samedi 31 août 2019

Sortie du 31 Aout 2019 à Le Grand Gouillat

Pour la première fois, il n'y aura pas de photo de groupe en "Une" de cet article. Une cycliste s'est proposée, a fait 2 clichés  totalement flous. 
Parmi les 7 sociétaires présents, il y avait : Alessandro, Jacques, Jean-Marc, Josette, Martine, Michel, Odette. 
7 pour arpenter à partir des Seiglières, un nouveau circuit sur le secteur " Le Grand Gouillat " qui signifie: étendue d'eau stagnante plus ou moins boueuse, petite mare. 
Selon les régions, le boletus edulis porte des appellations différentes : Gros pied, Champignon Polonais, Potiron ou cèpes de Bordeaux. 
C’est Stanislas Leszczynski, aristocrate des 17ème et 18ème siècle, beau père de Louis XV qui mettra le boletus edulis sur les tables nobles de France, ce qui lui devra le nom vernaculaire de champignon polonais. 
Dès l'entrée dans le sentier, parmi la multitude de russules, les premiers bouchons de champagne, nous nous sommes dit "chouette ! " 
Les semaines se suivent, mais ne se ressemblent pas forcément, la poussée est descendue en altitude. En effet, notre point le plus haut aura été de 1 097 mètres, le plus bas de 977 mètres. 
L'averse de la veille n'aura pas été étrangère à l'apparition de sporophore, partie la plus visible du macromycète (pied et chapeau) que nous appelons vulgairement, champignon. 
Si nous avions voulu faire une exposition, les variétés présentes auraient fourni un bel étalage. 
Nous ne citerons que les espèces de bons comestibles collectées, par leurs noms latins : Boletus edulis, Cantharellus cibarius, Craterellus lutescens, Sarcodon imbricatus, Hydnum rufescens. 

L'un d'entre nous dira: " je crois que c'est la première fois, cette année qu'en si peu de temps, nous avons fait le plein de cueillette, c'est à faire pâlir d'envie, ceux qui n'ont pu être parmi nous." 

Informations à venir : 
  • Samedi 7 septembre, il n'y aura pas de sortie mycologique, notre association sera présente au Forum des loisirs et des activités associatives qui se tient à la Halle Jeannie Longo de Sassenage de 10h à 16h, pour favoriser la réinscription des adhérent-e-s et les nouvelles adhésions éventuelles. 
  • Samedi 14 septembre, à cette sortie et aux suivantes, chaque participante et participant devront obligatoirement se vêtir d'un gilet fluorescent. 
  • Dimanche 15 septembre, les sociétaires qui se seront inscrit-e-s au repas à Pipay se retrouveront à midi, au Restaurant "Le Farinaud"

samedi 24 août 2019

Sortie du 24 aout 2019 à Le Pleynet

Cette sortie s'est déroulée sous un magnifique temps ensoleillé. Durant ce week-end, nous étions au cœur de la 7ème édition de l’Échappée Belle de l'ultra trail sous un tracé intégral de 144 kilomètres et 11 100 mètres de dénivelé positif de Vizille à Aiguebelle.
Les compétiteurs et compétitrices sont passés, hier dans la station du Pleynet et pour l'occasion le Wizluge avait repris du service.
De Pinsot au Pleynet, les flots de voitures rencontrées devaient sans doute avoir un lien avec cette épreuve sportive.
Après la pluie du début de la semaine, nous espérions fortement trouver une poussée fongique dans la forêt des Fanges, d'autant que sur un versant parallèle à la même altitude, de nombreux cèpes de Bordeaux ont été trouvés très récemment.
Une partie des 22 sociétaires présents, ont manifesté un peu de déception.
Parmi le groupe qui a arpenté verticalement les bois jusqu'au chalet en dessous du Crêt du Boeuf, il y a eu de petites trouvailles, de chanterelles, de lacaria ametistina ou lacata, quelques 16 cèpes de Bordeaux, des russules intègres qui bien que comestibles ont été laissées sur place. 
Le bolet qui brillait par sa présence était le beau pied ou calopus, inconsommable en raison de son amertume et de son âcreté.
Fort heureusement, tous les myrtilliers présents n'avaient pas été peignés et de rares cueillettes ont pu être faites.
A notre collation de la mi-journée, nous avons pu apprécier la sangria faite par José. Le rendez-vous du retour pour arriver aux voitures était fixé à 15H30. 
Sur la dernière portion de la descente, il a fallu se frayer un chemin à proximité des bovins. Pour réaliser la photo de groupe, il manquait outre le photographe, Bernadette et Odette, qui une demi-heure plus tard, sont arrivées au pas de course.

 


samedi 17 août 2019

Sortie Myrtilles du 17 aout 2019 au col de l'Occiput

Des cèpes de Bordeaux, en ce moment, il y en a au moins, en Savoie et Haute Savoie, dans le massif des Bauges ou bien au Gets, dans notre région, nous devons attendre.
Attendre que vienne une belle pluie dans les jours à venir, suffisamment dense pour humidifier les bois du Sud Isère.
Depuis Allevard, pour se rendre au Super-Collet, il y a 15,6 km de distance, 14 lacets qui nous ont fait grimper 1 077 mètres de dénivelé, circuit que nous avons fait en voiture, soit une moyenne de 7,5%, mais sur 1,5 Km, la pente est de 11,5%.
Sur le Parking, c'est à pied que les 13 sociétaires présents ont eu à franchir les 236 mètres de dénivelé sur une distance de 1,4 Km, avec par moments des pentes de plus de 25%.
Autour du Col de l'Occiput, il y avait bien des plants, des vernes comme diraient les anciens, avec beaucoup de sauterelles, mais ils avaient été bien peignés. Du coup, il fallait descendre vers le marais et un petit étang, pour enfin trouver les baies recherchées en plus grosse quantité.
Nous étions à la recherche de vaccinium myrtillus.
Ce nom n'est pas étranger aux internautes qui lisent les billets de notre blog: chacune, chacun aura compris qu'il s'agit du fruit de ce petit sous-arbrisseau de la famille des Ériacées qui appartient au groupe des airelles.
Côte à côte, nous avions des myrtilles communes qui ont une chair rouge à l'intérieur et des airelles des marais (vaccinum uliginosum) dont la chair interne est blanche.
Cette fois-ci, c'est Jean-Marc accompagné de Gisèle et Sylvie qui sont allés au bord de la petite mare et à midi, lorsqu'il a fallu se réunir pour pique-niquer tous ensemble, il y a eu des voix récalcitrantes pour ne pas effectuer la descente de près d'une centaine de mètres de dénivelé en plus. Du coup, nous avons fait un compromis, celui de tous nous retrouver au Col dans une partie abritée du vent.
A 13, nous avons du cueillir environ 11Kg de myrtilles, en moyenne nous étions en deçà du maximum autorisé de 1Kg par personne par la Préfecture de l'Isère.
Pour les consommer, il existe une multitude de recettes sucrées ou salées : en salade accompagnées de sucre vanillé, en sorbet, en tarte, en moelleux, avec du fromage blanc, en accompagnement de foie gras poêlé, en beignets de camembert normand, en boisson anti-âge, en clafoutis, en far,  etc...

samedi 10 août 2019

Sortie du 10 août 2019 au Plan du Trou

Les imperméables ont fait partie de la panoplie durant cette sortie ! 
Le brouillard, ne nous aura  quittera pas non plus !. 
Les 18 sociétaires comptaient faire de merveilleuses cueillettes, d'autant que l'humidité ambiante été importante. 
Le chemin forestier comptait de très nombreuses flaques d'eau, mais compte tenu de sa faible déclinaison, il ne nécessitait pas d'efforts ! 
Par contre, le sentier descendant sur le Plan du Trou était très glissant, il y aura eu quelques petites chutes, mais sans gravité. 
À 1360 mètres d'altitude, pas de champignons, la bonne hauteur pour aujourd'hui c'était au minimum à 1 450 mètres d'altitude. Estelle, adhérente par ailleurs de la société mycologique de Grenoble, a effectué sa première sortie en notre compagnie. 
Bien évidemment, elle aura recherché à disposer du maximum d'espèces comestibles, toxiques ou immangeables, pour la détermination. En plus des girolles ou chanterelles (Cantharellus cibarius), notons quelques autres variétés : trompettes chanterelles en tubes (Craterellus tubaeformis), clavaire dorée (ramaria aurantiaca), pholiote ridée (rozites caperata), bolet beau pied (boletus calopus). 
En parlant de particularités, Cathy a découvert un bolet royal (boletus regius), un très bon comestible, plutôt rare dans notre région. 
Dans un fourré de myrtilliers, notre amie, Odette s'est agenouillée pour cueillir une plaque de jeunes pousses de belles chanterelles. D'habitude, elle n'aime pas beaucoup les photos, mais là, elle n'a pas hésité à prendre la pose. 
Oui, il y a eu des cueillettes de chanterelles, mais d'ordinaire, il y en a beaucoup plus ! Comme dirait Jean-Marc, il aura manqué la symbiose, c'est à dire l'association étroite de deux ou plusieurs organismes différents, mutuellement bénéfique, voire indispensable à leur survie, au niveau du mycélium. 
À l'heure du rendez-vous pour le pique-nique que nous avons fait à la cabane, il manquait 6 personnes, celles qui ont fait le choix de prendre de l'altitude, Michel B. a servi de guide. 
Du coup, les paniers des derniers avec un peu plus de chanterelles ont suscité des envies de retourner dans les bois, il y aura eu quelques chanceux entrainés par Louis l'après-midi.

samedi 3 août 2019

Sortie du 3 août 2019 au Crêt du Poulet

La dernière fois, où il aura été question de cueillette de champignons remonte au 15 juin.
Pourtant, malgré la période de vacances, 17 sociétaires étaient présents.
Il est vrai qu'après la pluie sur 2 jours et demi entre le 27 et le 29 juillet, les espérances étaient permises.
Ce jeudi, 3 adhérents de notre société ne sont pas rentrés bredouilles d'une sortie de prospection et d'envie, avec 3,5Kg de chanterelles. C'est la raison pour laquelle le choix de cette sortie s'est orienté sur le Crêt du Poulet dans le massif de Belledonne.
Ah, la chanterelle ou girolle ou jaunotte (cantharellus cibarius), c'est divin avec son agréable odeur d'abricot, lorsque la saison bat son plein. On peut l’accommoder de différentes façons: en salade en la faisant à peine cuire à feu doux, en accompagnement d'une côte de bœuf, en omelette, ou bien encore en crumble avec du foie gras (une recette que nous avons testée), etc...
Ce champignon au goût raffiné et à la chair ferme et compacte est un atout majeur d'après les Chefs cuisiniers. 
L'altitude idéale pour sa cueillette en ce moment, c'est environ 1500 à 1 600 mètres. Au foyer de ski de fond du Col du Barioz, nous étions à environ 1 420 mètres et le refuge du Crêt du Poulet est à environ 1 700 mètres, il y avait donc nécessité de monter et ensuite de redescendre sur une altitude médiane. Les plus sportifs auront réalisé un dénivelé positif de 579 mètres sur 11,3 Km.
Cela n'a pas été sans mal, après le franchissement du Chalet de Pierre Roubet, si certaines vaches buvaient paisiblement dans une mare, une avait décidé d'être récalcitrante, de nous tirer la langue et de nous empêcher de passer. Certes, un panonceau schématique semble dire qu'il faut leur jouer un air d'accordéon, mais nous ne disposions pas de cet instrument ! Il fallait un téméraire, c'est Michel G. qui l'a fait déguerpir.
Le reste du circuit s'est passé sans encombre, au moins jusqu'à notre pique-nique.
Joël G. était resté coincé au ramassage de chanterelles, en se disant pas d'appel téléphonique, je peux continuer. Tous les portables, quelque soit le fournisseur d'accès sont sans réseau au niveau de l'Habert du Levant. Il aura mérité le titre de champion de cette sortie !
Mauricette qui avait terminé son repas s'est écartée du groupe pour aller fumer une cigarette, sans déranger qui que ce soit. Un geste maladroit, sa tête a heurté le toit en tôles de la cabane, ce qui a occasionné une plaie ouverte, avec des saignements prononcés. Sylvie, s'est improvisée aide-soignante pour tenter de stopper l'hémorragie, du coup, notre amie avait l'air d'une mère noël. Après consultation d'un médecin à l'hôpital, cette plaie a nécessité 4 points, les tests neurologiques sont OK et elle a pu rentrer à son domicile.
Les autres photos ont été rajoutées au dossier Juillet-août 2019.

samedi 27 juillet 2019

Sortie du 27 juillet 2019 à Chalais

Ah, mais ils sont fous, maintenir une balade en forêt un jour d'orages avec alerte orange !
Nous étions 6 à vouloir, après la période de canicule, profiter pendant quelques heures de la baisse des températures et de respirer un air sain.
Sur la base de la consultation de différents sites, Michel avait prévu la tranquillité jusqu'à 13 heures.
Le parking des randonneurs situé au-dessus de l'Abbaye Notre Dame de Chalais nous aura été entièrement réservé.
A notre arrivée, un brouillard épais, nous a fait prendre la sage décision de ne pas faire le Belvédère par l'Aiguille de Chalais, mais plutôt de nous rendre directement sur le second point de notre parcours, la Baraque forestière de Roize.
Suivre un sentier de muletier qui commence par la statue d'Henri Lacordaire, n'est pas vraiment un raccourci en direction de la cabane de Roize. Sur les 500 premiers mètres la pente moyenne de 20% a demandé beaucoup d'efforts, fort heureusement sur les 1 600 mètres suivants, la pente n'était plus en moyenne que de 6,5%.
Sur la seconde partie plus agréable, nous avons posé la question: "allons nous trouver des champignons ?", une réponse sans doute normande a prétendu se mettre en maillot de bain, si tel était le cas !
Y avait-il de larges pointes fréquentes d'électricité dans l'air de cette forêt ? Toujours est-il qu'un arbre a poussé en empruntant le symbole chimique de l'Ohm !
Les premiers champignons étaient des plutées du cerf, puis des beaux pieds ou boletus calopus, puis l'hébélome échaudé à odeur de radis. Sans doute, trouverons-nous de bons comestibles dans une prochaine sortie !
La sécheresse a eu pour effet de craqueler la terre, il faudra beaucoup d'eau pour panser les plaies ouvertes de ces terrains.
Lors de cette sortie, nous avons découvert un nouvel abri avec cette baraque forestière, mais aussi les interdits sur le panneau d'information de faire du barbecue ou de fumer, sous peine d'une amende de 135€.
Nous n'allions pas pique-niquer à 10H30, nous avons décidé de redescendre vers l'Abbaye et la prairie pour continuer à profiter des rayons de soleil et du panorama alentour.
Ce type de lieu invite à la méditation. Depuis sa fondation en 1 101 par Hugues de Chateauneuf, évêque de Grenoble, cette abbaye a été occupée par différentes congrégations: bénédictins, ermites de Chalais, dominicains, dominicaines. (Voir les détails de ce cheminement sur wikipédia)
Après le pique-nique, visite de l’Église et des alentours pour un retour aux voitures, juste avant le premier orage de 12H57.
Les photos de la sortie ont été rajoutées dans le dossier juillet-Août 2019.



samedi 20 juillet 2019

Ce 20 juillet 2019, nous avons accompagné notre ami Jean-Marie

Jean-Marie a combattu durant de longues années la maladie, avant que cette dernière ne l’emporte le 15 juillet. 
Il fait partie avec son épouse Jocelyne des premiers adhérents de la société mycologique de Sassenage, lors de sa création en septembre 2006. 

Toi dans ta boulangerie, tu connaissais le champignon unicellulaire qui permet la levée du pâton, plus connu sous le nom de levure de boulanger. Les chouquettes de Jean-Marie, c’était quelque chose. 
Ceux qui les ont goûtées en savourent encore l’onctuosité de cette pâte à choux aux grains de sucre. 


Nous ignorons si au moment de la galette des rois, tu poussais la chansonnette: 

"La boulangère a des écus 
Qui ne lui coûtent guère. 
La boulangère a des écus 
Qui ne lui coûtent guère. 
Elle en a, je les ai vus, 
J'ai vu la boulangère aux écus 
J'ai vu la boulangère. " 

Jean-Marie aimait chanter l’opérette, nous lui dédirons ces paroles tirées de Véronique : "de ci, de là, cahin caha, va trottine". 
Avec les sociétaires de la mycologie il aura longtemps trottiné sur nos montagnes. 
La première photo de groupe sur notre blog illustrant ce billet, est une reprise d’une sortie de septembre 2008 au Col des Mouilles. 
Le 4 juillet 2009, nous lui avions attribué la palme pour la découverte d’une jeune pousse très fournie de polypores en ombelle. 
Le 15 août de la même année, Joël et Sylvie feront une composition intitulée : "disparition inquiétante de la casquette de Jean-Marie". 
Va trottine, le 11 septembre 2010, Jean-Marie aura descendu une crête de trop et le voilà contraint de faire du stop pour rejoindre le groupe. 
C’est au cours de notre sortie annuelle des 6 et 7 juin 2014 à Céüze dans les Hautes Alpes que nous avons eu connaissance de la maladie de Jean-Marie qui subira une intervention chirurgicale en décembre de la même année. 
Jean-Marc a prononcé un bel hommage liant la période où Jean-Marie et Jocelyne tenaient une boulangerie dans le quartier de l'Aigle à Grenoble, avec ce trait de caractère jovial, plein d'humour de Jean-Marie.
La dernière fois où il aura été présent avec ses ami·e·s de la mycologie, dont Georges G. et Nicole M., décédés aussi cette année, c’était pour la sortie barbecue au Col des Mouilles le 24 juin 2017. 
Sous la baguette de Robert B., il agrémentera la chanson : "viens boire un p’tit coup à la maison" de Pim et Paffe. (à voir dans la vidéo ci-dessous) 

Parmi ses interprétations d'opérettes, il y a la route fleurie:
"Prenons la route fleurie
Qui conduit vers le bonheur!
Suivons-la toute la vie,
Main dans la main,
Cœur contre coeur...
Avec vous, petite amie
Le chemin sera trop court
Car c'est vous que j'ai choisi
Pour me conduire au grand amour
Partons, ne perdons pas un seul instant
Partons, la joie de vivre nous attend
Chaque fleur dans la prairie,
Chaque oiseau au fond des bois
Chante la route fleurie
Que nous suivrons vous et moi.
Le soleil dans les cieux nous dira " bon voyage"
Et nous suivra joyeux de village en village
Si la lune, après lui, parvient à nous surprendre
Pour y passer la nuit
Suivons La route fleurie
Suivons-là toute la vie!
Le cœur en joie,
Vous et moi ! "

Aujourd’hui, nous sommes tristes, nous pleurons l’ami joyeux parti trop tôt, le papy chapeau, comme le diront ses petits enfants. Nous voulons présenter à Jocelyne et à toute sa famille, nos amicales condoléances. La société mycologique est une grande famille, elle saura accueillir Jocelyne