dimanche 6 juillet 2025

Sortie Annuelle de la Mycologie Sassenage les 4 & 5 juillet 2025 à Villar-d'Arène


Évoquer cette paisible station de Villar-d'Arène, l'Hôtel le Faranchin nous ramène aux débuts de la création de la Société mycologique de Sassenage par Jean-Marc et Babeth Buquet.

En 2026, nous fêterons nos vingt ans ! A l'approche de cette échéance, Jean-Marc a choisi cette destination pour, avec Babeth, se remémorer ces années délicieuses jusqu'en 2012, les 1er et 2 juin. 

En raison de l'évolution de l'état de santé, ces retrouvailles n'ont pu se dérouler comme prévu, et un second désistement de couple pour des raisons similaires, avec Patrick et Chantal.

Nous croisons les doigts pour espérer de moins brutales dégradations des maladies de nos ami·e·s.

Après ce rappel nostalgique, revenons à 2025 ! Jean-Luc Bolard a hérité de la lourde responsabilité de cette sortie annuelle.
Avec ces chaleurs caniculaires, les champignons sont restés pour l'essentiel, au stade du mycélium, il faudra beaucoup d'eau pour espérer de nouvelles cueillettes. 
S'éclater, dans une bonne ambiance de camaraderie, avec des températures plus abordables en raison de l'altitude (1 650 mètres) était le but recherché et il aura été atteint !


Absent, Jean-Luc, m'a dit : "je t'envoie les photos avec différents dossiers et je te donnerai le déroulé dans la journée, pour que tu puisses écrire l'article !"

Je vais tenter de mettre en musique cette symphonie qui tour à tour évoquera, les quatre mouvements : le moulin, le Faranchin, le merveilleux jardin du Lautaret et la vallée de la Romanche avec la balade au Lac du Pontet.

11 personnes étaient présentes pour le co-voiturage, dès 8H, le vendredi 4 juillet. 2 autres avaient signalés se rendre directement au jardin du Lautaret. Défection de dernière minute René P, récemment hospitalisé a oublié s'être inscrit et renoncera. A 10H, le petit groupe était parvenu au Faranchin, c'est là que Georgia a eu cette idée géniale d'organiser une visite du moulin, dès 11H.

C'est Jean-Pierre dont les ancêtres étaient meuniers qui fut un guide hors-pairs. Le Moulin à grain de Villar d'Arène remonte au début du XVIIIe siècle, c'est le dernier de l'époque, encore en état. 

En réalité, ce n'est pas un, mais 3 moulins que l'on découvre. Les deux premiers moulins étaient actionnés par l’eau tumultueuse de la Romanche et le dernier est un moulin à sang, c’est-à-dire que le moulin est mis en action par une personne ou une bête. Dans le cas présent c’est un être humain qui tournait la meule afin d’écraser les grains.  Jean-Pierre porte les valeurs et traditions faranchines dans son cœur et partage tout ce qu’il sait sur la création des moulins, de leur mise en fonctionnement, mais aussi des différents outils et objets qui étaient utilisés dans le temps. 

A midi, le pique-nique fut pris à l'ombre rafraichissante du torrent, à proximité du moulin, sans doute à la recherche de la réponse à cette charade de 1852 :

Mon premier n’a jamais connu la résistance ;
Sur la peau mon second nous plaît par sa blancheur ;
Mon tout marche très-vite et jamais il n’avance :

C’est un mauvais voisin, toujours bruyant, grondeur, mais toujours occupé de notre subsistance.  

A 14H, Édouard et Maryvonne compléteront le groupe au rendez-vous devant les jardins du Lautaret, 

Un faucon crécelle nargue l'assistance, il est mitraillé par l'objectif de l'appareil photo de Jean-Luc et orne la Une de cet article.

Accueilli par un jeune étudiant en BTS gestion de l'environnement, dont c'était la première guidance, malgré le stress, il s'en sortira en beauté après plus d'une heure consacrée, aux multiples explications - chapeau Monsieur !

A 17H, le groupe parti à la découverte du village de Villar-d'Arène, des éléments de patrimoine bâti et de fortes traditions en font un site très attachant, typique des montagnes.

A 19H30, repas en commun à l'Hôtel du Farachin et c'est à 21H que la décision fut prise du "comment meubler la journée du samedi". 

Le Faranchin puise son nom dans l'histoire locale. Il remonte au XIVe siècle lorsque les habitants ont acheté au Dauphin plusieurs Libertés, faisant d'eux "les Affranchis". La façade de la bâtisse construite en 1976 est restée inchangée, l'Hôtel s'est réinventé.  

Le samedi 5 juillet, après un copieux petit déjeuner à l'Hôtel, tout le monde est parti à 9H pour une balade autours du lac du Pontet à 1 982 mètres d'altitude. 

Vallée de la Romanche : traditionnellement, l’habitat de la vallée de la Romanche était organisé en étages. Les deux chefs-lieux, La Grave et Villar-d’Arène, se trouvent en fond de vallée, en bordure de la Romanche. 

Les hameaux sont situés dans les pentes des versants sud qui ont été terrassées pour la culture du seigle, aujourd’hui abandonnée. Encore au-dessus, l’on rencontre d’abord les hameaux d’estive et plus haut encore les chalets d’alpage où les paysans d’antan passaient la belle saison.

Après une trentaine de minutes de marche, seuls, nous étions les princes de lieu. 

Ce petit lac niché dans les alpages ensoleillés des versants sud miroite la Meije de profil et les Agneaux de face. C’est un endroit parfait pour admirer les lueurs dorées du soleil couchant sur ces montagnes majestueuses - un moment de calme absolu !  

Tandis qu'Angélique et Johann se reposaient, les marcheurs se lancèrent à faire le tour de cette étendue d'eau.

Jean-Luc est parti à la chasse d'images aux papillons, ce qui lui a permis de rencontrer de jeunes marseillais férus qui lui apprendront beaucoup.

Plaisir de la réalisation d'images de libellules, Jean-Luc photographiera notamment, l'Agrion jouvencelle dénommée également la demoiselle bleue ou bien, l'Aeschne des joncs, d'araignée dans sa toile, etc..

Le groupe observe la montagne, les marmottes ne sont pas que des cris stridents, mais une réalité, au loin 

Vers 11H30, l'air ambiant a aiguisé l'appétit, et avec une marseillaise qui tient une roulotte, il a été négocié le prêt de tables et chaises afin de sortir les victuailles préparées par l'Hôtel moyennant 10€ supplémentaires (un peu cher le contenu).

Les touristes affluent en nombre : baignade, pêche, bronzage, c'est le programme cool, même si des pancartes les déconseillent. 

Vers 13H, Alessandro, Évelyne,  Johann et Mireille décident guidés par cette dernière, d'entamer une marche de 2 heures à flanc de coteau pour rejoindre un point de vue à 360° sur les Alpes. 

Micheline et Danielle se rafraichiront les pieds et Maryvonne et Édouard décident leur retour, juste avant le repas. 

En parvenant aux voitures, le vent s'est levé et de magnifiques gypaètes barbus viennent flâner au-dessus des têtes.

Après ce très beau week-end, de l'avis des participantes et participants, ce type d'initiative enrichissante est à renouveler ! 

Il ne reste plus qu'à se délecter en visionnant le nouvel album qui démarre avec cette sortie annuelle à Villar-d'Arène et ses 277 photos réalisées par Georgia et Jean-Luc :  ÉTÉ 2025  

 

 

 

 

samedi 21 juin 2025

Sortie du 21 juin 2025, La Ravoire à Saint Christophe-sur-Guiers


L'un de nos adhérents, nous a interrogé : " c'est une sortie quoi, mycologique botanique ?", en fait, compte tenu de la canicule persistante, ce fut tourisme et découverte !

Comme huit grands enfants, nous nous sommes réjouis à combiner des multitudes d'instants ludiques.

En limite entre Isère et Savoie, nous nous sommes émerveillés devant le Pont romain ou Saint Martin. Il doit son appellation à sa construction en voûte. Jusqu'en 1860, date du rattachement de la Savoie à la France, il servait de frontière, aujourd'hui, il accompagne les eaux tumultueuses du Guiers vif. Nous voici partis sur quelques dizaines de mètres à contempler les formes de la roche le long des gorges de l'Échaillon. Curiosité de la nature, le mariage d'un lierre avec un bout de falaise  mi calcaire, mi marneuse.

Cette première halte, était la mise en bouche du circuit ! 

Quelques dizaines de mètres plus loin, nous voici sur la voie sarde, la route royale du XVIIème siècle, elle est l’œuvre de Charles-Emmanuel II, duc de Savoie, Prince de Piémont, Roi de Chypre. 

Appelée ‘le Défilé des échelles’, cette voie naturelle entre les montagnes a été creusée par les eaux des torrents des périodes glaciaires. 
Sa situation géographique a incité les hommes à l’aménager comme voie de passage durant de nombreux siècles.
D'abord romaine, c’est au 17ème siècle que les ducs de Savoie décidèrent de l’aménager en route royale carrossable. Sa rénovation a nécessité des travaux considérables. 
Le plus spectaculaire reste la rampe sarde qui au sortir du défilé permet de rattraper le niveau de la plaine des Échelles en contrebas. 
Les architectes sardes rénovèrent également le canal qui longe la Voie sarde sur près de 300 mètres et qui sert d’évacuation au trop plein des eaux débouchant de la grotte Supérieure. 
La Voie Fut qualifiée de "Sarde" quand les Ducs de Savoie devinrent les rois du Piémont-Sardaigne. 
 
Les lucanes cerfs-volants aiment la chaleur. On trouve donc cette espèce d’insecte, surtout à basse altitude. Peu de personnes les ont pourtant déjà rencontrés, ce qui ne s’explique pas seulement par leur rareté. Les lucanes cerfs-volants passent en effet la plus grande partie de leur vie sous forme de larve enfouie dans du bois en décomposition. Pendant leur courte vie de coléoptère, ils sont surtout actifs au crépuscule et la nuit. 
Un femelle lucane cerf-volant (
Lucanus cervus) se dandinait devant nous, c'est dire la chance d'en rencontrer.
Après la lucane, la Barbe-de-bouc, la Reine des bois (Aruncus dioicus), c'est une plante de sous-bois qui possède un aspect original avec ses inflorescences légères et soyeuses. Nectarifère, elle nourrit abeilles et papillons. Cette plante est comestible, les jeunes pousses cuites sont rajoutées à de la soupe.

Natacha a trouvé le premier champignon, un polypore écailleux (Polyporus squamosus). 
C'est un comestible fort éphémère mais savoureux. La cuisson est terminée quand les tranches sont assouplies et paraissent presque translucides. La texture du polypore écailleux est assez ferme, rappelant certains cèpes. Le goût en revanche est notable : un mélange de champignon bien parfumé avec la saveur charnue de la viande. Une légère pointe d’acidité. C’est donc un champignon aux saveurs intéressantes.
Le second champignon, sera découvert par Denise, un bolet blafard (
Suillellus luridus), bien que donné comestible bien cuit, il faut signaler que Trois cas de légère intoxication (avec ingestion simultanée d'alcool, ou encore certains médicaments) ont été observés en Suisse. En tout, sept cas sont signalés dans ce pays.
Auriez-vous pu survivre à l'époque préhistorique ? Prouvez votre endurance ! 
Avec un parcours-randonnée en pleine nature, nous avons tenté de découvrir la vie des premiers habitants de la Savoie à travers toutes une série d'épreuves ludiques et pédagogiques à travers
 le maximum d'ardoises décorées, de flèches, lances, arbalète, cerf, marmotte, etc... 
Au Belvédère de Gerbaix, les panneaux nous interpelaient sur les époques : Magdalénienne et Azilienne. 
A St-Christophe-la-Grotte, l’abri de La Fru, a été occupé par plusieurs groupes humains, dont les plus anciens appelés Magdaléniens, il y a 14 000 ans. Puis leurs ont succédé des groupes appelés Aziliens venus à plusieurs reprises vers 12 000 avant nos jours. 
Les fouilles et les nombreux vestiges découverts durant 12 ans ont permis d’identifier le mode de vie de ces chasseurs et de reconnaître les différents environnements dans lesquels ils vivaient.
 
Au jeu de la projection de la lance, nous n'avons pas été très doué, par contre à la montée de la corde à nœud, il y aura eu quelques réussites. Comment trouver un lien entre ces différents jeux et nos hommes de  la préhistoire ! J'ai choisi la photo du plus ancien.
C'est dans ce secteur que nous avons casse-crouté et nous avons bien survécu aux enchainements de marches, bois, métalliques, roches. Le plus dur étant les différences de hauteur.
Notre circuit a eu une longueur de 7,54 km et nous avons accompli 286 mètres de dénivelé positif et 285 mètres de dénivelé négatif.
Nous n'avons pas trop souffert de la chaleur, l'essentiel du circuit étant autour de parties protégées. Le mot de la fin de ce billet sera pour dire Bravo aux participantes et participants pour l'accomplissement de ces prouesses.
 
Dans les semaines à venir, les articles seront rédigés avec retard, ou pas du tout (le webmaster a besoin pour écrire de disposer d'images et d'un minimum de textes ) : 
  • sorties du 28 juin et sortie annuelle des 4 et 5 juillet à destination de Villar d'Arène, et les 3 samedis suivants selon les vacances.
Retrouvez les plus de 150 photos de cette sortie touristique dans l'album :  Mai-Juin 2025  

dimanche 15 juin 2025

Barbecue de la Mycologie Sassenage ce 14 juin 2025 à Pipay

 


A 1 550 mètres d'altitude, la pollution venue des incendies en cours au Canada est encore visible. La seule différence avec la cuvette grenobloise, c'est la température, avec environ 10° de moins.

C'est dans cette relative fraicheur que nous nous apprêtions à accueillir les 44 inscrits à cette sortie conviviale.

Martine, Michel B. et Jacques sont arrivés les premiers à 9H40, il faudra patienter une bonne heure, avant l'arrivée du Barbecue et de la marchandise. 

Comme dans une ruche, le premier rôle de l'ouvrière est de faire le ménage. Les présentes et présents se sont mis à la préparation de l'initiative : installation des tables, des bancs, du barbecue.

Babeth aura été la reine de cette journée, la plupart des sociétaires ont tenu à passer quelques instants à ses côtés. La société mycologique est comme une grande famille, attentionnée aux soubresauts de la vie.

Les nettoyeurs des bois environnants ont alimenté le feu. Les flammes n'ont pas tardé à crépiter.

Michel B, assisté de Michel C., Mickaël, Jean-Pierre a pu commencer la pré-cuisson des côtelettes, saucisses et merguez.

L'objectif poursuivi est d'obtenir une viande qui ne soit pas sèche. Son alchimie est de tremper les côtes dans un mélange de vin rouge et herbes de Provence, retourner sur le grill plusieurs fois.

Pour les saucisses et merguez, une petite piqûre pour qu'elles n'éclatent pas et appliquer la même méthode de retournement. 

Le tout a été placé dans des bacs gastronormes maintenus au chaud sur les dernières braises incandescentes.

Les entrées apportées par les adhérents, tout comme les fromages et desserts ont été fortement appréciés. 

A 13h15 chacune et chacun ont pu se servir !  La partie café payé par la société mycologique s'est faite au restaurant le Farinaud.

Dans l'après-midi, après le rangement et le nettoyage, les boulistes ont entrepris des parties de pétanque.

Le fond de l'air était devenu un peu plus frais, était-ce un effet du panneau lumineux disant : "Attention damage en cours" !

Jusqu'au coucher du soleil, une partie d'entre nous a casse-crouté, avant d'amorcer la descente vers nos demeures respectives.

Toutes les photos de cette sortie Barbecue à Pipay ont ou seront rajoutées à l'album :  Mai-Juin 2025   

samedi 7 juin 2025

Sortie du 7 juin 2025 dans la forêt de Bévenais


La météo annonçait pour l'Isère : " des dégâts nombreux et importants sur les habitations, les parcs et les plantations. Les massifs forestiers pouvant être fortement touchés..." 

Il y aura eu 6 valeureuses et valeureux sociétaires pour braver le temps ! Si au départ de Sassenage, il ne pleuvait pas, en s'approchant de la Bièvre, le ciel s'était fortement obscurci et une belle rincée a accueilli notre arrivée à Mécenant.

Michel dira :" pas de souci, d'après mon application météo agricole, à 9H16, la pluie va s'arrêter".

Finalement, les gouttes cesseront avec 5 minutes d'avance sur la prévision. Mais voilà, le sol argileux, s'il est idéal pour la réalisation de poteries, ne laisse pas trop l'eau s'infiltrer. Les mares étaient nombreuses et les bois avaient tendance à être envahis par les ronces.

Le premier champignon  vers Michenand, sera issu de  la famille des hypholomes en touffes, un toxique, puis en remontant vers Pré Berton, ce sera l'anthurus d'Archer (aujourd'hui son odeur de cadavre s'éclipsait sous la pluie), troisième espèce le coprin disséminé (Coprinus disseminatus), puis des amanites.

Ces différents sentiers conduisent à la chapelle dédiée à Notre Dame de la Salette et différentes Croix numérotées symbolisent les 14 stations de la chrétienté.

A 10H15, nous sommes parvenus à la maison en bois occupée par plusieurs familles, venues en quad 4X4 et Buggy de différentes tailles du simple au familial. Ces groupes nous annonceront quitter ce lieu avant midi.

Néanmoins, une personne prendra des photos de notre groupe et nous pourrons visiter l'intérieur de cette construction modèle.

Cette maison a été bâtie en utilisant l'une des techniques de construction en bois les plus anciennes et les plus extraordinaires : à partir de bois bruts, de rondins empilés, ajustés les uns aux autres grâce au savoir-faire de l'artisan, pour devenir de vrais maisons en bois. C'est aussi une des plus belles valorisation des bois de nos forêts.

L'image grand-angle montre la finesse du travail réalisé, d'où le choix d'utiliser cette maison pour illustrer l'article de notre sortie. 

Nous nous sommes dirigés vers la chapelle construite à l'origine par les habitants de Bévenais et leur Curé Mr Tabardel en 1853. Le clocher ancien détruit a été remplacé en 1947 par le petit clocher-pignon actuel, un auvent a été ajouté à la façade.

Cette "Petite Salette" accueille environ une centaine de pèlerins, au terme d'une procession annuelle, le dernier dimanche du mois d'Aout. 

Profitant d'un reste de rayons de soleil, nous avons pique-niqué dès 11H au devant de cette chapelle, puis nous avons entrepris la descente par le Gaillot en direction de nos véhicules.

Les sentiers n'étaient pas en meilleur état que le cycle matinal. Nos chaussures seront mises à rude épreuve avec les passages difficiles.

Avec la découverte de deux petits polypores soufrés (Laetiporus sulphureus) par Alessandro, un comestible au goût de poulet, voilà la voie ouverte au gustatif !

Plus loin, Bernadette trouva quelques girolles (Cantharellus cibarius). 

Malgré la pluie qui a repris, une partie du groupe essaiera d'en faire de même et Alessandro, Michel et Martine repartiront avec quelques spécimens, les premiers de cette année 2025. 

La distance totale parcourue a été de 4,4 km et le dénivelé total cumulé de 171 mètres. 

Jean-Marc et Olivier sont arrivés aux voitures. Jean-Marc voulut protéger Maya de la pluie revenue. 

Sur les derniers 100 mètres, nous avons croisé Olivier qui parvenu à sa voiture a remarqué la perte de sa clé ! Il avalera à vitesse grand V le dénivelé et la distance pour aller retrouver son sésame resté sur le lieu de notre repas.
Tout s'est bien terminé, et nous avons même eu droit à du soleil lors de notre départ.

La semaine prochaine, il n'y aura pas de sortie mycologique, nous nous retrouverons pour notre rendez-vous barbecue annuel. 

Toutes les photos de cette sortie du 7 juin 2025, y compris fleurs et limaces sont rajoutées à l'album :  Mai-Juin 2025