samedi 26 mars 2022

Sortie du 26 mars 2022 dans le bois du Rocharey


Depuis au moins une douzaine de jours, il n'y a pas eu de pluie et lorsque cette eau s'est manifestée elle n'a arrosé le sol que très superficiellement.

Dans les bois, il n'y a que sous les amas de feuilles qu'il est possible de trouver de l'humidité.

Cette situation n'a nullement dérangé les 20 présent·e·s à cette sortie en Chartreuse.

Au lieu-dit du Nézet, nous avons stationné nos véhicules et formé deux groupes.

Celui dit "des sportifs" était conduit par Michel l'autre par Jean-Marc. En comparant le nombre vis à vis des disciplines sportives, le premier serait du foot-ball avec 11 sociétaires,  le second du Base-ball/Tchèque avec 9 équipiers.

Les deux équipes devaient se retrouver au lieu-dit chez-Feugier. Du coup en fonction du plan et de l'horaire, Michel dans son rôle d'accompagnateur a invité son groupe à chercher les hygrophores de mars dans les secteurs avec de la mousse ou bien des amoncellement de feuilles. Bernadette fut la première à être récompensée, puis assez vite, Johann, ainsi que René trouvèrent leurs premiers spécimens. 

Martine, Éliane, Jean-Pierre, Louis, Alessandro  se sont placés dans les trouvailles, mais ce fut un peu plus compliqué pour Jacques, Monique et Michel.Au final toute l'équipe aura eu au moins une bonification.

A 11H15, alors que nous étions dans les parages du rendez-vous, un appel téléphonique de Jean-Marc, annonce que son groupe récolte des pissenlits dans une prairie à proximité du chemin de Marfay et donc un nouveau rendez-vous est acté.

Du coup, appel au rassemblement pour redonner la nouvelle marche à suivre. Bernadette, Jean-Pierre et Monique avaient prévenu qu'ils devaient rentrer plus tôt, ils choisissent de redescendre.

Les 17 restants ont pique-niquer ensemble, à l'ombre ou au soleil. Quelques pissenlits ont été cueillis. Un seul groupe a été formé pour amorcer le retour. 

Nous avons croisé une anémone Sylvie (anemone memorosa), cette plante est utilisée en friction locale, car caustique, contre les rhumatismes. Comme les autres anémones, elle est toxique, en effet 200 mg suffisent à provoquer la mort d'un animal de 10 kg.

Sur ce circuit, Babette a trouvé sur quelques mètres carrés, planqués sous les feuilles une dizaine d'hygrophores de mars. La journée se termina donc en apothéose après avoir parcouru 5,4km sur 176 mètres de dénivelé. 

La semaine prochaine, le webmaster ne sera pas de la sortie, il écrira un billet le lendemain.

Les autres photos sont visibles dans le dossier mars-Avril2022.

dimanche 20 mars 2022

Andouillette aux hygrophores de mars


C'est la saison de l'hygrophorus marzuolus, nous avons marié ce champignon avec l'andouillette, un beau mariage !

Ingrédients pour 4 personnes :

  • 500 g d'hygrophores de mars
  • 4 andouillettes de 180g 
  • 3 échalottes
  • 15 cl de vin blanc chardonnay
  • 30 cl de lait
  • 2 cuillères à soupe rases de moutarde
  • 2 cuillères à soupe d'huile d'olive 
  • 40 g de beurre
  • 40g de farine
  • sel, poivre du moulin, muscade

Préparation des champignons : les nettoyer, les passer sur un filet d'eau pour se débarrasser totalement des impuretés, puis sur feu doux faites les transpirer pour enlever une partie de l'eau qu'ils contiennent, filtrer et réserver.

Dans une casserole, à feu doux, faire fondre le beurre, ajouter la farine jusqu'à incorporation complète, puis progressivement transformer la préparation en béchamel en y ajoutant le lait pour obtenir une crème épaisse, saler, poivrer et mettre la muscade moulue. Le rajout des champignons donnera du jus supplémentaire.

Préparation des andouillettes : faire revenir dans l'huile d'olive les échalotes émincées, puis faire griller le pourtour de vos andouillettes, rajouter le vin blanc et la moutarde et terminer la cuisson.

Dressage du plat : Le mélange des deux préparations s’accommode parfaitement, mais l'on peut rajouter un troisième ingrédient (gratin dauphinois, tagliatelles...). 

Pour notre part, nous avons réalisé une plus grande quantité de sauce béchamel pour  un gratin de choux-fleur au four.


samedi 19 mars 2022

Sortie mycologique du 19 mars 2022 au Peuil de Claix


L'année mycologique 2022 a démarré comme l'ensemble des années antérieures à 2020, le 3ème samedi du mois de mars.

Le soleil de la matinée aura été plutôt voilé pour les 13 sociétaires présent·e·s à cette sortie. D'ordinaire, la reprise des cueillettes d'hygrophores de mars ou Hygrophorus marzuolus nous la réalisons en Chartreuse et non pas dans le Vercors, mais un bucheronnage très conséquent a démarré jusqu'à la fin avril, avec interdiction totale de randonnées. Du coup, nous nous sommes adaptés !

Ne dit-on pas que ce champignon aux trop rares apparitions arrive après la fonte des neiges, nous étions pile poil dans ce cas de figure !

Sous la mousse, bébé marzuolus montrait sa petite tête et il fallait avoir l’œil aguerri pour l'apercevoir. Sur d'autres flancs de la forêt c'est sous les vieilles feuilles dentelées d'hêtres tombées depuis plusieurs automnes que le bébé ou l'ado se cachait. 

J'utilise ces évolutions pour expliquer les lames qui sont épaisses et serrées dans la jeunesse et qui deviennent vite très espacées et s'amincissent en vieillissant. C'est Martine qui aura trouvé un spécimen d'un poids net de 139 grammes sortant d'un immense tapis de feuilles. Cette grosseur est plutôt rare !

Personne n'est rentré bredouille !

Au départ de notre périple moyen de 7,5 km et 201 mètres de dénivelés, Jean-Marc nous annonça qu'à l'occasion de cette première sortie, Babette nous a confectionné une tarte aux pommes et myrtilles. Nous avons fortement apprécié ce geste et nous voulons la remercier chaleureusement.

Mais avant de commencer notre pique-nique, nous avons eu droit à une seconde surprise, Jean-Marc s'est pressé de se rendre au rendez-vous pour réaliser des toasts avec pain tartiné de pesto à l'ail des ours qu'il avait fabriqué, surmonté de persil et d'une rondelle de radis. Une chouette déco appétissante, que demande le peuple, l'amuse-gueule et le dessert, avec y compris le soleil qui est venu réchauffer l'ambiance. 

Nous sommes prêts à signer pour renouveler cet esprit de convivialité !

Au menu de ce soir des sociétaires présents, il y aura des marzuolus, mais aussi des salades de pissenlits. Nous vous disons, bon appétit !

Les 400 espèces de fleurs profitent de la fraicheur du sol de la Tourbière du Peuil de Claix, parmi elles, la Grande Astrance et la Drosera et en ce moment la pulmonaire commune (Pulmonaria officinalis).

Les jeunes feuilles de pulmonaire sont comestibles et peuvent être ajoutées aux salades pour leur saveur douce rappelant celle des huîtres, se rapprochant de celle des feuilles de bourrache (Borago officinalis) et de consoude, de la même famille. Les fleurs peuvent aussi apporter une touche décorative intéressante.

Toutes les autres photos complètent le dossier mars-avril 2022.

dimanche 13 mars 2022

Sortie nocturne raquettes et restaurant du 12 mars 2022 à Autrans


Cette nouvelle formule de sortie a été imaginée par Michel, le vice-président, de permettre à la fois la randonnée raquettes et la combiner avec une restauration dans une station.

Du coup, nous nous sommes retrouvés à 21 pour terminer la soirée dans le restaurant le Chalet Suisse d'Autrans.

Auparavant, nous avions rendez-vous sur le parking de l'école Vercors de Sassenage à 16H45, pour un départ à 17H. Pour accomplir le périple du circuit Le Grand Pré, nous étions 10. Si dans quelques rares endroits, la neige avait fondue, Jean-Luc qui n'avait pas mis de raquettes pourra attester que la hauteur de neige était conséquente.

Pour respecter pleinement le circuit imprimé et remis aux sociétaires, Michel avait mémorisé le tracé en GPX sur son GPS. Les écarts avec le calcul réalisé sont demeurés faibles, 44 mètres de dénivelé à la place de 40 et 3 678 mètres pour 3 300 mètres de longueur parcourue.

A la tombée de la nuit, le paysage devient féérique, les arbres se drapent de scintillements, aussi notre ami Jacques a tenu à ajouter à son décor hivernal, l'illumination d'une guirlande.

Nous n'avons pas entendu le hululement de la chouette, mais le moteur d'une dameuse préparant les pistes de ski pour le jour suivant.

Le froid n'était pas trop vigoureux et nous aurions pu affronter d'autres décors nocturnes, mais l'heure tournant, nous ne voulions pas trop faire attendre les 11 sociétaires avec qui nous avions rendez-vous à 19H30, au Chalet Suisse avec Patrick et son équipe sympathique.

Seulement quelques minutes de décalage et nous voici tous réunis, avec le Kir d'accueil, puis vint la tartiflette aux diots de Savoie, la salade composée, les desserts étaient aux choix.

Sur une des tables à proximité, la spécialité du restaurant, les brochettes, les papilles salivent de ces bons plats que tout le monde devrait pouvoir s'offrir !

En sortant de cette superbe soirée, nous avons tenté d'immortaliser en image ce groupe de la mycologie, avec parfois presque autant de monde pour réaliser la photo ou pour prendre la pose.

La semaine prochaine, samedi 19 mars, c'est la reprise de la saison mycologique, avec ses rendez-vous chaque samedi à 7H45 pour un départ à 8H. Si nous avons un peu de pluie, les hygrophores de mars peuvent être au rendez-vous. Je vous dis, à la semaine prochaine, bonne lecture et bon visionnage de nos photos de cette sortie.

samedi 5 mars 2022

Sortie Raquettes du 5 mars 2022 à la Sure


La dernière sortie raquettes de jour de la société mycologique de Sassenage, s'est déroulée, il y a deux ans avant l'annonce de la pandémie. Quel plaisir de pouvoir à nouveau démarrer l'année 2022, sous de meilleurs hospices, avec un soleil éclatant.

Pour profiter de cette belle journée, nous étions 12 sociétaires.

Initialement, nous devions nous rendre à La Buffe, en partant du parking du refuge de la Sure, sauf que nous n'avons pas pris le bon embranchement  pour le circuit raquettes et nous nous sommes retrouvés à composer avec les différentes pistes de ski, de fond ou alpines.

Les températures fortement négatives nous ont permis de randonner sur des distances non négligeables, avec un sol gelé, sans être contraint de chausser les raquettes.

Chaque traversée de piste nécessitait de prendre toutes les précautions vis à vis des skieurs dévalant les pentes pour faire monter l'adrénaline procurée par la vitesse.

Chaque piste a son nom tiré de la faune ou de la flore, comme par exemple sur cette intersection: marmottes, anémones , chevreuil.

Parmi les skieuses et les skieurs, des parents avec leurs enfants ou des monitrices et moniteurs avec leurs élèves, nous ne pouvions qu'être admiratifs devant ces audaces ou bien sur un arrêt contrôlé à grande vitesse.

Cette piste N°10 violette pour les raquettes, nous avons fini par la trouver, elle conduisait sur la crête de la Sure à 1643 mètres.

Le panorama qui s'étalait face à nous était grandiose, la Chartreuse, la chaine de Belledonne, le Mont-Blanc visible à l'arrière plan, etc....  

Sur la partie basse, nous avions le Drac venant se jeter dans l'Isère, le Synchrotron, des habitations de Sassenage, Saint Martin le Vinoux, Grenoble, Saint Egrève...

Le vent était si prononcé en bordure de la Sure qu'il a contribué à faire fondre la neige, en même temps il était frisquet !

Le long des rochers non enneigés, chacune et chacun a pris place pour pique-niquer. Parmi les fabrications maisons, la terrine de sanglier de Jean-Louis était sublime.

A 13 heures, nous avons amorcé la descente vers le parking. Comme à l'aller, il y aura quelques chutes sans gravité, mais un peu plus nombreuses, du fait que le soleil entraine par endroits, la fonte de la neige.

Ce périple d'une dizaine de kilomètres et de 475 mètres de dénivelé, n'aura pas été de tout repos, mais en même temps, c'est un bon entrainement pour affronter les prochaines balades.

Au terminus, une surprise nous attendait, notre ami Jacques avait fabriqué des bugnes plates et fines accompagnées de jus de fruit qu'il a offert au groupe pour fêter son anniversaire, son droit à la retraite dès ce mois d'avril ainsi que l'acquisition d'un véhicule C3 d'occasion.

Le groupe a achevé sa sortie par une halte à Autrans, pour boire un vin chaud ou une bière.

La semaine prochaine, ce sera la sortie raquettes nocturne et nous allons nous retrouver à 23 pour déguster une tartiflette aux diots de Savoie, au Chalet Suisse de Autrans. Avant le repas nous nous mettrons en appétit avec un circuit de 3,3 km et seulement 40 mètres de dénivelé.

Les photos de cette sortie non présentes sur ce billet ont été mises sur un nouveau dossier intitulé mars-avril2022.

 

dimanche 12 décembre 2021

11 décembre 2021, journée drômoise pour la mycologie de Sassenage


Nous avons cru au Père Noël, nous n'avons pas été déçus  ! 

D'une météo très agitée depuis trop longtemps avec pluie et neige, nous espérions voir le soleil pour cette journée dédiée à notre escapade d'une Fête païenne ou religieuse (selon). Le rouge, le vert, pour nous, la couleur du ciel a supplanté le décor.

A midi, comme prévu sur le timing déterminé par Jacques, chargé d'animations patrimoniales pour la mycologie de Sassenage, les sept participant·e·s à cette sortie ont été accueillis au Café "Les négociants à Chabeuil". L'intérieur de ce bistro met en valeur la pierre des maisons anciennes. Les cadres ayant pour thème le bois et la forêt constituaient une harmonie vieille France.

A treize heures, nous avons suivi le parcours des petites routes dites : "La Drôme en vélo" jusqu'à une petite commune portant le nom d'Allex. Nous ne sommes pas allés sur ce lieu pour contempler le vieux village perché doté d'une belle unité d'architecture, avec ses ruelles en escalier et ses vieilles maisons ou le Château des Ramières, de l'Isle, de Pergaud. Non, la curiosité qui nous a attirés, c'est son aquarium des tropiques.

Certes, tous les aquariums ne se situent pas au bord de la mer, il y en a auprès de grandes métropoles comme Paris, Lyon, Nancy, etc... et ici à Allex, commune de 2 500 habitant·e·s, c'est plutôt rare !

Les 27 aquariums accueillent des poissons provenant de quatre continents: Afrique, Amérique, Asie et Océanie. 

Afin qu'ils ne soient pas dérangés durant leur repas, les poissons sont nourris principalement le matin, en dehors des heures d'ouverture. 

Poissons alligator, girafe, à tête de lion, éléphant, tigre, requin d'eau douce, piranhas herbivores et carnivores, tilapia, amphibien, lune, raies d'eau douce, etc... font partie de différents noms retenus. La multitude de photos réalisées montre ce panel où les couleurs passent du brun au jaune vif et du noir au bleu du vieja fenestratum jusqu'à l'arc-en-ciel.

La visite ne s'arrête pas aux 2 000 poissons, elle se prolonge avec les tortues de Floride, les collections d'insectes, de papillons, de coquillages de Nouvelle Calédonie, de coraux et pour parfaire votre connaissance une salle vous permet de visionner 13 vidéos. Vous découvrirez les poissons qui pondent leurs œufs, ceux qui portent leurs œufs (les ovipares et les vivipares).

Les ovipares: ce sont des poissons qui pondent et fécondent leurs œufs en pleine eau, souvent au sein de plantes. Chaque espèce a donc ses préférences en matière de végétation. La parade nuptiale est aussi spécifique de chaque espèce. On repère généralement les poissons prêts à pondre à leurs couleurs plus vives et à la parade nuptiale. 

Les vivipares: les petits naissent déjà formés. Pour la plupart, on parle même d’ovovivipares car les embryons restent dans leur œuf, au sein de la poche incubatrice de leur mère, jusqu’à leur naissance. Les œufs sont donc fécondés dans les organes reproducteurs de la femelle par l’intermédiaire du gonapode du mâle. 

La femelle incube les œufs dans une poche annexée à son appareil génital: la poche incubatrice. On aperçoit alors une tache sombre en avant de l’orifice anal. Les alevins naissent donc formés un à un. 

Deux heures auront été nécessaires pour nous imprégner de ce monde aquatique. Nous voici partis vers Alixan qui organise pour la 25ème fois son marché de noël.


En 2016, c'était déjà un 11 décembre où la société mycologique a participé à la visite de ce marché. Cette fois là, pas de pandémie, pas de semaine très humide et de froideur, il y avait eu 36 participant·e·s.

L'encombrement des voiries nous a contraint à stationner vers le stade à 800 mètres environ de l'entrée du marché ouverte seulement pour celles et ceux munis de leur passe sanitaire.

Ce soleil qui nous accompagné s'est couché sous nos yeux en transmettant sa couleurs rougeâtre au ciel bleu et à la végétation environnante.

Alixan est une commune de 2500 habitant·e·s comprenant un village médiéval dominé par l'église Saint Didier. Autour de cette partie là de la commune se tient les 11 et 12 décembre 2021, l'Alixanoël, le plus grand marché de noël du département, organisé par l'association des familles rurales.

Faire le tour des 115 exposants n'est pas chose aisée. Nous avons vu des fabrications de jouets en bois, des santons, plusieurs stands de bières artisanales, le pastis Pierrot, différentes liqueurs et digestifs, huile de noix, fromages, vêtements, décorations, crêpes, etc..

Pour nous qui étions emmitouflés, assister à un spectacle de danse d'enfants au milieu de la Place, c'est s'émerveiller du courage des petits. Quelques dizaines de stands plus loin, la queue vers l'association proposant vin chaud et chocolat chaud avait beau être importante, nous nous sommes armés de patience avant de pouvoir à notre tour, ôter quelques minutes nos masques humidifiés pour se réchauffer grâce à cette collation. 

A quelques mètres de nous, les militaires de la Gendarmerie nationale nous ont imités.

Nous voici ragaillardis pour poursuivre les visites des autres stands dont un qui donnera à Marie-Pierre des envies de bugnes. 

Notre dernière halte sera sur le stand des huitres de l'étang de Thau, natures ou gratinées, nous seront cinq consommateurs à nous délecter.

Avec ce dernier billet de sortie s'achève l'année 2021, nous vous souhaitons de passer de bonnes fin de fin d'année. Le photos de cette sortie viennent compléter le dossier Fête2021.