La nuit aura été de plus, particulièrement pluvieuse et à notre rendez-vous de départ à Sassenage, une accalmie nous a permis d'organiser sereinement le covoiturage. En cours de route sur la rocade, les essuies-glace n'étaient pas du luxe.
Involontairement deux groupes se sont formés, ceux choisissant la méthode échauffement progressif et les autres de prendre au plus court, compte tenu de la distance minimale à parcourir 2,9 Km sur un dénivelé de plus de 320 mètres avant de se retrouver à la barrière finale.
Johan qui connaissait des coins vers le lac dit Crève-Coeur, n'aura pas été mécontent de la grosseur des girolles trouvées. L'ensemble du groupe a pu se mettre en confiance lors de notre escale au Refuge de Pierre Roubet.
Les vaches et les veaux n'étaient pas allongés mais paissaient paisiblement, l'arrêt de la pluie pourrait durer au moins jusqu'à 17 heures, c'était un bon signe.
A un moment, deux coups de sifflet ont retentis, c'était le signal du rassemblement, aussi Martine, Michel et Patrick abandonneront la partie pour rejoindre le point de rendez-vous, avec 45 minutes d'avance.
Lorsque la totalité des participants est réunie, la satisfaction est de mise et une partie choisit de récolter davantage, en se donnant 15H15, comme heure de départ afin de ne pas être gêné par le retour des pluies.
Michel sera le premier à découvrir un cèpe de Bordeaux, format bouchon; un peu plus tard, Martine trouvera des bouchons jumeaux et des paniers se sont davantage remplis.
En redescendant, l'interrogation de mise est comment préparer ces girolles fraiches.
L'omelette, c'est trop banale, les tagliatelles trop grosses, alors il y a les finestrelles ou les linguines, avec sel, poivre et crème fraiche, c'est un régal assuré.
Les photos de cette sortie complètent l'album du dossier juillet-Août 2024.
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