samedi 18 août 2018

Sortie du 18 août 2018 à l'Arselle de Chamrousse

Pour cette sortie, nous avons assisté à une grande partie de cache cache dite de dépression dynamique entre les nuages. A l'arrivée des 16 sociétaires présents des bancs de brouillard qui se sont dissipés avant de réapparaitre à nouveau.
Lorsque nous nous sommes élancés sur le plateau de l'Arcelle, le premier champignon découvert a été le clitociybe geotropa ou tête de moine, un bon comestible qui peut s'apprécier selon différentes recettes concoctées par nos amis suisses.
Un peu plus loin une annonce d'amanites, allions nous trouver des cèpes? Ce ne sera pas pour tout de suite !
Et voilà qu'au détour de cette avancée, les premières petites chanterelles ou girolles se sont invitées à la balade.
Dans des secteurs un peu plus humides des laccarias laccatas, le petit cousin du laccaria amethystina, au parfum de forêt que seuls les connaisseurs ont cueillis.
Jean-Luc a découvert un énorme paxille enroulé, bah ! Il est, en effet, considéré comme mortel à l'état cru et même encore souvent toxique lorsque bien cuit. Ses toxines provoquent le plus souvent des symptômes cardio-vasculaires pouvant aller jusqu'à l'hémolyse. Il est donc préférable d'en éviter la consommation !
Compte tenu de la météo, nous avions rendez-vous devant la salle hors sac de l'Arselle à midi pour partager nos casses croûtes, nous avons apprécié la consistance de la chair des tomates de l'ami Robert-Marc, avec le goût des saveurs d'antan. La température extérieure n'était que de 14°.
En contre bas, lorsque le brouillard s'est levé, nous avons tenté de compter les chevaux présents, 47, 48, 50. 
Nous ne saurons pas avec précision le nombre exact, la parure de certains sortait du commun du paint horse au percheron en passant par le lisutanien !
Que faire après cette collation, la majorité du groupe a choisi de retourner à la cueillette de champignons.
Et voilà que des bolet à pieds rouges (boletus erythropus) ont été découverts !
Ces derniers sont des champignons assez spéciaux. Tout d’abord, peu de gens les cueillent : la couleur rouge fait peur, toxiques crus (ils sont émétiques, c'est-à-dire qu’ils peuvent provoquer des vomissements), peu appétissant à cause de leur bleuissement intense à la moindre blessure, ils sont aussi d’une fermeté extrême. Pour les préparer, il suffit de les ébouillanter pendant une bonne dizaine de minutes. Ce traitement les rend comestible, les attendrit un peu et fait disparaitre le bleuissement pour leur donner une couleur jaune. On prétend que c'est la récompense du mycologue !
En avançant, des cèpes de bordeaux (boletus edulis), à proximité de meuniers: celui ci pousse de l'état de petit bouchon à sa taille maximale en seulement 4 à 5 jours avant sa déchéance. Autant dire que celles et ceux d'entre-nous qui ont bénéficié de cette poussée en sont sortis ravis.
Et ce n'est pas fini, puisque le long de petits cours d'eau, nous avons cueilli les premières trompettes chanterelles jaunes (Cantharellus lutescens) !
Dans le domaine du particulier, Jean-Marc a trouvé une étoile de terre (geastrum pedicellatum), champignon rare mais non comestible.
Il ne restait plus qu'à redescendre dans le sauna de l'agglomération grenobloise où la température atteignait les 30°. Il faut bien nettoyer ses cueillettes avant d'en savourer l'arôme particulier de chacun de ces champignons. Vous pouvez retrouver toutes les photos réalisées dans le dossier juillet-août 2018.

samedi 11 août 2018

Sortie du 11 août 2018 au Crêt du Poulet

Une journée splendide sans canicule, voilà l'ingrédient idéal que nous a procuré cette balade mycologique.
Des rendez-vous au foyer de ski de fond du col du Barioz nous avons été 14 sociétaires à l'heure du repas.
Nos adhérent-e-s étaient très motivés après les épisodes pluvieux de lundi à jeudi: la nature allait-elle faire surgir des champignons ?
Jean-Luc a trouvé un vieux cèpe et un clavaire, puis Maryvonne une russule fruitée que nous gouterons à tour de rôle.
Si le premier point d'attrait de cette sortie était le Chalet de Pierre Roubet avec sa fontaine où coule une eau claire et potable, l'essentiel du groupe préfèrera continuer vers une source située sur le parcours.
Parvenus au balcon où pâturent les vaches, génisses, bœufs, nous nous sommes dirigés vers le point de vue à proximité du refuge du Crêt du Poulet pour admirer les chaines de montagnes nous entourant. La petite vidéo réalisée donne un éventail des différents massifs sur près de 280°.
Le moment était venu de passer à la raison de notre sortie, la cueillette de chanterelles avant de se réunir au Chalet du Levant pour le partage du casse-croûte.
Dans le secteur, les personnes présentes s'adonnaient à la cueillette de myrtilles et les différents groupes de la mycologie de Sassenage cherchaient des tâches jaunes orangées à ras du sol.
C'est ainsi qu'à 12H15, la plupart d'entre nous disposaient de belles petites cueillettes de Chanterelles et Michel B. a même trouvé quelques chanterelles violettes ou oreilles d'ânes.
Après s'être restauré, tout notre petit monde délaissant le Chalet du Levant est reparti pour compléter les cueillettes du matin.
Comment seront-elles cuisinées: omelette, crème fraiche, lardons, avec une viande, ou crumble girolles/foie gras, girolles aux coquilles Saint Jacques ou tout simplement poêlées ! à vos casseroles donc et bon appétit.

samedi 4 août 2018

Sortie du 4 aout 2018 à Val Pelouse

Au total, il y aura eu 18 adhérent-e-s sur le site de Val Pelouse par cette journée caniculaire où la température sur place était inférieure de 12° à celle de l'agglomération grenobloise.
Sur ces 18 sociétaires, nous avions 12 présents au rendez-vous de Sassenage, 3 à celui de champ Près Froges et 3 autres venus un peu plus tôt, avec qui nous avons partagé le pique-nique. 
Ce n'est pas la première fois que nous venons sur ce site qui aura été un ancien stade de neige dont 2 téléskis ont été inaugurés en 1970, puis un troisième en 1973. Peu rentable, cette station a cessé son activité en 1986: plus d'infos sur le site de la commune d'Arvillard.
Dans notre billet de la sortie de la semaine dernière, nous avons évoqué les différents noms donnés à la myrtille: la myrtille est connue sous différentes appellations, en fonction des
régions. En Lorraine, on l'appelle par exemple, "brimbelle" ; au Canada elle se nomme "bleuet". Mais on la surnomme également "gueule noire", "teint vin" (longtemps elle a servi à teindre les vêtements) ou encore "raisin des bois". Un article du journal Vie Nouvelle, cite d'autre noms: "gueule noire", "abrêtier", "maurette", "luce", "embrume", ou encore "cousinier". Son nom latin est le vaccinium myrtillus !
Les myrtilliers se plaisent sur les sols acides et granitiques et ont envahi l'espace dédié de l'ancien stade de neige.
Compte tenu de la limitation de vitesse à 70Km/H pour cause de pollution, sur l'ensemble du parcours, il nous aura fallu plus d'une demie heure supplémentaire, le point fixé pour le rendez-vous pique-nique, nous a contraint à une marche plus longue, avec une petite déception: ces petits fruits n'étaient pas tous mûrs.
Au cours du déjeuner, nous avons eu le plaisir de faire différentes rencontres: avec 5 savoyards à l'heure de la mise en bouche et lors du dessert avec un jeune couple et ses deux enfants en provenance de Toulouse.
Très peu d'ombre au niveau des myrtilliers, notre ami Jacques s'est senti un peu fatigué de la rudesse du soleil.
Les pierres granitiques étaient très chaudes. Y a t-il une concordance entre le nom des habitants de la commune d'Arvillard, les Pierrus et les Pierrues et les bienfaits que peut vous apporter ces pierres chaudes déposées sur le dos de Jacques ? Le ressenti quasi immédiat d'un meilleur bien-être nous a époustouflé.
Le massage aux pierres chaudes s'adresse à tout le monde, même s'il existe quelques contre-indications. Il est notamment préconisé pour apaiser les personnes stressées, qui souffrent de tensions musculaires ou de douleurs chroniques, du type rhumatismes. Il est également recommandé pour soigner les entorses, les infections, les tendinites, les rages de dents, les maux de tête, la constipation, les contusions, les crampes menstruelles...
Au retour, nous avons tenu à refaire le circuit vers les voitures en tentant de trouver des espaces avec davantage de myrtilles mûres et dans ce cadre, nous avons tripler la précédente cueillettes.
En regardant les différents petits seaux apportés par nos adhérent-e-s, nous nous sommes rendus compte que nous avions de bon bricoleurs en terme de décoration intérieure: colle carrelage, colle papier intissé, peinture blanche ou acrylique. Bien nettoyés, ces seaux sont idéal, compte tenu des règles en matière de cueillette de myrtilles, avec au maximum 1Kg par personne.
Pour la dernière photo des seaux, le petit toulousain en vacance aura pris la pose avec nous, dans le même état d'esprit que la chanson de Claude Nougaro:
Qu'il est loin mon pays, qu'il est loin
Parfois au fond de moi se ranime
L'eau verte du canal du Midi
Et la brique rouge des Minimes
Ô mon paîs, ô Toulouse, ô Toulouse
Je reprends l'avenue vers l'école
Mon cartable est bourré de coups de poings


samedi 28 juillet 2018

Sortie du 28 juillet 2018 au Lac Le Léatel dans Belledonne

Partis à 5 du parking de Carrefour Market, nous nous sommes dirigés vers le second rendez-vous à Champ-Près-Froges, où 8 adhérent-e-s nous attendaient.
Que ce soit sur l'A480, la Rocade Sud, l'A43, les panneaux lumineux pointaient la limitation de vitesse à 70 Km/H maximum. Au retour, la même signalétique était présente, malgré la levée du Niveau N1 d'alerte à la pollution atmosphérique.
En effet le communiqué Préfectoral de ce jour précise: "Compte tenu des prévisions émises par Atmo Auvergne Rhône-Alpes (...) et les analyses (...) prévoyant la fin de l’épisode de pollution en cours, il est mis fin aux mesures d’urgence du niveau d’alerte N1 activé en raison d’un épisode de pollution atmosphérique de type estival (Ozone – O3) commencé le 26 juillet 2018"
La levée de l'alerte vaut à la fois pour le bassin grenoblois et pour le Nord-Isère. La vitesse n'est donc plus abaissée à 70 km/h sur les routes, et les barbecues à combustible solide sont de nouveau autorisés, tout comme les feux d'artifice et les compétitions mécaniques.
Pour nous rendre dans la forêt des Ramiettes, il nous a fallu nettement plus de temps. Presque parvenus à destination, nous avons connu notre premier orage d'une durée de moins de deux minutes.
En avant, prêt, partez ! Un petit raidillon pour nous mettre en jambes, et la première chanterelle a été trouvée par José, d'autres suivront, même si l'abondance n'était pas de mise.
Quelques autres variétés ont été trouvées côté comestibles: pholiotes ridées, russules, jeunes pousses de vesses de loup géantes et dans les non-comestibles: amanite panthère, lactaire à lait brulant.
Les Chanterelles ou girolles ont été cueillies plus particulièrement vers des myrtilliers dont certains étaient chargés de fruits.
La myrtille est connue sous différentes appellations, en fonction des régions. En Lorraine, on l'appelle par exemple, "brimbelle" ; au Canada elle se nomme "bleuet". Mais on la surnomme également "gueule noire", "teint vin" (longtemps elle a servi à teindre les vêtements) ou encore "raisin des bois".  
Il n'était pas encore 11H, lorsque nous sommes parvenus au mini lac Le Léatel par les sentiers des bergers. Sur les prés alentours de Le Léatel, il n'y avait pas d'animaux paissant, mais leur passage était marqué par les bouses présentes.
Inventons un nouveau mot: l'aversette (une mini averse), l'une d'elle nous a amenés à nous retrancher sous les arbres et à démarrer notre pause déjeuner.
Voilà que Michel B. qui était de la balade avec une ceinture lombaire va trébucher sur un caillou; un gel d'arnica, une compresse d'eau glacée et il s'est vite remis de ce mauvais pas.
Michel G. à qui nous demandions des nouvelles de sa chère et tendre nous a raconté la mésaventure de Gisèle, de sa chute en vélo, avec le col du fémur brisé. Nous souhaitons à Gisèle un prompt rétablissement.
Pour la descente, après une nouvelle aversette, Jean-Marc avait choisi un sentier à pic entre la végétation, en demandant que Michel B. soit aidé, en gros l'amour du risque !
A 12H30, nous étions déjà revenus aux voitures pour, après le bon bol d'air frais naturel, affronter la canicule de la cuvette grenobloise.


samedi 21 juillet 2018

Sortie du 21 juillet 2018 au Cirque de Saint Même

Après le fort épisode orageux de la veille, nous étions 6 sociétaires pour cette balade au Cirque de Saint Même, à la frontière historique du Dauphiné et de la Savoie.
Ce site majestueux est caractérisé par des couches importantes de roches urgoniennes. Il comprend 4 cascades. 
Notre visite débute par celle dénommée Pisse du Guiers, placée un peu à droite, après un petit pont. 
Petit retour sur nos pas pour emprunter le chemin des cascades, c'est un dénivelé de 224 mètres sur une distance de 700 mètres qui nous attend, soit une pente à 34 degrés.  
Nous avons fait une petite halte en cours de l'ascension pour admirer le panorama de la cascade isolée.
Il restait encore du chemin pour aller jusqu'à la Grande cascade. 
L'effort demandé fut important sur ce sentier encombré par les racines et les pierres glissantes ! Si en cours de route, il a fallu enlever des couches de vêtements, lorsque nous parvenons dans cet écrin de verdure, c'est la fraicheur et l'embrun qui surprennent.
Les eaux proviennent de sources souterraines du Guiers Vif, il est inutile de disposer d'un climatiseur, le confinement naturel vous garanti 14°. 
Nous n'avons pas manqué d'observer le rapport intime entre les arbres (tronc et racines) et la roche calcaire, ou bien la hauteur impressionnante des sapins.
En regardant la petite vidéo que nous avons réalisée, durant près de 2 minutes vous savourerez cette eau coulant le long de parois abruptes dans cet amphithéâtre de falaises.
Ce cirque aura été un haut-lieu de la résistance au nazisme, en Chartreuse durant la seconde guerre mondiale (différentes plaques nous rappellent les combats menés).
Pour aller voir la cascade des sources, il fallait faire encore 131 mètres de dénivelé, nous avons préféré retourner aux voitures, par une voie plus longue au travers de la forêt, mais avec moins de pente.
Pour notre pique-nique, nous avions choisi les ruines du Château de Montbel, fortification du Xème siècle qui deviendra le fief des nobles d'Entremont. En 1098, Philippe d'Entremont participe à la première croisade où il sera tué.
Sur le site de Wikipédia, que vous pouvez consulter, il est fait mention de différentes dates montrant les dualités entre Dauphiné et Savoie.
Un table d'orientation, très particulière où les montagnes ont été modelées, chacune d'entre elles portant un numéro scellé dans le béton, numéro qui vous renvoie à sa description nominative incrustée dans le bronze.
Les photos réalisées par Jean-Luc, Jean-Marc, Michel sont à voir dans le dossier Juillet-août 2018.

dimanche 8 juillet 2018

Sortie montagne du 7 juillet 2018 au Parc national des Ecrins

Pour cette balade dans l'Oisans, 10 adhérent-e-s ont pu être présents-es. Il n'y a rien de tel, un jour de chaleur estivale que de marcher dans ce magnifique vallon pour apprécier la fraîcheur qui se dégage du torrent et admirer la cascade de la Muande, alimentée en permanence par les nombreux glaciers du vallon de la Lavey.
Partis de 1580 mètres d'altitude en direction du pont des Rajas, le groupe a franchi le Vénéon. 
Un magnifique pont de pierre en dos d'âne du XVIIe siècle traverse le torrent du Vénéon. 
Comme le décrit le site oisans.com: " Ce pont est le témoin d’un village disparu. Il a existé un hameau assez profondément enfoncé dans la vallée de la Lavey qui a laissé dans le paysage des traces encore visibles : quelques maisons, des terrains alentours morcelés en champs et notamment deux ponts en pierre audacieusement cambrés au-dessous du Vénéon et de la Muande."
En regardant les photos de cette sortie, vous découvrirez la floraison alpine en pleine effervescence, notamment les lys martagon ou les joubarbes des montagnes. 
A  notre arrivée au Refuge de la Lavey,  nous avons été enchanté de l'accueil chaleureux de Caroline et Bruno, les gardiens de ce lieu jusqu'au 9 septembre 2018.
Si vous recherchez un endroit paisible avec une restauration végétarienne de qualité, n'hésitez pas à vous arrêter.
Le retour vers le parking Champhorent, nous l'avons effectué sous un soleil de plomb.
La semaine prochaine, le samedi étant un jour férié, il n'y aura pas de sortie, le prochain rendez-vous aura lieu le samedi 21 juillet 2018.
Pour les nouvelles photos des sorties, nous avons créé un nouveau dossier "Juillet-aout-2018".

lundi 2 juillet 2018

Sortie du 30 juin 2018 au Col de la Croix de Toutes Aures

Depuis deux semaines, il n'a pas plu ! Il est difficile dans ce cadre de trouver des zones humides propices à la poussée de champignons.
Pour les 11 adhérent-e-s au rendez-vous de cette balade dans les Chambarran, une route barrée à Serre-Nerpol a contraint l'équipe à retourner sur Varacieux pour reprendre la route menant à la Croix du Col de Toutes Aures.
Le petit village de Brion est situé sur les contreforts de la forêt des Chambarran, il est avec ses sources d'eau potable, le château d'eau des communes voisines.
Il y a eu quelques russules, des lactaires et seulement un cèpe, découverts tout au long du circuit.

Outre les nombreuses fleurs, ce seront les parades nuptiales des différents papillons tachetés qui auront marqué cette sortie. Le mâle s'adonne à de véritables danses de séduction, il poursuit la femelle qui feint de s'enfuir. Les papillons, espéria comma et le sylvain azuré ont choisi en ce jour particulier, la couleur bleue des fleurs, comme un soutien à l'équipe de France de foot-ball affrontant l'Argentine. La France s'est qualifiée pour les quarts de finale.
Au hasard du circuit, un cerisier semblait dire que la saison n'était pas terminé, Marie-Hélène et Évelyne ont fortement apprécié ce petit fruit.
Pique-niquer autour du plan d'eau, s'était s'offrir par avance un avant-goût de vacances.
La semaine prochaine, nous aurons une sortie montagne dans la Bérarde avec le rendez-vous avancé à 6 heures.
Les photos prises par Jean-Luc et Jean-Marc ont été rajoutées au dossier "Mai-Juin 2018".

dimanche 24 juin 2018

Sortie Barbecue du 23 juin 2018 au Col des Mouilles

Préparer une sortie barbecue lorsqu'il y a 70 inscrits suppose en amont les achats à effectuer. Différents acteurs vont se coller à ces tâches: pour les côtelettes, merguez, saucisses, boissons, pain, charbon de bois, etc c'est Babette et Jean-Marc; pour la partie saumon bio, Daniel et pour les sardines, Robert B.
Pour assurer la cuisson, 3 barbecues ont été nécessaires. 
Dès 8H30, Daniel était sur place pour monter son appareil, un quart d'heure plus tard, Martine et Michel B. allaient chercher les branchages dans les bois. Fort heureusement, Daniel disposait d'une tronçonneuse, ce qui nous a fait gagner un temps précieux pour lancer les feux.
Le second barbecue, comme du reste, les tables, bancs nous ont été prêtés gracieusement par la nouvelle gérante de l'auberge "Au Goupil".
Michel C., Robert S., Jean-Marc et Michel B.  se sont affairés à l'installation du barbecue de "Au Goupil".
A 9H20, les flammes crépitaient pour se transformer en braises, 10 minutes plus tard, Daniel lançait la cuisson du premier saumon.
Jean-Marc et Babette installaient les panneaux d'exposition, les tables et les bancs.
Vers 11H, Daniel lançait la cuisson du second saumon, tandis que Robert B. mettait en place son barbecue pour la cuisson des sardines.
La pré-cuisson des côtelettes épicées à l'avance dans le sel, poivre et herbes de Provence, pouvait commencer. 
L'essentiel des sociétaires inscrits étaient sur place en attendant l'apéritif de midi.
Les sardines préparées par Robert B. avaient pris toutes les saveurs de sa marinade à base, d'huile, de citron, d'herbes, d'ail, etc.. durant plus de 24 heures.
Elles ont été fort appréciées au moment de l'apéro, avec par moment, la cohue devant la cuisson.
Les entrées préparées par nos adhérents ont été accompagnées de côtelettes, de merguez, de saucisses.
Cette année, le saumon a été servi après les viandes. 
Restait-il encore une petite place pour le fromage ? Finalement, l'on dit que l'appétit vient en mangeant !
Cette maxime s'est parfaitement illustrée au moment des desserts que ce soit pour les fruits, cerises, abricots, pastèque et les différentes spécialités concoctées par nos adhérent-e-s.
Après ce repas gargantuesque, un petit café pris chez nos hôtes a été le bienvenu.
René s'était déguisé en père noël de l'été.
Après ces agapes, il faut ranger, nettoyer, débarrasser, durant ce laps de temps, certains ont fait des parties de belote ou de dominos, d'autres  des parties de pétanques, alors que certains-es sont allés-es dans les bois, comme Cathy et Odette qui ont cueilli de petites girolles. D'autres ont eu besoin d'une sieste ou sont redescendus dans leurs foyers. 
Dans cette effervescence, lorsque Robert et Josée Sposito ont voulu ranger le matériel apporté, à leur surprise leur table de camping avait disparue, ayant peut-être été emportée par mégarde par l'un ou l'une de nos adhérent-e-s. Face à cette méprise, nous demandons à la personne de se signaler en appelant les intéressés. D'avance merci !
Beaucoup de photos ont été prises par Anne, Jean-Luc, Martine, d'autres rejoindront également le dossier mai-juin 2018.