des voitures, nous avions pris nos sacs à dos pour pique-niquer dans la forêt. En principe, personne n'apprécie une collation sous la douche et même si Michel avait prédit, s'appuyant sur les données de l'application météo, la fin de la pluie à 12H13, le doute nous fera rebrousser chemin.

Nous libèrerons deux places du parking du lac de Poursollet, pour aller stationner à proximité du Lac Punay et ainsi, nous retrouver abrités du vent, le soleil viendra face à nous, nous réchauffer et dans ce secteur René complètera sa cueillette, après le repas.

C'est vers la fin, que notre ami Olivier, nous questionnera : "qui peut dire c'est quoi un champignon infundibuliforme ? " Aucun d'entre nous, n'aura la réponse et pourtant, parmi les girolles cueillies, certaines correspondent à cet adjectif. On dit qu'il est infundibuliforme s'il a une forme d'entonnoir, c'est-à-dire qui a la forme d'un cône renversé, à savoir évasé vers le haut, puis plus pointu vers le bas.

Les images faites par Michel, Manon et Martine ont été rajoutées dans le dossier :  ÉTÉ 2025   

 

dimanche 27 juillet 2025

Sortie mycologique du 26 juillet 2025 au Chalet du Bout

Après une semaine d’orages et de pluies sur le massif des Alpes, la situation météo a complètement changé pour devenir favorable à un démarrage de la pousse fongique. 

Jean Marc avait eu des tuyaux sur un démarrage des girolles au Gleyzin. 

Sur le parking de l'école Vercors de Sassenage, 8 sociétaires prennent la direction d’Allevard. Ils sont attendus sur le parking de Le Champ-près-Froges par deux adhérents. 

Le groupe laisse les voitures sur le parking du Bourgeat Noire et il entame une montée difficile d’une grosse heure. Le message annonçant la sortie précisait les 450 mètres de dénivelé à accomplir.

Un « grouppetto » se forme et une solidarité s’installe, en maugréant, mais la présence de petites girolles ou chanterelles au beau milieu du sentier rocailleux, est de bonne augure. 

La motivation fera le reste ! 

À mi-chemin Olivier attire l'attention sur une curiosité que personne n’a jamais vue : posé sur un caillou, un étrange petit « serpent » long de 60 centimètres et fin comme un cheveu transparent, se tortille. Inconnu de tous, une seconde rencontre aiguisera la soif d'en savoir plus.

 

Jean-Luc filme et transmet au webmaster sa découverte !

Voici tel-quel, les éléments trouvés sur le net auprès de wikipédia :  

Les nématomorphes (parfois appelés Gordiacea , et communément connus sous le nom de vers à crin de cheval , serpents à cheveux , [ 1 ] [ 2 ] [ 3 ] ou vers gordiens ) sont un embranchement d' animaux parasitoïdes superficiellement similaires aux vers nématodes en morphologie , d'où leur nom. La plupart des espèces ont une taille comprise entre 5 et 10 centimètres (2 à 4 pouces), atteignant 2 mètres (6 pieds 7 pouces) dans les cas extrêmes, et 1 à 3 millimètres (0,039 à 0,118 pouce) de diamètre. Les vers à crin de cheval peuvent être découverts dans les zones humides, telles que les abreuvoirs, les piscines, les ruisseaux, les flaques d'eau et les citernes. Les vers adultes sont libres, mais les larves sont des parasites d' arthropodes , tels que les coléoptères , les blattes , les mantes religieuses , les orthoptères et les crustacés . [ 4 ] Environ 351 espèces d'eau douce sont connues [ 5 ] et une estimation prudente suggère qu'il pourrait y avoir environ 2 000 espèces d'eau douce dans le monde. [ 6 ] Le nom « gordien » provient du légendaire ud gordien . Cela est lié au fait que les nématomorphes s'enroulent souvent en boules serrées qui ressemblent à des nœuds. [ 7 ]

Vers onze heures, le totalité du groupe est parvenue au chalet du bout. Jean Marc donne rendez vous à 13 h pour le pique nique, et chacune et chacun, s’éparpillent dans la forêt à la recherche des champignons. 

Très vite tout le monde se retrouve à genoux pour ramasser les girolles. 

À 13 h la troupe est ravie d'avoir accompli une si belle cueillette. La montée fatigante est récompensée et vite oubliée. Moment de partage convivial, vers 14 heures et en file indienne, le chemin de la descente, s'amorce ! 

Le plafond nuageux très bas obstrue les sommets alentours, l'orage est menaçant au loin. A cette heure là, sur Sassenage, il tombe des cordes. 

Dans cette partie du Grésivaudan, le groupe se permet d'effectuer un arrêt à Allevard pour savourer un demi en écoutant les orgues de barbarie et autre limonaire. 

Pour sa 10ème édition, le festival Orgue en lac fait son retour à Allevard. Les musiciens accompagnés de leur orgue de Barbarie viendront interpréter des morceaux dans les rues puis au lac de la Mirande. 

Ce compte-rendu est réalisé par Jean-Luc Bolard. Les images faites par Georgia et Jean-Luc la semaine dernière et cette semaine sont venues garnir, le dossier :  ÉTÉ 2025