J'ai choisi ce nom parce que la miche évoque à la fois mon prénom et aussi le bon pain d'autrefois. Roulée parce qu'en imaginant cette recette, j'ai voulu rajouter une couche évoquant la buche et d'automne par le choix du champignon incorporé, la chanterelle en tube.
Ingrédients :
Farine bio type 65, 500G
Chanterelles en tube: 350G
Boite tomate pelées entières : 240G
Bûche de chèvre : 90G
Huile d'olive : 15 cl
Basilic séché : 15G
Levure de boulanger sèche 8G
Sel 15 G
Poivre 5G
Oignon: 1 moyen
ail 1 grain
Eau : 150G
Préparation :
J'ai commencé à préparer un pré-levain avec les 150G d'eau, la même équivalence en farine que j'ai laissé reposer 6 heures.
J'ai préparé ma sauce type pizza avec l'oignon que j'ai coupé finement et que j'ai fait rissoler avec une pointe d'huile d'olive (5cl). J'ai rajouté mon grain d'ail ciselé, puis le jus de la boite de tomates pelées, ensuite j'ai émincé les tomates qui ont été incorporées dans la sauce, puis le basilic, 7G de sel et le poivre. A feu doux, j'ai fait mijoter 30 mn.
J'ai fait cuire mes chanterelles pour qu'elles rendent leur jus et incorporé progressivement la buche de chèvre.
Nous voici à l'étape de la constitution de la pâte: au levain, j'ai incorporé les chanterelles avec le jus, rajouté 10 cl d'huile d'olive, 8 G de sel et 320G de farine en pétrissant le tout. Ce pâton, je l'ai laissé se reposer une heure avant de l'étaler au rouleau.
Sur la pâte étalée, j'ai rajouté une couche de sauce tomate et le reste de la farine a été utilisé pour réaliser le roulé que j'ai déposé sur un papier sulfurisé.
3 Heures plus tard, j'ai badigeonné avec le reste de sauce ce pâton avant de l'enfourner durant 30 minutes dans un four réglé à une température de 250°.
A la sortie, après refroidissement j'ai découpé en fine tranches ce résultat exquis pour les papilles.
Un communiqué du Ministère de la Santé via l’ANSES fait état au 13 aout 2024, de 400 cas d’intoxications depuis le 1er juillet.
Parmi ces 400 cas 32 cas graves dont 20 correspondent au syndrome phalloïdien, 2 ont nécessité une greffe hépatique et il y a eu un décès.
Face à cette situation, la société mycologique de Sassenage est sollicitée pour répondre à des interviews afin de conseiller sur la pratique de la cueillette de champignons.
Jean-Marc Buquet a répondu à la sollicitation de France Bleu Isère et Michel Barrionuevo à celle de Radio ISA, et tous deux au Dauphiné Libéré.
Rappelons quelques règles :
Dans l’Isère 30% des forêts sont communales ou domaniales et 70% sont privées.
Dans la forêt, vous n’allez pas faire vos courses.
L’idéal est de disposer d’un panier en osier d’une contenance de 5 litres (c’est la dose maximale de cueillette permise). Si vous n’en possédez pas, utilisez un sac en tissu permettant aux champignons de respirer. Alors pas de sacs plastique, la fermentation rapide altère le champignon ramassé. Quel dommage …. !
Ramasser les sujets jeunes, mais pas trop petits.
Ne mélangez pas les différents champignons entre eux, séparez-les afin de s’assurer qu’aucune contamination d’un mortel ne soit venue perturber le bon comestible.
Le 30 septembre 2024, sur le marché de Vence (06), des Oronges (amanite des Césars) vendues, avaient été en contact avec des œufs d’amanites phalloïdes.
Attention aux confusions :
Ne cueillir que les spécimens que vous connaissez parfaitement et non pas approximativement, les sujets Sains, en veillant à ce qu’ils soient complets (de la tête au pied) pour une détermination la plus proche de la réalité.
Prenons l’exemple des lépiotes : la lépiote élevée et la mamelonnée sont comestibles. La lépiote des jardins ou lépiote vénéneuse ainsi que la lépiote brune, la lépiote de Morgan, sont toxiques.
Si les spécimens que vous connaissez bien se trouvent le long d’une route, ne les cueillez pas. Le champignon est une grosse éponge, des polluants les ont surement imprégnés.
Ne pas se fier à l'application de son téléphone
Sur votre téléphone portable, vous avez téléchargé une application vous permettant la détermination, ne faites pas confiance aux résultats donnés, vérifier encore.
Un champignon, ce n’est pas seulement une image, c’est aussi un biotope, une odeur ; par exemple, le sanguin, le lactaire délicieux ne se trouvent que sous les pins, pas sous les épicéas, les sapins !
De préférence, faites confiance à votre Pharmacien.ne. En cas de doute, il-elle vous renverra vers un déterminateur d’une association mycologique.
Votre pharmacien ou le déterminateur, s’il ne connait pas parfaitement le champignon vous conseillera de vous en débarrasser. Soyez indulgent, il y a plus de 4 000 variétés recensées en France et en Europe, personne n’est en capacité de tout connaitre !
Ne cédez pas à la mode du carpaccio, il faut faire cuire tous les champignons.
Certains nécessitent une durée d’au minimum une quinzaine de minutes, par exemple, le bolet à pied rouge ou bien au printemps, la morille ;
Le champignon n’est ni un légume, ni un fruit, il a son propre règne, le fongique ;
Ce n’est pas parce que le champignon est une source riche en protéines, en fibres, en vitamines et sels minéraux, qu’il faut en abuser.
La recommandation est de limiter en moyenne sa consommation à 200 grammes par adulte et par semaine.
Un champignon décrit comme comestible à un moment donné peut changer de catégorie et devenir impropre à toute consommation. Dans les années 1980, le gyromitre était vendu à l’état sec, comme un excellent comestible, aujourd’hui les progrès de la science ont montré que la maladie de Charcot pouvait être imputée à son composé hautement toxique, la gyromitrine, et au syndrome gyromitrien, par intoxication lente pouvant être mortelle.
Beaucoup de guides décrivent l’armillaire couleur de miel comme un excellent comestible. Il est important de savoir que ce champignon renferme des substances potentiellement toxiques à long terme (intoxications de type gastro-intestinal) : il est donc très déconseillé de le consommer tout comme les autres armillaires.
Des chercheurs analysent sans cesse les espèces et il n’est pas rare de voir des déclassements. Même les plus aguerris d’entre les mycologues sont sensés se tenir informés de tout changement.
Les appellations évoluent également pour permettre une identification homogène entre territoire. C’est le cas des chanterelles nommées girolles, des trompettes chanterelles nommées chanterelles en tubes. …. Etc. Il faut savoir de quoi l’on parle, même si nous avons toujours appelé les girolles chanterelles, l’habitude n’est pas une bonne raison.
En cas d’intoxication: les symptômes peuvent apparaitre parfois 12 heures plus tard : diarrhées, douleurs abdominales, vomissements, nausées, tremblements, vertiges, troubles de la vue… Immédiatement composer le numéro du centre anti-poison.
Sur notre région, c’est celui de Lyon au 04 72 11 69 11, ou alors le 15.
21 adultes et 3 enfants étaient présents pour cette balade dans les bois de Chambaran.
Pourquoi on dit les Chambaran, sans mettre de "s" ? Cette déclinaison dans le département de l'Isère vient du terme ancien "champ bon à rien" !
Comme à chaque fois qu'un plan du lieu est remis à chaque participant, une recette l'accompagne. Celle du jour, concoctée par Jean-Marc avait un lien avec le champignon du moment, la trompette des morts. Allez savoir pourquoi, ce jour, personne n'a pu cueillir ce champignon sur un secteur adapté, avec des châtaigniers !
Sur les deux groupes constitués, la grande poussée concernait l'hygrophoropsis aurantiaca ou fausse girolle. Dans le livre de Guillaume Eyssartier et Pierre Roux : le Guide des champignons France et Europe (le 5ème volume à jour vient de paraitre), les auteurs écrivent : "La fausse girolle est facile à confondre avec la Girolle dont elle se distingue par sa chair molle et insipide et ses lames qui se détachent facilement de la chair du chapeau. "
Second champignon très présent, Armillaria mellea, l'armillaire couleur de miel. Il est important de savoir que l'armillaire couleur de miel renferme des substances potentiellement toxiques à long terme (intoxications de type gastro-intestinal): il est donc très déconseillé de le consommer tout comme les autres armillaires.
Dans le groupe de Jean-Marc, l'Imleria badia ou bolet bai a été découvert, quelques chanterelles en tubes et quelques petits pieds de mouton, quelques Leccinum aurantiacum ou bolet orangé : enfin des comestibles !
Dans le groupe de Olivier, cheminant par une autre combe, quelques Boletus edulis,cèpes de Bordeaux.
La chanson bien connue de cette fleur rencontrée dans la balade montre que le symbolisme du Colchique d'automne est riche et varié. En raison de sa
floraison tardive, il est souvent associé à la mélancolie, aux adieux
et aux souvenirs. Dans certaines cultures, il est également vu comme un
rappel à la fois de la beauté fragile de la vie et de l'inévitabilité du
cycle des saisons. Et oui, c'est la fin de l'été !
A notre arrivée à proximité de l'étang de Digonne, nous sommes allés visiter le refuge réservé uniquement à la société de chasse et que nous aurions pu utiliser si la météo nous était défavorable.
La multitude de variétés présente a donné l'occasion à Jean-Marc après le pique-nique, de présenter une petite exposition permettant aux nouveaux arrivants de se familiariser avec les différentes sortes présentes.
La semaine prochaine, les sociétaires de la mycologie de Sassenage se retrouveront à la maison des clubs, le vendredi 11 octobre pour la tenue de leur assemblée générale. Comme à chaque fois, elle se clôturera par le verre de l'amitié offert par notre association, et les adhérents apporteront de quoi grignoter, tous ensemble.
Régulièrement la société mycologique de Sassenage est mise à l'honneur, ce vendredi 4 octobre, l'article de Maryvonne Mathéoud dans la page Sassenage décrivait la passion de Jean-Marc Buquet; Émilien Terme journaliste du Dauphiné Libéré a interviewé Michel Barrionuevo, jeudi dernier à paraitre bientôt. Par rapport aux intoxications, France Bleu Isère a sollicite Jean Marc Buquet et radio Isa Michel Barrionuevo.
En octobre, nous continuons le rajout des imagessur l'album du
dossier Septembre-Octobre 2024
Que d'eau, que d'eau, mais une vigueur inégalée pour les onze sociétaires qui ont bravé ces conditions épouvantables !
Sur le terrain les onze ont tenté de maitriser les éléments déchainés, en commençant par la montée de la route vers le col de la Charmette, Michel se transformant en déblayeur de voirie pour ôter les cailloux descendus sous l'effet hydrologique de la pluie.
Parvenus au bas de "Les Plats", d'emblée plusieurs variétés de champignons nous attendent dont : armillaires couleur de miel (Armillaria mellea); guépinies en helvelles (Guepinia helvelloides), clitocybes du bord des routes (Clitocybe rivulosa), Coprins chevelus (Coprinus comatus), etc...
Après, allez savoir pourquoi, cette forte montée de 131 mètres de dénivelé jusqu'à Fontaine Claire s'appelle "Les Plats", à moins qu'il ne s'agisse d'une métaphore culinaire en lien avec les plates côtes servant à la réalisation du Pot au feu !
Après avoir franchi cette gorge, sur un talus, une amanite tue-mouche et tandis que je tente de la photographier, voilà que surgit de cette colline Svitlana, à l'image de la Statue de la Liberté, mais, brandissant 3 magnifiques cèpes de Bordeaux, dans la minutes suivante, elle sera relayée par Monica !
Nous avions prévu de pique-niquer dans le refuge de Girieux, mais en même temps, une battue se déroulait et nos amis chasseurs qui entretiennent ces maisons, nous ont proposé de nous replier sur celle des bois vers Fontaine Claire.
L’abondance de champignons permettait de faire différents choix et parmi eux, les craterelles : la chanterelle en tube (Craterellus tubaeformis), la trompette de la mort (Craterellus cornucopioides), du côté des pieds de mouton l'ombiliqué (Hydnum umbilicatum) et (Hydnum repandum), les coulemelles (Macrolepiota procera), les lactaires semi-sanguin, délicieux et des épicéas. Alessandro sera le troisième à trouver un cèpe.
Nous avions donné le point de rendez-vous à 12H30 à la cabane, mais à 11H40, Michel trempé jusqu'aux os préférera abandonner les recherches et se réfugier à l'abri, il sera suivi dix minutes plus tard par Marion et Jean-Michel qui aura connu une première sortie mémorable. Boire le thé à l'apéro quand l'on grelotte, c'est exquis !
Dans la cabane, il y a un poêle, mais comment l'utiliser, ils trouveront de vieux journaux, Jean-Michel a un briquet, il faut du petit bois et trouver l'astuce de comment l'allumer. Finalement il faudra attendre l'arrivée de Olivier pour parvenir à trouver la bonne solution.
Que la petite flambée fut belle, sans doute un peu courte ! Allez savoir pourquoi, les onze étaient pressés de rentrer chez eux, avec des rêves de douche ou de bain chaud.
Au-delà de la froideur, le plus important est le partage, les images supplémentaires de cette sortie, ont été rajoutées sur l'album du
dossier Septembre-Octobre 2024
Lorsque l'on évoque le Trièves en matière de champignons, la première pensée va vers la chanterelle jaune (Craterellus lutescens), ce bon comestible à l'odeur fruitée!
Au départ de Sassenage, 21 sociétaires, et 4 autres attendaient au second rendez-vous du Col du Fau, sans avoir prévenu le Président.
En direction du Col du Banchet, la traversée soudaine d'une horde de sangliers avec leurs marcassins remontant les bois, nous a mis en garde sur les dangers présents en contrebas d'une opération de battue.
A notre arrivée, nous avons formé deux groupes en tenant compte de ce facteur, celui de Jean-Marc remonterait les coteaux par le Peyrard, et celui de Michel, intronisé accompagnateur, prospecterait sur la partie boisée de Pré Bérard et les Blanches de Raud.
Ce que les deux groupes ont constaté à ce niveau là, c'est l'absence d'humidité.
Fort heureusement, le groupe de Michel était composé de sociétaires plus aguerris aux sorties et lorsque des choix différents ont été proposés, Michel a accepté d'être délesté d'une partie des 13 chercheurs de champignons.
Les chanterelles jaunes bien souvent étaient petites, voire minuscules; il y a bien eu quelques pieds de mouton, mais nos adhérent·e·s n'auront pas la capacité d'inviter largement à la dégustation de leurs collectes. Le souvenir qu'elles et ils garderont est celui des panoramas de nos montagnes et bien sûr du Mont Aiguille.
Souvenir du pique-nique avec ses partages qui font vibrer l'amitié. Sur le site, des changements sont apparus, le lien vers l'adhésion a été remplacé par une phrase annonçant que nous avions atteint le maximum d'adhérents, et puisque de plus en plus, nous sommes sollicités pour accompagner des sorties, nous ne disposons pas des capacités pour répondre positivement.
Nous avons rajouté des images supplémentaires de cette sortie, merci à Georgia, Jean-Luc, Jean-Marc, Joëlle et Michel, sur le nouvel album du dossier Septembre-Octobre 2024
La goutte froide a fait chuter fortement les températures et les sommets se sont pelliculés de blanc. Cela n'a pas freiné les ardeurs et à l'heure du rendez-vous, deux sociétaires ont choisi de changer de destination. A 8 heures, les 6 voitures se sont élancées direction le Parking des Seiglières.
L'une d'entre elles se retrouvera bloquée à la sortie de l'U2 vers Gières, un fou du volant est venu la percuter par l'arrière, le choc a blessé à la tête Georgia, du coup il a fallu faire intervenir les pompiers et différents examens et radios ont été pratiqués.
Joëlle, Philippe, Jean-Luc et Georgia ont dû renoncer à cette sortie. Aussi, les images de cette sortie leur apporteront un maigre réconfort !
Tous les participantes et participants témoignent leur affection à Georgia et souhaitent que cet incident ne soit qu'un mauvais souvenir à effacer des mémoires. Nous n'avons pas d'écho des dégâts du véhicule de Philippe.
Sur place, nous avons formé deux groupes de 9 sociétaires, avec une destination identique pour le pique-nique, la cabane A. Bonnet, l'un passant par le circuit de l'étang des marais chauds et l'autre par le Marais avec un objectif commun, réaliser une mini exposition mycologique.
Du côté des Marais chauds, pas d'image et de petites cueillettes.
Avec Jean-Marc, le groupe s'est d'abord dirigé vers la table d'orientation du Marais des Seiglières, avec des vues splendides sur la vallée grenobloise, Véronique a cru entrevoir sa maison des Côtes de Sassenage et les 4 femmes et 4 hommes ont posé pour la postérité.
Le plus chanceux du début de cette balade sera Pierre qui dénichera des coulemelles ou lépiote élevées (Macrolepiota procera), puis après la séquence point de vue, les 2 Martine trouveront les premiers cèpes de Bordeaux (Boletus édulis).
Pour varier le nombre de spécimens différents, nous iront faire un tour dans le Marais pour cueillir des pholiotes ridées (Cortinarius caperatus), des chanterelles jaunes (Craterellus lutescens). D'autres variétés plutôt rares seront découvertes comme le tricholome prétentieux (Tricholoma portentosum)....
Lorsque l'on est descendu à 1000 mètres et que la cabane est à 1298 mètres, il faudra crapahuter en tentant des respecter l'horaire défini. La nouvelle Martine sera chanceuse en découvrant une plaque de trompettes de la mort (Craterellus cornucopioides), et dès l'annonce une partie du groupe comme une volée de moineaux se précipitera. Elle ne renouvèlera pas cette erreur avec une petite plaque de girolles.
A l'heure fixée, les 18 seront au rendez-vous, les nouvelles sociétaires nous ont fait gouter spécialités ou composition comme la brioche à la tapenade, le cantal, le chocolat du Pérou, etc... Sympa, l'entrée en matière, nous avons apprécié !
Jean-Marc a disposé sur des plaques de mousse les différentes espèces afin de les présenter. Lonny, comme le montre cette image, ne voulait rien rater des explications données.
Concernant les différentes odeurs, la seule acceptée unanimement fut celle de l'Agaricus sylvicola. Sophie fera remarquer que dans les bois, il y avait souvent une odeur d'anis, la russule à odeur d'anis (Russula fragrantissima). Le site mycodb recense 44 espèces différentes à l'odeur anisé.
Sur le chemin du retour, à l'arrivée sur la route, il manquait Louis qui est allé à juste titre, visiter l'un de ses coins, avec encore de belles girolles.
Nous avons rajouté des images supplémentaires de cette sortie sur le nouvel album du dossier Septembre-Octobre 2024
L'ouverture au public a été avancée à 9H et la clôture à 13H. En amont, Martine et Michel sont allés cueillir, la veille, différentes variétés de champignons.
En cours de chemin, à deux reprises, ils ont été interpelés : " Vous êtes la Société mycologique de Sassenage, nous sommes de fidèles internautes de votre site ".
L'un rajoutera : " comment expliquer que vous soyez moins nombreux aux dernières sorties"; tandis que l'autre rajoutera: "vous êtes la boussole de l'Isère, à partir de vos écrits, je sais si cela vaut le coup d'aller voir, ou pas !"
Cette exposition a surpris et plu aux cueilleuses et cueilleurs qui imaginent le début de la saison à l'approche de l'automne.
Répéter l'agenda de notre association avec des sorties de mi-mars à la fin octobre, surprenait. Avant
le forum, 3 nouveaux sociétaires nous ont rejoints et durant ces 4
heures, 13 nouveaux complètent la Société mycologique. A ces seize, dont
Sophie qui revient, nous souhaitons la bienvenue.
Samedi 14 septembre, à n'en pas douter, nous devrions être plus nombreux. Avec cette nouvelle saison, nous allons apprendre à faire plus ample connaissance, le cap des 100 sociétaires sera dépassé, nous aurons à gérer cette nouvelle situation !
Un nouveau dossier a été créé contenant quelques images supplémentaire, celui de Septembre-Octobre 2024