samedi 3 mai 2025

Sortie mycologique du 3 mai 2025 à Chantepérier


Chantepérier est le nom issu des communes de Chantelouve et de celle de Le Périer. 

Dimanche 27 avril à 10H24, un journaliste du Dauphiné Libéré contactait Michel Barrionuevo pour lui demander de réaliser un reportage afin d'expliquer les raisons des baisses de poussées de morilles. Du fait de sa non présence à la sortie de la semaine dernière, il informait ce dernier de son impossibilité immédiate à répondre objectivement.

Ce que l'on peut dire, c'est que la morille est plutôt rare et le biotope est prépondérant. Le ph de la terre est le facteur le plus déterminant pour espérer trouver des morilles, car elles ne tolèrent que des terrains au ph neutre, calcaire, ou juste en dessous. Dans le même temps, l'hygrométrie et les températures jouent également leurs rôles.

Il y a un besoin impératif d'une symbiose ! Cette année, quelques chanceux ont pu réaliser de belles récoltes, mais dans l'ensemble, la conjonction des différents éléments cités n'a pas été au rendez-vous.


Les 15 sociétaires présents auront remarqué des différences sensibles tout au long du circuit. Sur la partie la plus au Sud, les frênes étaient sur un stade avancé et l'herbe dans les prairies plutôt haute, du coup pas une seule morille trouvée.

Au fil des enjambées, des rencontres avec différentes fleurs dont l'ancolie bleue qui illustrera le nouveau dossier de photos pour les mois de mai et juin 2025. 

La beauté se décrit avec la combinaison de couleurs, les plantes florales comme le compagnon rouge, les primevères dont la farineuse ou bien l'officinale, les ornithogales ou dames de onze heures, des orchis comme celui des marais ou le pourpre, distillent les merveilleux tableaux de la nature.

Dans ce ballet coloré, nous avons croisé le petit cheval blanc, peu de temps avant d'amorcer la descente Dessous la Roche.

Dessous la Roche, un hameau, avec de très vielles maisons en pierre, mais aussi sa chapelle dédiée à Saint Antoine de Padoue. Selon la croyance, le solliciter permettrait de retrouver les objets perdus. Dans cette randonnée, l'objet de nos recherches, n'est ni animal, ni végétal mais un saprophyte classé dans le règne fongique !

En abordant la remontée par le versant Nord, les frênes étaient moins ouverts et les premières morilles furent trouvées.

Elles n'étaient pas esthétiquement de la première jeunesse, mais les 9 adhérent·e·s, avec  de 1 à 3 morilles blondes étaient comblés. 

Le pique-nique est toujours l'occasion d'une multitude de partages. Olivier a introduit les questions quiz ! à chaque fois, deux mots sont proposés !

La semaine dernière, les mots proposés étaient vallécule et décurrent.

  • La vallécule, est un petit espace circulaire séparant le pied (stipe) de l'hyménophore (les alvéoles) chez les genres comme les morilles
  • Décurrent, se dit des lamelles de champignons dont l’insertion se prolonge sur le pied. 

Pour cette sortie, le premier était scrobicule : comme dirait les occitans quésaco ? 


Il en aura fallu du temps avant que la réponse ne soit donnée par Olivier: 

  • les scrobicules, ce sont les fossettes dans le chapeau ou le pied d'un champignon. Par exemple, le lactaire délicieux ou le lactaire sanguin sont parsemés de scrobicules.

Je ne suis pas parvenu à trouver l'énoncé du second quiz, Olivier me fournira l'orthographe pour le traiter !

Avant de parvenir aux voitures, la vieille devanture du Bar-Tabac du Commerce et en pâturages, une très belle fontaine ou bien deux bœufs "Highland" à poils longs. L'atout de cette race est ses qualités rustiques qui lui permettent de bien résister au changement climatique. 

Avant de redescendre dans la vallée grenobloise, nous sommes allés faire une visite au Col d'Ornon et sa très belle cascade. Puis, nous avons tentés de compléter les cueillettes. Laurent a trouvé un exemplaire et Natacha aura décroché le pompon avec un total de 7 morilles, sur la vingtaine d'exemplaires découverts. Nous lui disons simplement bravo ! 

Avec ce nouveau mois de mai, un nouvel album voit le jour: celui de Mai-Juin 2025

dimanche 27 avril 2025

Sortie du 26 avril 2025 à Saint Andéol, Vercors

Nous avions 20 adhérent·e·s pour cette balade au cœur du Balcon Est du Vercors, à Saint Andéol. La photo de groupe n'a pas été réalisée, du coup, cet article ne pourra avoir cet accompagnement de portrait global.

Avec un ciel si lumineux, notre premier arrêt pour une pause photos fût au Col de l'Arzelier. 

Les deux sœurs Agathe et Sophie apparaissaient éblouissantes.

Notre second arrêt a été le Parking de Serre-Brion pour le démarrage de cette sortie par l'arête du Clos de Serre-Brion. 

Parvenus sur les prés de Garneyre, la vue sur les rochers de la Peyrouse est splendide. 

Une belle vesse de loup fût découverte.
 

Après le passage délicat par la Combe Crose, nous avons formé deux groupes à l'amorce par le chemin de Croix de Garneyre.

L’itinéraire choisi pour le groupe d'Olivier a emprunté la direction les Prés de Landioche, où la ferme du même nom, produit des fromages de vaches et de chèvres.  

Le circuit de Jean-Marc se dirigea au Ruisseau de Berrieves : cette Combe n'a pas été généreuse puisque qu'aucune morille n'a été aperçue. La cueillette de morilles et de morillons aura donc été très limitée.


Ici ou là, comme le montre les photos réalisées, Orchis mâle, Orchis sureau, Myosotis, Laîche,  Polygala et Gentiane printanière, exhalaient leurs parfums.
 
Nous avons déjeuné à l'intérieur du Relais Cyné de Serre Brion, prêté par la société de chasse de Saint Andéol.
Dans l'ensemble, la météo sera restée clémente ! 

Notre retour sur Sassenage a  emprunté le Col des Deux et nous avons constaté que pour l'heure la floraison habituelle sur Gresse en Vercors, n'est pas au rendez-vous.

Les photos de cette sortie du 26 avril 2025, terminent l'album: DEBUT2025



samedi 19 avril 2025

Sortie ou randonnée au Sappey en Chartreuse ce 19 avril 2025 ?


Dans la nuit entre mercredi et jeudi, la limite pluie-neige s'est abaissée, selon les massifs pouvant être à une altitude de 850 mètres. Jeudi, il n'y avait pas de neige au Sappey en Chartreuse, d'où l'idée de tenter de trouver des hygrophores de mars.

Ce 19 avril, sur le parking du village, nous étions 15 pour tenter cette aventure.

En cheminant sur le GR9, Chamechaude, le plus haut sommet de Chartreuse avec ses 2082 mètres s'était presque totalement débarrassé de sa cape neigeuse, après l'ensoleillement de la veille. Philippe et Joëlle étaient aux anges, Chamechaude, ça leur parle beaucoup.

Si l'an dernier, quelques morilles avaient été cueillies, ce jour pas la moindre morchella en vue, les seuls champignons découverts seront 1 plutée couleur de cerf (Pluteus cervinus), quelques pézizes brillantes (Caloscypha fulgens).  

Martine, trouvera un fragment d'hygrophore de mars qui sera laissé pour un écureuil.

Alors que le sentier pour se diriger vers la cabane de Velouse remontait par la gauche, sous les conseils de Jean-Marc, une partie d'entre nous empruntera une trace de piste de raquette sur la droite et nous voila plongés sur cette sente boueuse et très glissante, avec l'objectif d'une éventuelle découverte mycologique au fond de la Combe.

Très vite, c'est la désobéissance d'une partie du groupe qui s'imposera, en raison du danger. Geneviève, après une petite chute, sans gravité, s'est retrouvée tétanisée, l'aide de Philippe et Patrick lui a permis de sortir de ce mauvais pas. Sur le flanc du coteau abrupte, avec une pente avoisinant les 60°, Michel et Jean-Luc ont dû redoubler d'efforts pour éviter la glissade et l'accident.

L'attente pour retrouver la quasi totalité de 13 des 15 mycologues durera une heure. Manon et Joël parviendront les premiers, au point de rendez-vous.

De cette situation, il importe de tirer toutes les leçons : bannir l'aventure après une succession de jours de pluie et obtenir une solidarité totale du groupe.

Martine qui avait pris le bon chemin, se refusait à faire des parties de montées-descentes inutiles. 

Si la ligne droite permet d'aller au plus court, le secteur des Hallières était totalement à l'Est et le refuge à l'Ouest. Dans ce secteur, les populages des marais (caltha pelustrie) formaient un beau tapis, l'eau qui s'écoulait fera bien son effet de nettoyage des chaussures.

Que la pente fut raide pour parvenir à Velouse. 

350 mètres de dénivelé étaient annoncés pour cette sortie au pays des sappeyards ! En fait, il s'agissait des écarts de hauteurs du point le plus bas, au plus haut. Selon le tracé emprunté, le dénivelé cumulé avoisinera les 500 mètres. Ici ou là, des massages seront peut-être nécessaires pour bien dormir.

Le pique-nique au soleil a été des plus exquis, des sociétaires faisant gouter leurs spécialités ou bien les biscuits, chocolats, etc...

Une voix dira : " aujourd'hui, nous aurions mieux fait d'organiser un concours de recherches d’œufs de pâques ".

En redescendant vers les voitures, chacune et chacun devaient aller à leurs rythmes. Un couple fera le choix de tenter de trouver des hygrophores de mars. Le premier spécimen sera trouvé par Michel, une minute plus tard, ce sera au tour de Martine, 8 exemplaires de ce côté-ci auquel un 9ème se rattachera un peu plus bas.

269 grammes, cela représente une belle omelette.

A votre santé et joyeuses Pâques à nos lectrices et lecteurs. Les photos de cette sortie du 19 avril 2025, sont placées dans l'album: DEBUT2025


lundi 14 avril 2025

Sortie du 12 avril 2025 des Narces au Trou qui Souffle


Après cette succession de belles journées ensoleillées, qu'allions-nous découvrir ?

Parvenus au parking du Crêt aux Narces de Méaudre, nous avons été accueillis par une bonne averse qui fort heureusement aura été de courte durée.

Nous voici partis pour accomplir un périple de 200 mètres de dénivelé !

Par endroits, il restait quelques plaques de neige, Walter et Svitlana ont façonné des boules. Cette neige n'a pas humidifié le terrain resté plutôt sec. Les campagnols ont laissé leurs empreintes au travers des trous de leurs galeries.

Les onze présent·e·s se sont rendus jusqu'à la bergerie Roger Gervasoni. Les seuls champignons découverts, semblaient être des lactaires non comestibles. Sur proposition de Jean-Marc, la décision collective a été prise de ne pas poursuivre l'ascension vers Gros Martel à 1556 mètres d’altitude et de retourner aux véhicules. 

Seconde étape improvisée, le Trou qui souffle, qui tient son nom d'un violent courant d'air soufflant au sortir de terre et que nous avons pu ressentir.

A Davières, l'altitude est de 1085 mètres, c'est sur cette partie que la chance sourira à Svitlana avec 3 petits hygrophores de mars et à Olivier avec son seul spécimen.

Ce fût la seule cueillette de la journée ! 

Comme me le dira Jean-Luc: "bredouilles mais pleinement satisfaits de cette super balade qui s'est terminée après le pique-nique. Les spéléologues s'équipaient pour une descente dans ce réseau urgonien qui compte 50 km de galeries."

Les photos de cette sortie du 12 avril 2025, sont placées dans l'album: DEBUT2025   

 

samedi 5 avril 2025

Sortie gourmande du 5 avril 2025 à Tain l'Hermitage


Pas de sortie mycologie ce 5 avril, mais régal des papilles à la Cité du chocolat de Valrhona, avec les 11 sociétaires présent·e·s.

Le départ avait été avancé à 7H30 et il aura bien fallu 2 heures en co-voiturage pour parvenir à destination.

Un peu d'histoire sur ces cabosses et le chocolat

Depuis la découverte en 2003, sur le site archéologique Santa Ana La Florida près de Palanda au sud de l'Équateur, d'une céramique cérémonielle, cela a bousculé l’idée selon laquelle les premiers consommateurs de cacao seraient les Mayas et les Aztèques du Mexique. L’archéologue Francisco Valdez et son équipe franco-équatorienne ont mis au jour des résidus d'amidon de cacao à l'intérieur de l'artefact indiquant la présence d'une boisson à base de fèves. 

La datation carbone révèle que ces résidus appartiennent à une période située entre 3500 av. J.-C. et 3200 av. J.-C. La culture Mayo Chinchipe-Marañon ont ainsi domestiqué le cacao environ 2 000 ans avant les cultures précolombiennes en Mésoamérique !

La découverte du vase à double effigie ouvre une nouvelle compréhension de l'histoire du cacao. La Haute Amazonie équatorienne est désormais le premier centre de culture du cacao identifié à ce jour, et non plus l'Amérique centrale. Il semble que le cacao amazonien ait été introduit sur la côte équatorienne et finalement transporté au Mexique et en Mésoamérique. 

La culture Mayo Chinchipe-Marañon a joué un rôle important dans la domestication et la diffusion du cacao. Elle marque les débuts de la consommation du cacao dans le monde entier. 

En France, nous aurions pu en manger en 1502 avec Christophe Collomb. Le goût avec cette saveur amère et épicée, ne lui plaisait pas et il décida de jeter à la mer ces fèves de cacaoyer qui lui avaient été offertes. C'est finalement Hernàn Cortès qui ramena le cacao en Espagne en 1519. 

De fil en aiguille, en France, il faudra attendre 1615, au mariage d'Anne d'Autriche, fille du roi d'Espagne, avec Louis XIII pour que le chocolat arrive enfin.

Lors de la visite de la cité du chocolat Valrhona, vous pouvez vous documenter, mais aussi voir les différentes utilisations, et les moments préférés des visiteurs. Gouter aux subtilités des différentes compositions : pâte de cacao 100%, Oriado, Caraïbe, Ivoire, Bahibé, Guanaje, Tulakalum, Manjari, etc...

Il faut bien compter deux bonnes heures, sans pour autant tout découvrir, avant de passer à la boutique pour de nouvelles compositions qui si vous êtes gourmand, représenteront une dépense conséquente.

Histoire de se dégourdir les jambes, une petite ballade sur la voie piétonne et cyclable, le long du fleuve Rhône s'imposait. Pour planter le décor, les péniches à quai ou celle circulant, les décors de vigne, de falaises se reflétant sur l'eau, donnaient une atmosphère particulière, le détail allant jusqu'à une sculpture de baleine bleue objet de récupération des bouteilles en plastique.

Pour le pique-nique du midi, nous avons choisi de nous rendre à la Tour de Mercurol. Depuis le village, il faudra gravir une série de marches avant d'y parvenir. Mais de la-haut, un panorama sur 360° de toute beauté, avec des parterres de fleurs jaunes. Si comme nous, vous avez la chance d'un temps ensoleillé, n'hésitez pas à faire un détour pour contempler ces ruines.

La Tour de Mercurol, aujourd'hui visible de loin, aurait pu tomber dans l'oubli. Signalée dans un inventaire de la « Baronnie de Clérieu » en 1064, elle a donc plus de mille ans en ce début de 21ème siècle.
Mais cette tour emblématique et le site sur lequel elle est construite sont porteurs d'une bien plus longue histoire. Plusieurs historiens affirment qu’elle est sur l’emplacement d’un temple dédié à Mercure bâti selon le rite romain sur un oppidum (site élevé).
Ce temple qui serait à l’origine du nom de Mercurol, a probablement été élevé à la suite de la victoire sur les Gaulois en –121 avant JC. 

120 000 Gaulois perdirent la vie dans la plaine dominée par notre Tour ; leurs cadavres furent pendus et brûlés aux pieds du coteau, parallèle à la route 532 entre Mercurol et Chanos, expliquant semble-t-il son nom séculaire de «Coteau des Pends».

A 14 heures, nous avions prévu de visiter la Cave du Domaine de Remizières, finalement nous opterons pour la dégustation et l'achat, en particulier de Crozes-Hermitage.

Sur la route du retour, une dernière envie de fraises à occasionné une nouvelle halte. 

Samedi 12 avril, les sorties mycologiques reprendront, après cette parenthèse gourmande. Un deuil touchant le webmaster, l'article ne sera publié qu'ultérieurement.

Les nombreuse photos de cette sortie du 5 avril2025, sont placées dans l'album: DEBUT2025  



samedi 29 mars 2025

Sortie du 29 mars 2025 au Peuil de Claix


Malgré le temps, nous étions douze pour cette sortie ! A notre arrivée, du grésil se mêlait aux gouttes de pluie.

Un des courageux lecteurs de notre blog est arrivé dans la foulée, disant : "vous êtes la mycologie de Sassenage !". Affirmatif, lui aussi venait à la cueillette des hygrophorus marzuoluzs.

Compte tenu du nombre, Jean-Marc choisit la constitution d'un unique groupe: douze pour se rendre à la clairière des douze apôtres. Cela n'a aucune connotation religieuse, et lorsque l'on parle de douze apôtres, personne ne voudrait endosser le nom du traître

Pourquoi cette clairière porte-t-elle ce nom ?

Cette dénomination a pour origine le fait que 12 très gros fayards étaient plantés à cet endroit. Cet endroit est particulièrement très venté et nous en avons fait l'expérience aujourd'hui. L'une des tempêtes les a décimés, il ne reste plus aucune trace de ces 12 hêtres. 

La clairière, faute d'être entretenue, s'estompe au profit des ronces, la nature reprenant ses droits. De gros blocs de pierre jouxtent des arbres déracinés, avec y compris un tronc coupé se retrouvant en équilibre au-dessus des arbres. Il vaudra mieux ne pas être dessous lorsqu'il dégringolera !

Après cette parenthèse, c'est Alessandro qui a dégoté le premier hygrophore, rapidement suivi par Denise.

Il semblerait que toutes et tous les participants aient trouvé au moins 1 exemplaire. Au menu, pour conserver le goût sublime de ce champignon, dans les différentes chaumières, ce sera plus le soufflé à l'hygrophore de Mars que la cuisson nature qui prédominera !

La matinée, après la première alerte d'une pluie de courte durée aura été plutôt venteuse et frisquette, à tel point qu'à 11H50, à l'abri de la ferme, nous pique-niquions.

Pour agrémenter les connaissances individuelles, Olivier nous proposa un quizz.

Que signifie le terme cespiteux ? 

Et voila moult propositions, en lien avec la terminaison de ce mot. Natacha donna une réponse se rapprochant de la solution, dès lors Michel qui avait retenu la réponse apportée l'an dernier, dit : "ce sont les champignons en touffe serrée, comme par exemple l’Hypholome en touffe"

A quoi correspondant hygrophane ?

"Un champignon est dit hygrophane lorsque, selon l'état hygrométrique de l'air, le carpophore change de couleur en séchant, soit par zones concentriques, soit par bandes radiales, comme chez le laccaire améthyste, Laccaria amethystina" 

Finalement, la cueillette la plus conséquente et rapide a été celle de pissenlits. Selon plusieurs chercheurs, les composés actifs du pissenlit favorisent l'élimination des déchets et des toxines présents dans l'organisme. Action drainante : Une cure en pissenlit semble également favoriser le drainage de l'organisme, et ainsi lutter contre la rétention d'eau.

Sortie du Samedi 5 Avril 2025 : les 12 inscrits partiront du parking de l'école Vercors à 7H30 pour se rendre  à la cité du chocolat Valrhona à Tain l'Hermitage, plus cave vinicole. Il n'y aura pas de sortie champignons ce jour-là.

Les photos de la sortie de ce 29 mars 2025, sont placées dans l'album: DEBUT2025