samedi 18 juillet 2015

Sortie du 18 juillet 2015 au Chalet de l'As

Au départ à Sassenage, quelques gouttes de pluie, à peine suffisantes pour nettoyer le pare-brise. Pourtant le matin, le ciel était rouge et selon le dicton, nous aurions dû hériter d'une pluie en chemin.
Que nenni, le temps a sans doute freiné des ardeurs, rajouté de la brume au paysage, mais rien de plus !
Des champignons, nous étions persuadés de ne pas en voir, pourtant au final, Michel a trouvé un cèpe et une pièce de 10 centimes, Alexandra une russule charbonnière, ces deux champignons étaient d'un âge canonique !
Nous étions 7, comme les mercenaires ou les nains, mais aussi
comme les 7 merveilles du Dauphiné, et dans l'après midi, au moins 4 de ces 7 présents ont découverts la Pierre ou Roche Percée qui figure au patrimoine international.
Le Chalet de l'As était notre point d'excursion dans les montagne du Conest jusqu'au Col de la Peyrouse, où la vue sur les différents massifs est à 360°: le Vercors, l'Oisans, Belledonne et la Chartreuse, les différents lacs ! 
Sur ces collines paissent des troupeaux de vaches qui se rassemblent autour des pierres de sels, vers le petit lac et le grand lac avant de franchir le col de la Peyrouse à 1 714 mètres.
Une vidéo sur la page dédiée vous montre les différentes particularités décrites.
La seule plante ayant droit de survie dans cette contrée, c'est le chardon ! Allégrement, il peut se reproduire sans crainte d'être ingurgité par les vaches. 
Puis, nous sommes retournés vers le chalet de l'As pour la pause casse-croute, en ne manquant pas d'admirer les autres fleurs rescapées des bovins, en lisère des fils électriques bordant les pâturages.
Dans l'après midi, direction La Motte d'Aveillans pour se rendre vers la Roche Percée.Un arc de pierre grandiose, percé en son centre, est posé en
haut d’une colline de 1220 m d’altitude au sommet de la colline des Creys, sa particularité est de posséder un trou en arc de cercle de 3m de hauteur. Sa forme évoque un monstre accroupi source de nombreuses légendes locales. Cette magnifique sculpture naturelle est due à l'érosion des calcaires triasiques.
Entre les deux ascensions, nous avons fait un peu plus de 500 mètres de dénivelé. Différentes photos réalisées par Jean-Marc et Michel complètent le diaporama juillet-août2015.

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